6 astuces pour mieux digérer et retrouver un ventre léger

6 astuces pour mieux digérer et retrouver un ventre léger

Detox du Foie

Il nous est tous déjà arrivé de se sentir gonflé après un repas, avec la sensation désagréable d’un ventre tendu dans un jean devenu un peu trop serré. Cette gêne, souvent confondue avec une prise de poids, est en réalité bien souvent le signe d’une digestion difficile.

Avant de penser régime ou calories, il est donc essentiel de se concentrer sur la qualité de notre digestion. Car un système digestif qui fonctionne mal peut entraîner non seulement des ballonnements, mais aussi une prise de poids réelle, liée à une inflammation ou à une mauvaise assimilation des nutriments.

Voici donc 6 astuces naturelles, simples et efficaces pour améliorer votre digestion, alléger votre ventre… et retrouver la sensation d’être bien dans son corps !

1. Mâcher lentement : le premier réflexe digestion

Avant même de parler d’aliments spécifiques ou de cures detox, commençons par une habitude essentielle : prendre le temps de bien mastiquer.

Mâcher permet non seulement d’envoyer un signal de satiété plus rapidement au cerveau, mais facilite aussi le travail de l’estomac grâce à la salive, riche en enzymes digestives. Une bouchée bien mâchée, c’est déjà une digestion à moitié faite.

Astuce : essayez de mâcher chaque bouchée une dizaine de fois avant d’avaler. Ce petit effort a un grand impact sur votre digestion et votre silhouette.

2. Misez sur les épices digestives

Certaines épices sont de véritables alliées pour l’estomac. En plus de relever vos plats, elles stimulent la production d’enzymes digestives et réduisent les fermentations intestinales, souvent responsables des ballonnements.

Parmi les plus efficaces :

  • Le cumin

  • Le curcuma

  • Les clous de girofle

  • La cannelle

Incorporez-les à vos plats de légumes, viandes ou soupes pour un effet aussi savoureux que bénéfique.

3. La pomme : l’alliée fibreuse du transit

Consommer une pomme chaque jour est une habitude simple et très utile pour stimuler le système digestif. Grâce à sa richesse en fibres solubles comme la pectine, elle favorise la satiété tout en régulant le transit.

Idéalement, mangez-la crue, avec la peau, et si possible avant le repas avec un grand verre d’eau. Cela prépare le tube digestif et facilite la digestion des aliments plus lourds.

5. Chaleur et digestion : la bouillotte, votre meilleure amie

C’est un réflexe qu’on a un peu perdu, et pourtant, la chaleur abdominale est un véritable catalyseur pour la digestion. Appliquer une bouillotte tiède sur votre ventre après un repas peut aider à détendre les muscles intestinaux, à apaiser les douleurs et à accélérer le processus digestif.

C’est aussi une belle excuse pour un moment cocooning, surtout en hiver !

(+1) Prenez soin de votre microbiote intestinal

Souvent oublié, le microbiote intestinal – cet écosystème de milliards de bactéries vivant dans notre intestin – joue un rôle clé dans la digestion. Un microbiote déséquilibré peut entraîner ballonnements, constipation, fatigue… et même un stockage de déchets importants dans le côlon.

Certaines personnes peuvent retenir plusieurs kilos de matières non évacuées sans s’en rendre compte, simplement à cause d’un déséquilibre bactérien.

Pour nourrir ces bonnes bactéries :

  • Consommez régulièrement des aliments fermentés (yaourt, kéfir, choucroute, miso, etc.)

  • Ajoutez des prébiotiques à votre alimentation (ail, oignon, poireau, banane, artichaut…)

  • Évitez les excès d’alcool, de sucre et d’antibiotiques sans besoin médical

Un microbiote en bonne santé, c’est une digestion fluide, une meilleure immunité… et un ventre beaucoup plus plat !

En résumé

Une bonne digestion ne tient pas qu’à ce qu’on mange, mais aussi à la façon dont on mange, à nos habitudes et à notre hygiène de vie. En appliquant ces quelques astuces simples, vous permettez à votre système digestif de mieux fonctionner, tout en vous sentant plus légère et plus énergique.

Et si vous aviez simplement besoin d’un meilleur confort digestif pour vous sentir bien dans vos jeans ?

9 bienfaits surprenants du gingembre sur la santé physique… et mentale

9 bienfaits surprenants du gingembre sur la santé physique… et mentale

Detox du Foie

Un allié santé aux pouvoirs insoupçonnés

Avec sa saveur piquante et réchauffante, le gingembre ne séduit pas seulement nos papilles. Derrière cette racine aux origines asiatiques se cache un véritable concentré de bienfaits pour la santé du corps… et du cerveau.

Utilisé depuis des millénaires dans la médecine traditionnelle, notamment en Asie et au Moyen-Orient, le gingembre revient aujourd’hui sur le devant de la scène, porté par la recherche scientifique moderne. Et les preuves s’accumulent : le gingembre ne se contente pas d’aromatiser vos plats. Il soigne, il protège, il renforce.

Dans cet article, nous allons explorer 9 bienfaits méconnus (mais scientifiquement étayés) de cette racine magique. Et pourquoi intégrer du gingembre — ou un complément alimentaire bien formulé — dans votre routine pourrait être l’une des meilleures décisions santé que vous prendrez.

1. Il apaise naturellement les nausées

Le gingembre est probablement l’un des remèdes naturels les plus connus contre les nausées. Qu’il s’agisse du mal des transports, des nausées matinales pendant la grossesse ou encore des effets secondaires de la chimiothérapie, son efficacité a été démontrée à plusieurs reprises.

Selon une méta-analyse de 12 études regroupant plus de 1 200 femmes enceintes, le gingembre a significativement réduit les nausées sans effets indésirables [1].

2. Il soutient les fonctions cognitives

Le gingembre pourrait également jouer un rôle clé dans le maintien de la mémoire et la prévention du vieillissement cérébral.

Une étude menée en 2012 auprès de femmes d’âge moyen a montré que l’extrait de gingembre améliorait significativement la mémoire de travail et la concentration [2].

Ses antioxydants puissants protègent les neurones du stress oxydatif, un facteur clé dans le développement des maladies neurodégénératives comme Alzheimer ou Parkinson.

3. Un anti-inflammatoire naturel puissant

L’inflammation chronique est à l’origine de nombreuses pathologies modernes : maladies cardiovasculaires, diabète de type 2, obésité, etc.

Le gingembre, grâce à ses composés actifs (gingérols, shogaols), agit comme un inhibiteur naturel de certains marqueurs inflammatoires. Il est même étudié dans le cadre de la prévention de maladies inflammatoires chroniques [3].

4. Il soulage les douleurs menstruelles

Crampes, maux de tête, douleurs lombaires… Les règles peuvent être un vrai calvaire. Le gingembre est une alternative naturelle prometteuse.

Une étude a montré que 250 mg de gingembre quatre fois par jour pendant les deux premiers jours du cycle était aussi efficace qu’un médicament anti-inflammatoire pour soulager les douleurs menstruelles [4].

5. Il apaise les douleurs musculaires et articulaires

Que vous soyez sportif ou sujet à des douleurs articulaires chroniques, le gingembre peut vous aider.

Une consommation quotidienne de gingembre réduit les douleurs musculaires induites par l’effort physique et atténue la douleur chez les personnes souffrant d’arthrose, notamment au genou [5].

6. Il protège l’estomac des ulcères

Contrairement à certaines idées reçues, le gingembre peut protéger la muqueuse gastrique.

Des études ont montré qu’il réduit la production de certains acides gastriques et inhibe les enzymes responsables des ulcères d’estomac, notamment ceux causés par les anti-inflammatoires comme l’aspirine [6].

7. Il régule naturellement le cholestérol

Le gingembre pourrait jouer un rôle important dans la prévention des maladies cardiovasculaires.

Une étude iranienne a démontré que la supplémentation en gingembre permettait de réduire significativement le LDL (le « mauvais » cholestérol) tout en augmentant le HDL (le « bon » cholestérol) [7].

8. Il stimule la digestion

Le gingembre est reconnu pour accélérer le processus de vidange gastrique, réduisant ainsi la sensation de lourdeur après les repas.

Selon une étude parue dans le World Journal of Gastroenterology, il accélère la vidange de l’estomac de 25 %, ce qui le rend très utile contre l’indigestion et les ballonnements [8].

9. Il aide à réguler la glycémie… et à perdre du poids

Le gingembre influence positivement le métabolisme du glucose et favorise la combustion des graisses.

Une étude de 2015 a montré une réduction de 12 % de la glycémie à jeun chez les patients ayant pris du gingembre pendant 12 semaines [9].

Une recherche plus récente suggère que le gingembre freinerait le développement des cellules adipeuses, contribuant ainsi à la perte de poids [10].

En résumé : pourquoi miser sur le gingembre ?

Intégrer le gingembre dans votre quotidien, que ce soit dans vos recettes, infusions ou sous forme de complément alimentaire, peut vous aider à :

  • Apaiser vos troubles digestifs

  • Réduire les douleurs inflammatoires

  • Améliorer votre concentration

  • Renforcer votre santé cardiovasculaire

  • Favoriser la gestion du poids

Et si vous faisiez du gingembre un allié santé au quotidien ?

Capsules, gélules, extraits standardisés… Les compléments alimentaires à base de gingembre permettent de profiter de ses bienfaits en toute simplicité, sans avoir à cuisiner. Un geste simple pour prendre soin de soi naturellement.

Sources
  1. Ginger for nausea and vomiting in pregnancy: a systematic review – https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/10793599/

  2. Effects of Zingiber officinale on cognitive function – https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22538118/

  3. Anti-inflammatory properties of ginger – https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21466540/

  4. Comparing ginger and mefenamic acid for primary dysmenorrhea – https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19216660/

  5. Ginger extract reduces osteoarthritis symptoms – https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20418184/

  6. Protective effect of ginger against aspirin-induced gastric ulcers – https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21362154/

  7. Effect of ginger on lipid profiles – https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21505029/

  8. Effects of ginger on gastric emptying – https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20440845/

  9. Ginger improves glycemic control in type 2 diabetes patients – https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26176199/

  10. Ginger and anti-obesity effects – https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34252454/

5 stratégies efficaces pour garder la ligne en hiver (sans se priver inutilement)

5 stratégies efficaces pour garder la ligne en hiver (sans se priver inutilement)

Detox du Foie

Un piège hivernal plus courant qu’on ne le croit

Les températures chutent, les tenues s’épaississent, et une petite voix intérieure suggère qu’un écart n’est « pas si grave ». Mais attention à l’effet boule de neige : ces petits craquages cumulés mènent souvent à une prise de poids insidieuse, difficile à inverser au printemps.

Plutôt que de subir, pourquoi ne pas adopter quelques réflexes simples pour préserver votre équilibre sans frustration ?

Voici 5 conseils concrets pour éviter les kilos hivernaux, tout en conservant plaisir et énergie.

1. Identifier ses moments de faiblesse pour mieux agir

Chacun connaît ses tentations : une fringale en rentrant du travail, un grignotage lors d’un dîner en famille, ou encore ce fameux deuxième service « juste pour le plaisir ».

Plutôt que de culpabiliser, il est plus productif de les anticiper. Si vous savez que vous avez du mal à résister en fin de journée, planifiez une collation saine vers 17 h : une pomme, un yaourt nature ou une poignée d’oléagineux suffisent souvent à calmer la faim.

Autorisez-vous un seul écart choisi dans la semaine et compensez les autres tentations en les neutralisant par avance. Cela permet de rester bienveillant envers soi-même sans perdre le contrôle.

2. Ne pas lâcher prise malgré le froid

L’arrivée de l’hiver ne doit pas rimer avec abandon. Les objectifs fixés à la rentrée ou en été méritent d’être maintenus, même hors saison.

Continuez à :

  • Organiser vos repas à l’avance

  • Pratiquer une activité physique régulière

  • Privilégier des repas chauds, équilibrés et faits maison

  • Cuisiner avec des produits de saison

Gardez en tête que votre silhouette d’été se prépare en hiver. La constance est plus efficace qu’un régime express de dernière minute.

3. Savoir équilibrer après un excès

Les repas festifs et les moments de partage font partie de la vie. Inutile de les fuir. En revanche, il est essentiel de compenser rapidement et intelligemment.

Si un dîner est trop copieux, le repas suivant doit être plus léger : soupe de légumes, protéines maigres et hydratation.

Un week-end chargé ? Répondez avec deux jours de menus simples, digestes et sans sucre ajouté. Cette logique d’équilibre permet :

  • De garder le contrôle de son alimentation

  • D’éviter la culpabilité

  • D’intégrer naturellement le plaisir sans conséquence

En appliquant cette règle de bon sens, vous ancrez une habitude durable et efficace.

4. Maintenir une activité physique, même douce

L’exercice reste un pilier incontournable pour activer le métabolisme, préserver la masse musculaire et favoriser un bon moral pendant l’hiver.

Il n’est pas nécessaire de s’imposer un entraînement intense. Trois séances hebdomadaires suffisent, même modérées :

  • 30 minutes de marche rapide

  • Un cours en ligne à domicile

  • Une session de renforcement musculaire

L’important est de bouger régulièrement, pas de souffrir. La marche reste l’alliée idéale : accessible, gratuite et bénéfique dès 20 minutes par jour.

5. Réajuster son alimentation à la saison

L’hiver impose de nouveaux besoins, mais cela ne justifie pas une alimentation plus grasse ou plus sucrée. Il est tout à fait possible de manger chaud, gourmand et sain.

Quelques ajustements simples :

  • Le matin, intégrer un fruit riche en vitamine C (kiwi, orange)

  • Le midi, privilégier des plats chauds à base de légumineuses et de légumes cuits

  • Le soir, remplacer les crudités par des soupes maison

Préparer à l’avance une liste de recettes hivernales légères permet de gagner du temps, de résister aux plats industriels et de garder le cap.

Un rituel du soir pour booster naturellement votre métabolisme

Certaines études montrent que des habitudes simples, comme la prise d’une tisane spécifique ou d’un complément naturel le soir, peuvent stimuler la production de somatropine, une hormone impliquée dans la combustion des graisses pendant le sommeil.

Adopter ce rituel dans votre routine nocturne peut être une aide discrète mais efficace pour soutenir votre métabolisme et prévenir l’accumulation des graisses abdominales.

Conclusion : une stratégie hivernale gagnante

Garder la ligne en hiver ne repose pas sur la privation, mais sur une stratégie équilibrée entre anticipation, régularité et plaisir.

Avec ces 5 réflexes simples :

  • Vous gardez le contrôle sans frustration

  • Vous restez actif sans contrainte

  • Vous continuez à vous faire plaisir… tout en prenant soin de votre santé

Le meilleur moment pour préparer votre silhouette de demain, c’est aujourd’hui.

8 bonnes raisons démontrées par la science d’adopter un régime keto

8 bonnes raisons démontrées par la science d’adopter un régime keto

Detox du Foie

Avantage 1 : Le régime keto peut vous aider à atteindre (et à garder !) votre poids santé.

Le régime keto est excellent pour brûler des graisses et éviter d’en stocker. Par exemple, une méta-analyse de 13 essais contrôlés randomisés a conclu que :

 « Les individus soumis à un VLCKD [régime cétogène très faible en glucides] perdent davantage de poids que ceux soumis à un LFD [régime faible en lipides] sur le long terme ; de ce fait, un régime cétogène peut constituer une méthode alternative pour lutter contre l’obésité. » [1]

De plus, des essais contrôlés randomisés ont permis de découvrir qu’un régime keto permet de perdre jusqu’à trois fois plus de poids qu’en suivant un régime riche en glucides et faible en lipides. [2-3]

En d’autres termes, si vous souhaitez vous affiner et connaissez des difficultés pour perdre du poids, le régime keto est peut-être la solution pour retrouver la ligne.

Avantage 2 : Le régime keto stimule les fonctions cérébrales

La plupart des personnes qui adoptent un régime keto notent une amélioration de leurs facultés mentales et une plus grande clarté d’esprit.

Le régime keto est bénéfique pour votre cerveau de différentes manières et pour différentes raisons. Une des principales est que l’état de cétose améliore le fonctionnement mitochondrial. [6]

Les chercheurs pensent que l’état de cétose stimule la formation de nouvelles mitochondries dans le cerveau, et surtout dans l’hippocampe. [7] Ce phénomène améliore votre lucidité, votre mémoire et votre niveau d’énergie.

Avantage 3 : Le régime keto peut soulager et même guérir le diabète 

De nombreuses études montrent que la réduction de l’apport en glucides peut être bénéfique aux personnes diabétiques. D’ailleurs, le régime keto était la méthode de traitement standard du diabète avant la découverte des injections d’insuline. [8-9]

Considérez ceci :

Une étude publiée dans les Annales de la médecine interne a découvert que des individus atteints de diabète de type 2 adoptant un régime pauvre en glucides pendant deux semaines amélioraient leur sensibilité à l’insuline jusqu’à 75 %. [10]

Et une autre étude réalisée sur 21 individus atteints de diabète de type 2 a révélé que sept d’entre eux pouvaient se passer de leurs médicaments contre le diabète après avoir suivi un régime keto pendant 16 semaines. [11]

Avantage 4 : Le régime keto réduit les risques de maladies cardiovasculaires

On prétend souvent que les graisses saturées et le cholestérol bouchent les artères, pourtant ils ne sont pas responsables des maladies cardiovasculaires. [12-14]

C’est une bonne nouvelle pour les personnes suivant un régime keto, parce qu’il est basé sur une alimentation riche en lipides, comme les œufs, les noix et le lard.

Le régime keto réduit les risques de maladies cardiovasculaires pour quatre raisons principales : Le régime keto : [15-18]

  • Favorise la perte de poids
  • Élève les niveaux de cholestérol « bénéfique », le HDL
  • Fait baisser le taux de triglycérides dans le sang
  • Diminue la pression artérielle

Avantage 5 : Le régime keto accroît le bien-être mental

Le régime keto est bénéfique à de nombreux troubles mentaux. Par exemple, des études ont montré que le régime keto : [19-22]

  • A un effet antidépresseur
  • Améliore le comportement des enfants atteints de troubles autistiques
  • Peut stabiliser l’humeur de patients atteints de troubles bipolaires
  • A guéri un cas de schizophrénie

Avantage 6 : Le régime keto peut être thérapeutique pour de nombreuses maladies neurologiques

Notamment la maladie d’Alzheimer, la SLA, la maladie de Parkinson, les spasmes infantiles (syndrome de West) et l’épilepsie. [23-26]

Avantage 7 : Le régime keto peut permettre de prévenir et de lutter contre plusieurs types de cancers

La plupart des cellules cancéreuses se nourrissent de glucose, aussi un régime keto peut permettre de prévenir et de lutter contre cette maladie.

Par exemple, lorsque des cellules cancéreuses in vitro ne reçoivent que des cétones et des lipides, le plus souvent, elles meurent. [27] De plus, de nombreuses recherches démontrent que le régime keto contribue à lutter contre le cancer du cerveau. [28-29]

 

Avantage 8 : Le régime keto peut améliorer la santé intestinale et éviter les troubles intestinaux

De nombreux troubles intestinaux sont dus à des agents pathogènes intestinaux et à des infections, qui se nourrissent tous de glucose. 

En réduisant votre apport en glucides, vous évitez ces infections et ces agents pathogènes. C’est pour cette raison que le régime keto peut améliorer la santé intestinale et guérir les troubles intestinaux.

Si vous désirez améliorer votre santé et votre physique tout en dégustant des plats savoureux, cliquez ici pour recevoir votre planning de repas keto personnalisé. 

Références :

1. Br J Nutr. Oct. 2013 ; 110(7) : 1178-87.

2. J Pediatr. Mars 2003 ; 142(3) : 253-8.

3. N Engl J Med. 22 mai 2003 ; 348(21) : 2074-81.

4. Appetite. Fév. 2009; 52(1) : 96-103.

5. Neurobiol Aging. Fév. 2012 ; 33(2) : 425.e19-27.

6. J Child Neurol. Août 2013 ; 28(8) : 1027–1033.

7. Biochim Biophys Acta. Mars 2009 ; 1790(3) : 208-12.

8. Nutr Metab (Lond). 19 déc. 2008 ; 5 : 36.

9. Nutrition. Janv. 2015 ; 31(1) : 1-13.

10. Ann Intern Med. 15 mars 2005 ; 142(6) : 403-11.

11. Nutr Metab (Lond). 2005 ; 2 : 34.

12. Am J Clin Nutr. Mars 2010 ; 91(3) : 535-46.

13. Am J Clin Nutr. Août 2015 ; 102(2) : 276-94.

14. Ann Intern Med. 18 Mars 2014 ; 160(6) : 398-406.

15. Arch Intern Med. 25 oct. 2004 ; 164(19) : 2141-6.

16. J Nutr. Fév. 2006 ; 136(2) : 384-9.

17. N Engl J Med. 22 mai 2003 ; 348(21) : 2082-90.

18. Am J Clin Nutr. Juill. 2009 ; 90(1) : 23-32

19. Biol Psychiatry. 15 déc. 2004 ; 56(12) : 981-3.

20. Pediatr Neurol. Août 2009 ; 41(2) : 111-3.

21. J Child Neurol. Fév. 2003 ; 18(2) : 113-8.

21. Med Hypotheses. Déc. 2001 ; 57(6) : 724-6.

22. Nutr Metab (Lond). 26 fév. 2009 ; 6 : 10.

23. BMC Neurosci. 3 avril 2006 ; 7 : 29.

24. Brain Res. 25 août 2009 ; 1286 : 25-31.

25. Nutr Metab (Lond). 10 août 2009 ; 6 : 31.

26.  Lancet Neurol. Juill. 2004 ; 3(7) : 415-20.

27. Carcinogenesis. Mars 2014 ; 35(3) : 515–527.

28. J Cancer Res Ther. Sept. 2009 ; 5 Suppl 1 : S7-15.

29. J Am Coll Nutr. Avr. 1995 ; 14(2) : 202-8.

Les bienfaits d’un régime keto

Les bienfaits d’un régime keto

Detox du Foie

Le régime cétogène est une forme de régime qui préconise de consommer beaucoup de lipides, un quantité modérée de protéines et peu de glucides. Son objectif est de diminuer les stocks de glycogène du corps pour qu’il puise son énergie dans les lipides et les protéines.

Le corps entre alors en état de cétose, un état métabolique au cours duquel le foie produit un grand nombre de cétones, une source d’énergie alternative pour le cerveau.

Ce régime est très populaire, et on peut voir d’innombrables photos avant-après circuler sur les réseaux sociaux pour vanter ses résultats. Voici quelques avantages à suivre un régime keto et les raisons pour lesquelles il peut vous aider à atteindre vos objectifs. 

Perte de poids 

Plusieurs études ont démontré que les personnes ayant adopté alimentation riche en lipides et pauvre en glucides brûlent les graisses plus rapidement que celles qui consomment beaucoup de glucides et peu de lipides. C’est avant tout parce que le taux d’insuline bas induit par un régime pauvre en glucides (keto) permet d’éliminer l’eau en excès dans le corps. Au cours de la cétose, vous ressentez moins la faim, ce qui peut être très utile pour contrôler votre apport calorique et encourage la perte de poids. Il a été remarqué que les régimes pauvres en glucides réduisent aussi efficacement la graisse viscérale stockée principalement dans la cavité abdominale.

Performances mentales  

Les cétones produites au cours d’un régime pauvre en glucides sont une source d’énergie bien plus efficace que le glucose. Des études ont démontré qu’elles peuvent améliorer les troubles cognitifs et même avoir un effet positif sur certaines conditions médicales telles que la maladie d’Alzheimer et de Parkinson.

Un régime riche en lipides contribue à stimuler l’équilibre des oméga 3s et 6s, vitaux pour des fonctions cérébrales optimales. De plus, l’état de cétose peut encourager la production de mitochondries et d’adénosine triphosphate dans les cellules à mémoire du cerveau, ce qui améliore les performances et la clarté mentale.

Réduction des risques de maladies chroniques 

Un régime keto peut stimuler les défenses du corps contre de nombreuses conditions médicales. En réduisant les inflammations et en améliorant le fonctionnement des mitochondries, il peut contribuer à diminuer le risque de développer plusieurs maladies chroniques.

Les cellules cancéreuses possèdent généralement des mitochondries anormales qui nécessitent davantage de glycogène. L’état de cétose permet aux cellules normales d’être nourries tout en affamant les cellules cancéreuses qui ne peuvent pas utiliser l’énergie des cétones à cause de leur disfonctionnement mitochondrial. 

Amélioration de la tension artérielle 

Une tension élevée augmente sensiblement le risque de contracter plusieurs maladies ; c’est une des principales causes de décès dans le monde. Il a été démontré qu’un régime pauvre en glucides est plus efficace qu’un régime pauvre en lipides pour réduire la tension artérielle.

Certaines personnes affirment même que le régime keto est aussi efficace que certains traitements médicamenteux, surtout associé à la perte de poids qu’il entraîne, garantissant d’améliorer la santé et les fonctions cardiovasculaires.

De nombreuses études scientifiques nutritionnelles ont prouvé que ce régime peut avoir un impact très positif sur la santé générale et sur les fonctions corporelles. Tant que vous parvenez à respecter ce régime, les récompenses sont nombreuses. Pour les personnes n’ayant pas réussi à obtenir de résultats satisfaisants avec des méthodes traditionnelles, l’approche cétogène vaut vraiment la peine d’être envisagée.

Comment j’ai augmenté mon niveau d’énergie et éradiqué une douleur intense et quotidienne à mon talon sans aucun médicament

Comment j’ai augmenté mon niveau d’énergie et éradiqué une douleur intense et quotidienne à mon talon sans aucun médicament

par 

En 2014, j’ai soudainement commencé à avoir des douleurs intenses au talon gauche, tous les jours, peu après le réveil, pendant 10 à 15 longues secondes. J’avais l’impression que quelqu’un m’enfonçait une aiguille dans le talon gauche.
Cette douleur vive et intense s’arrêtait aussi vite qu’elle arrivait, et ne revenait que le lendemain.

Tous les matins, c’était la même chose. Pendant environ 6 mois. Des visites chez deux ostéopathes ne m’ont apporté aucune explication ni amélioration.

J’ai un jour décidé de changer de stratégie, et grâce à un protocole entièrement naturel, ma guérison a été immédiate et totale. Cette guérison est arrivée en conclusion d’une démarche de santé extraordinaire, simple et efficace, que chacun peut faire chez soi : le NETTOYAGE DU FOIE.

Grâce à un protocole précis, j’ai expulsé de mon foie des centaines de « calculs biliaires* », et cela a stoppé ma douleur au talon dès le lendemain. En prime, je me sentais plein d’énergie et je ressentais un grand sentiment de légèreté et de liberté.

Le lendemain de mon premier nettoyage du foie, MA DOULEUR AU TALON A DISPARU. Elle n’est revenue que quelques semaines plus tard, lors du 2ème nettoyage du foie, mais elle n’a duré que quelques secondes. Cette douleur n’est depuis plus jamais revenue !

Lors de chaque nettoyage, j’ai éliminé plusieurs dizaines de calculs, sans douleur, facilement, et sans fatigue.

Attention, la photo qui suit pourra heurter certaines sensibilités. Ce sont les calculs que j’ai évacués lors de mon premier nettoyage du foie. Avec ces calculs en moins, mon talon a cessé d’être douloureux et mon niveau d’énergie a fait un bon spectaculaire !

*Certaines théories intéressantes estiment que chez la majorité d’entre nous (pour ne pas dire chez tout le monde), le foie serait encombré de « calculs biliaires », principalement composés de cholestérol, qui l’empêchent de fonctionner de façon optimale. Notre foie est un organe incroyablement complexe et notre santé dépend grandement de la sienne. Aussi, la présence de ces « calculs » peut engendrer des problèmes qui peuvent toucher quasiment toutes les parties du corps.

Les troubles associés aux calculs biliaires en excès vont des douleurs articulaires à un taux de cholestérol élevé, des compulsions alimentaires, de l’asthme, un surpoids, de la fatigue, ou encore des migraines.

Aujourd’hui, nos modes de vie déstructurés, notre alimentation dénaturée, notre niveau de stress élevé, notre déshydratation chronique ou encore notre exposition de plus en plus importante à de nombreux polluants favorisent l’apparition de ces calculs biliaires.

Quand les calculs biliaires au niveau du foie sont trop nombreux, c’est tout le corps qui souffre.

Voici une liste non exhaustive des troubles associés aux calculs biliaires au niveau du foie :

– manque d’appétit, troubles alimentaires ou compulsions alimentaires
– constipation, hémorroïdes
– cirrhose du foie, hépatites
– taux de cholestérol élevé
– maladies cardiaques
– personnalité colérique ou « bilieuse », dépression
– impuissance et autres problèmes sexuels
– maladies de la prostate
– problèmes de menstruation
– problèmes urinaires
– déséquilibres hormonaux
– maux de tête et migraines
– problèmes de dents et de gencives
– sciatique, scoliose
– maladies articulaires, raideurs dans les articulations et les muscles
– fatigue chronique
– maladies des reins
– problèmes de vision, yeux bouffis et cernes sombres sous les yeux
– problèmes de peau et grains de beauté en excès
– cheveux gras ou perte de cheveux
– difficulté à cicatriser
– vertiges, pâleur
– langue chargée
– sclérose en plaque ou fibromyalgie
– maladie d’Alzheimer
– froid aux mains et aux pieds
– problèmes de sommeil et insomnies, cauchemars

Rien que ça !

Jérémie

PS : Vous avez vu tous ces calculs. C’est impressionnant tout ce qu’il y a, pourtant je suis encore « jeune » et plutôt en bonne santé !


Si vous pensez qu’il vaut mieux prévenir que guérir, ou si vous souffrez d’un des maux cités ci-dessus et souhaitez y remédier, Jérémie ce qu’il vous faut.

Il a créé un programme pour vous accompagner pas à pas dans le nettoyage de votre foie, de façon précise et efficace, sans vous prendre la tête.

Bon nettoyage du foie et à bientôt !

Source :
https://www.jeremie-mercier.com/comment-jai-augmente-mon-niveau-denergie-et-eradique-une-douleur-intense-et-quotidienne-a-mon-talon-sans-aucun-medicament/
Les nombreux bienfaits du curcuma

Les nombreux bienfaits du curcuma

Le curcuma est une épice aux multiples vertus préventives comme curatives. Excellent pour la digestion, le curcuma a aussi la capacité de diminuer les inflammations, prévenir le cancer et protéger le cerveau de la maladie d’Alzheimer. 

La première fois que j’ai préparé un curry, je dois vous le confesser, c’était à peine mangeable. Heureusement, j’ai depuis perfectionné mes talents culinaires. Pourtant, il arrive encore que j’essuie des refus : on me dit que c’est un plat exotique, plutôt épicé, et donc certainement mauvais pour la santé…

Et bien, détrompez-vous ! Le principal ingrédient du curry, celui qui lui donne cette couleur jaune orangé si particulière, est excellent pour la santé. Il s’agit du curcuma, une racine dont l’Inde est la principale productrice.

Non seulement elle est utilisée en teinture pour donner un jaune vif magnifique, mais surtout, elle est utilisée depuis des millénaires par la médecine indienne, dite ayurvédique.

Or le curcuma suscite aujourd’hui l’intérêt des chercheurs. Pour ses propriétés digestives, bien sûr, mais aussi pour sa capacité à diminuer les inflammations, prévenir le cancer et protéger le cerveau de la maladie d’Alzheimer.

 

Un exotisme rentré dans les mœurs

Si le curcuma peut paraître exotique à bon nombre d’entre nous, il est pourtant connu des médecins français depuis très longtemps.

Ainsi on le retrouve dans nos traités médicaux dès le XVIIe siècle. Employé contre les affections de la peau et des yeux, il avait aussi la réputation d’ouvrir l’appétit, de soigner la rate, le foie, de dissoudre les calculs rénaux et de parer aux dysfonctionnements urinaires.

Ces utilisations se retrouvent au XIXe siècle chez les médecins Cazin, Leclerc et Parturier, et encore aujourd’hui, l’organisation européenne de phytothérapie, l’ESCOP, le recommande contre les maux digestifs.

 

De nombreuses études phytothérapeutiques

Ces derniers temps, le curcuma est, comme le safran qu’il remplace souvent, au centre de nombre d’études phytothérapeutiques. En particulier la curcumine, l’un de ses composants principaux, qui pourrait grandement contribuer à la prévention des cancers.

Cela s’explique par la capacité de cette molécule à lutter contre le stress oxydatif – responsable de la dégénérescence cellulaire – mais aussi contre l’inflammation qui, lorsqu’elle est chronique, entraîne des dysfonctionnements immunitaires et métaboliques en chaîne. Deux situations qui sont étroitement liées à l’apparition et au développement des tumeurs.

Ces vertus préventives fonctionneraient ainsi contre nombre de cancers, notamment contre ceux de la sphère ORL, du poumon et du sein. Il aurait aussi un effet résolument bénéfique dans la réduction de la néoplasie intra-épithéliale, un état précancéreux de la prostate.

Toutefois, ces propriétés peuvent aussi vous servir si vous n’êtes pas gravement malade : parce qu’elle est antioxydante, la curcumine permet de prévenir le vieillissement cellulaire. D’autre part, de récentes études montrent qu’un traitement à base de curcumine conduirait à une amélioration des symptômes en cas de polyarthrite inflammatoire et à une diminution des inflammations postopératoires.

 

Chimios boostées ou inhibées

C’est un fait, la curcumine ne fait pas que prévenir le cancer, elle permet aussi de lutter contre lui. En Chine, on l’emploie par exemple pour traiter les premières phases du cancer du col de l’utérus, ce qui fait l’objet de plusieurs études convergentes.

Elle aurait également un effet positif contre le cancer de la peau, notamment par un rétrécissement des lésions cancéreuses externes, mais aussi contre la polypose recto-colique familiale, les métastases hépatiques, et surtout le très répandu cancer colorectal.

Comme le note Bérengère Arnal-Morvan, gynécologue et spécialiste du cancer du sein, le curcuma a un effet particulier sur les chimiothérapies. Par prudence, il vaut mieux éviter d’en prendre deux jours avant et après le traitement. Surtout s’il implique certaines molécules (camptothécine, doxorubicine, méchloréthamine, cyclophosphamide et vincristine) dont il inhibe en partie les effets.

Au contraire, si votre traitement inclut certains autres médicaments chimiothérapeutiques (gemcitabine, paclitaxel, docétaxel et oxaliplatine), non seulement le curcuma en potentialise les effets, mais en plus, il en améliore la tolérance, explique la spécialiste.

 

Le curcuma pour un cerveau en pleine forme

Le curcuma est donc plein de ressources, et l’une d’elles, moins connue, consiste à contribuer à la lutte contre le diabète, avant tout en faisant baisser la glycémie. Mais en plus, des études sur les animaux ont montré qu’il retardait l’apparition et la progression de la cataracte due au diabètechez les sujets testés.

Ceux qui mangent du curry auront ressenti un certain éveil des sens, surtout s’il est épicé ! Il se trouve que la curcumine est incontestablement bonne pour les capacités intellectuelles et qu’elle ferait un remède de premier ordre contre la maladie d’Alzheimer. Cette dégénérescence des facultés intellectuelles est marquée par l’inflammation neuronale et l’agrégation cérébrale de plaques amyloïdes, un ensemble de protéines gênant la transmission des informations dans le cerveau.

Or la curcumine accroît notre capacité d’élimination de la bêta-amyloïde et réduit également les fibrilles qui sont caractéristiques de la maladie d’Alzheimer. Ainsi, non seulement la curcumine nous permet de prévenir cette pathologie, mais elle permettrait aussi de contenir le processus une fois qu’il est apparu.

La consommation de curcuma pourrait-elle en partie expliquer pourquoi la prévalence de la maladie d’Alzheimer chez les adultes de 70-79 ans en Inde est 4,4 fois inférieure à celle des personnes du même âge aux États-Unis ?

La parade indienne pour mieux l’assimiler

Oui, la cuisine indienne est particulièrement riche, ce qui décourage certains d’en manger. Et pourtant, si les Indiens s’en nourrissent quotidiennement, c’est qu’ils ont des parades, et le curcuma n’est pas la moindre.

Déjà, il est très nutritif ! Condiment consommé frais en Asie du Sud-Est ou séché et pulvérisé en Inde, il contient des fibres et aussi beaucoup de vitamines : C, E, K, B1, B2, B3, B6 et B9. Mais pas de vitamine B12. Très riche en sels minéraux, en manganèse et en fer, il constitue également un très bon apport en potassium, calcium, magnesium, cuivre et zinc.

Cependant, ces qualités nutritionnelles sont les moindres de ses avantages… Ainsi, le curcuma favorise le processus digestif, régule la flore intestinale, atténue les risques de gastrites et d’ulcères, protège le foie, améliore la digestion des corps gras et des sucres et augmente la sécrétion de bile. Il est dès lors particulièrement recommandé en cas de difficultés digestives, de colite, de coliques, de prise d’antibiotiques irritants, de brûlures d’estomac, de gaz et de ballonnements. Et il aide aussi à faire baisser le mauvais cholestérol.

Une de ses propriétés recherchées est sa capacité à lutter contre une bactérie pathogène appelée Helicobacter pylori, qui vit dans l’estomac et s’y rend responsable de l’ulcère gastroduodénal. Les dernières études en attestent.

En outre, il serait également efficace pour combattre les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin, notamment d’origine auto-immune : le syndrome du côlon irritable, mais aussi la proctite ulcéreuse, la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique.

Nous vous en avons déjà parlé : ce que les intestins ne filtrent pas, c’est la peau qui s’en charge. Ne vous étonnez donc pas que les vertus digestives du curcuma contribuent aussi à vous débarrasser de l’eczéma, de l’acné, mais aussi du psoriasis et de ses démangeaisons si déplaisantes.

 

Du poivre pour optimiser… avec un mais

Seul bémol : parsemer sa nourriture de curcuma, ou en prendre une cuillerée par-ci par-là, ne suffit pas pour pleinement profiter de ses vertus thérapeutiques. En effet, notre intestin peine à capter les molécules de curcumine, trop volumineuses et trop facilement éliminées par notre métabolisme. De sorte que notre santé n’en profite guère.

Les Indiens ont trouvé une parade avec le poivre, et plus spécifiquement le poivre long, l’un des secrets d’un bon curry. La pipérine que contient le poivre permet ainsi de décupler notre capacité à profiter des vertus du curcuma. C’est ce que l’on appelle sa biodisponibilité.

Mais attention ! La pipérine n’offre pas une biodisponibilité optimale, et surtout, elle augmente l’absorption d’autres molécules par notre intestin : celles des métaux lourds, mais aussi et surtout celles des médicaments, dont elle fausse les dosages.

Soyez donc prudent avec le duo curcumine + poivre si vous êtes sous traitement médicamenteux. Pour éviter ces déconvenues, des compléments alimentaires ont été créés pour garantir une meilleure absorption du curcuma, sans ces inconvénients (voir le carnet d’adresse).

 

Quelques recettes… et quelques précautions

Je me suis souvent demandé pourquoi le curry, qui est certes excellent, a eu un succès tel que la recette s’est disséminée de l’Inde jusqu’au Japon. La réponse tient peut-être aux vertus du curcuma.

Donc si vous n’êtes pas malade et que vous voulez en profiter à titre de thérapie douce pour ses effets préventifs, vous pouvez en prendre à raison d’une cuillère maximum par jour, avec du poivre, bien sûr.

Vous pouvez ainsi vous concocter quelques recettes en l’ajoutant comme ingrédient. Mais là encore, faites attention ! Les taches laissées par le curcuma, produit de teinture encore utilisé comme tel aujourd’hui, ne partent pas facilement !

Pour la décoction, mettez deux cuillerées à café de racine concassée dans un bol et faites bouillir 3 minutes, puis infusez 10 minutes. Prenez-en à raison de 2 à 3 bols par jour, et vous profiterez de ses bienfaits.

Si ce sont plutôt ses effets dermatologiques qui vous intéressent, délayez une cuillère à café dans un peu d’eau et appliquez-la sous forme de cataplasme 3 fois par jour. Toutefois, d’un point de vue purement esthétique, nous vous déconseillons de vous en mettre sur le visage…

N’oubliez pas non plus que le curcuma, remède solide et utilisé de longue date, réclame quelques précautions. Ainsi, il est déconseillé à haute dose en cas de calculs biliaires, de grossesse ou de prise d’anticoagulants.

N’hésitez pas à nous envoyer vos recettes de curry !

Exercices contre la sciatique – pourquoi devez-vous effectuer les bons exercices ?

Exercices contre la sciatique – pourquoi devez-vous effectuer les bons exercices ?

La sciatique, à son niveau le plus élémentaire, est causée par l’irritation du nerf sciatique. Ce nerf va de la colonne vertébrale à la plante des pieds – ce qui explique pourquoi la douleur liée à la sciatique se ressent souvent comme des « chocs » électriques partout dans les membres inférieurs.

Si vous souffrez de sciatique, loin de vous l’idée de faire de l’exercice ou de pratiquer une activité physique. C’est tout à fait compréhensible – surtout si la douleur est sévère. Pourtant, il est essentiel de rester actif pour empêcher vos muscles de devenir trop faibles et trop raides.

La meilleure façon de le faire est par le biais d’exercices guidés contre la sciatique. En utilisant une combinaison d’exercices de renforcement musculaire et de mobilité, vous pourrez maintenir la force et réduire la compression du nerf sciatique. Cela pourra conduire à une amélioration relativement rapide de la douleur.

Il ne s’agit pas simplement de regarder sur Google et de commencer un certain nombre d’exercices aléatoires contre la sciatique. Mais c’est pourtant l’erreur commune que de nombreuses personnes font – cela conduit généralement à une augmentation des douleurs et du temps de récupération. C’est également l’une des principales raisons pour lesquelles les personnes qui utilisent des programmes d’exercices de soulagement de la sciatique ne réduisent pas la douleur comme ils le souhaiteraient.

 

Pourquoi les programmes d’exercice contre la sciatique sont souvent inefficaces ?

La sciatique peut être causée par différents problèmes, y compris une hernie discale dans la colonne vertébrale, des infections de la colonne vertébrale, des blessures répétitives, un agrandissement des ligaments… et bien plus. Le fait de pratiquer le mauvais exercice pour traiter la cause sous-jacente de votre sciatique pourra avoir comme effet d’aggraver votre douleur – et peut augmenter le temps pris pour un rétablissement complet.

Si votre sciatique est par exemple causée par une flexion excessive de la colonne vertébrale, des exercices visant à augmenter la portée du mouvement lombaire pourront aggraver vos douleurs. En revanche, ces mêmes exercices pourront être efficaces pour traiter la sciatique causée par une rigidité musculaire excessive autour du nerf sciatique.

Voilà pourquoi vous devez être extrêmement prudent au moment d’adopter une routine quotidienne d’exercices contre sciatique que vous avez trouvée en ligne. En fait, à moins que le programme ne recommande des exercices différents pour chaque cause de sciatique, il est probablement préférable de l’éviter.

SOS Sciatique

Création d’une routine d’exercices efficaces contre la sciatique

Les nombreux programmes d’exercices de soulagement de la sciatique engendrent généralement un problème beaucoup plus grave. Même si un programme de base peut offrir un soulagement à court terme, nombre sont ceux qui ne prennent pas en compte les composantes essentielles et nécessaires à la réussite sur le long terme.

Un programme efficace doit inclure:

  • Des exercices pour prévenir la faiblesse musculaire sans aggraver votre état actuel.
  • Un système pour augmenter progressivement l’intensité pour acquérir la puissance et réduire la douleur.
  • Des exercices pour réduire le stress dans le bas du dos.
  • Des exercices structurés conçus spécifiquement pour attaquer la cause sous-jacente de votre sciatique.
  • Un guide complet pour connaitre la position correcte pour chaque exercice – de sorte que vous n’aggraviez pas votre état accidentellement ou que vous provoquiez une nouvelle blessure.

Sans ces éléments, un programme d’exercice ne fera certainement pas de différence durable sur la sensation de douleur. Vous pourrez éprouver un certain soulagement à court terme, mais le problème sous-jacent reviendra souvent rapidement.

 

Comment guérir la sciatique à la maison

Si vous en avez assez que la sciatique ait le contrôle sur votre vie, ne désespérez pas!

Voici trois des traitements les plus courants que vous pouvez réaliser à domicile pour soulager la sciatique – et comment vous pouvez les utiliser pour réduire la douleur rapidement.

Ces traitements peuvent véritablement guérir la sciatique – pas uniquement anesthésier la douleur.

Commençons dès maintenant…

 

1. Program d’exercices à la maison

Les programmes d’exercices sont une composante importante de tout traitement de la sciatique. En étirant et en renforçant certaines parties de votre corps pouvant causer une irritation du nerf sciatique, vous pourrez réduire la douleur et accélérer la récupération.

Les exercices les plus efficaces dépendent de la raison pour laquelle vous souffrez de la sciatique. Les sciatiques causées par une hernie discale, par exemple, ne sont pas traitées avec les mêmes exercices que les sciatiques causées par la sténose spinale. Pour trouver les meilleurs exercices pour chaque cause de sciatique, cliquez ici.

Il est également important de veiller à ce que votre corps soit détendu pour lui permettre de guérir. Une excellente façon de le faire, sans aggraver votre état, est de marcher rapidement. D’autres activités légères peuvent avoir un effet similaire, mais si vous ressentez une douleur, cessez immédiatement.

Astuce : Il est essentiel que vous ne restiez pas complètement cloué au lit en raison de la douleur. Si vous restez allongé au lit pendant plus de deux jours, votre sciatique va empirer, car vos muscles se contractent et s’affaiblissent.

 

2. Équilibrez votre alimentation

Soigner la sciatique de manière permanente signifie souvent traiter plus que les causes physiques. Vous devrez également améliorer votre alimentation pour prévenir la douleur de réapparaitre de nouveau.

Une des façons les plus faciles de réduire la douleur associée à la sciatique est de boire plus d’eau. Lorsque vous êtes déshydraté, certaines parties de votre colonne vertébrale se dégonflent. Ceci peut provoquer une pression supplémentaire sur le nerf sciatique.

Si possible, essayer d’éviter également les aliments anti-inflammatoires. Il existe beaucoup trop d’aliments inflammatoires dont la liste est disponible dans cet article, mais quoi qu’il en soit à haute teneur en sucre. Ceux-ci peuvent potentiellement conduire à l’inflammation et à l’augmentation de la douleur.

 

3. Remèdes maison

Les remèdes maison peuvent produire une grande différence pour calmer la douleur sciatique – et souvent de manière rapide. Les remèdes maison ont également l’avantage de ne pas nécessiter de prescription ou d’ingrédients coûteux.

Un des remèdes maison les plus simples est de consommer des arachides. En effet, les arachides contiennent beaucoup de magnésium, un élément crucial pour permettre aux muscles de se détendre.

En mangeant une petite/moyenne portion d’arachides chaque jour, les muscles qui entourent le nerf sciatique seront davantage susceptibles de se détendre et de réduire la pression.

 

Choisir le bon remède maison contre la sciatique

Chacun de ces traitements maison peut être efficace – mais vous ne devez pas choisir de traitements aléatoires contre la douleur. Il est important de choisir le bon traitement pour traiter la cause sous-jacente à votre sciatique, ou votre douleur pourra s’aggraver – ou ne pas disparaitre.

Recommandation


Si vous souhaitez apprendre à soulager la sciatique en seulement sept jours, cliquez ici pour un programme de traitement complet. Ce programme comporte également un guide pour une routine d’exercices en toute sécurité, peu importe la cause de la sciatique, et il vous indiquera exactement les exercices que vous devriez faire pour soulager votre sciatique! Arrêtez d’essayer et débarrassez-vous de votre sciatique en moins d’une semaine – 100% garanti => Cliquez-ici pour en savoir plus