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Comment Soigner le Rhume Avec Une Infusion Au Gingembre ?

Comment Soigner le Rhume Avec Une Infusion Au Gingembre ?

Bien qu’il soit généralement synonyme d’automne ou d’hiver, le rhume peut survenir à n’importe quel moment de l’année…

Et c’est une sensation très désagréable avec le nez qui coule, un mal de crâne et souvent un peu de fièvre.

Bien sûr, il existe des médicaments en vente libre dans les pharmacies, mais pourquoi dépenser de l’argent pour des produits peu efficaces et pas si bons pour la santé quand il existe des alternatives naturelles et faciles à préparer ?

Les pouvoirs du gingembre

On est habitué à voir le gingembre en accompagnement des plateaux de sushis dans les restaurants Japonais, auquel cas il est généralement rose.

Mais dans sa forme naturelle, le gingembre est une racine de couleur jaune, qui est assez piquante au goût.

C’est un aliment très intéressant car il possède de très fortes propriétés antiseptiques et il est chargé d’antioxydants, ce qui en fait un allié précieux contre le vieillissement et contre les agressions extérieures…comme dans le cas du rhume !

Certains lui attribuent aussi des vertus aphrodisiaques, mais ce n’est pas le sujet de cet article… 😉

Ingrédients et préparation

Cette infusion est très simple à préparer, mais elle n’en reste pas moins efficace et décongestionnante. Vous allez immédiatement vous sentir mieux après l’avoir consommée, si vous la faites assez infuser pour profiter de toutes les vertus du gingembre.

Vous avez besoin de:

– Gingembre sec (1 c. à café)

– Eau bouillante (1 tasse)

– Miel (optionnel)

Et pour la préparation:

  1. Mélangez le gingembre sec et l’eau bouillante.
  2. Ajoutez le miel si vous avez envie d’adoucir le mélange.
  3. Buvez lentement. Vous pouvez en faire plusieurs tasses par jour.

Généralement, les effets sont très rapides et la sensation de bien être arrive rapidement.

Article connexe : Comment Fabriquer Un Masque Rajeunissant Au Thé Matcha ?

On peut aussi noter que certaines épices, comme le piment, la moutarde, le raifort ou le wasabi ont aussi une action décongestionnante et sont donc utiles en cas de rhume. Pensez à en ajouter au moment des repas !

Comment Fabriquer Un Masque Rajeunissant Au Thé Matcha ?

Comment Fabriquer Un Masque Rajeunissant Au Thé Matcha ?

Vous souhaitez redonner un coup de jeune à votre visage ? Vous aimeriez vous débarrasser des petites rides que vous avez au coin de l’œil ou sur le front ?

Alors vous allez être très intéressé par ce masque rajeunissant naturel, qu’on va découvrir ensemble.

Mais d’abord, il faut que je vous parle des propriétés du Matcha.

Le Thé Matcha, c’est quoi ?

Le matcha est un thé vert en poudre fabriqué en Chine et réputé pour ses vertus pour la santé.

C’est le plus ancien thé au monde et il est crée grâce à des méthodes traditionnelles pour en conserver les propriétés anti-oxydantes.

En fait, c’est du thé qui est écrasé par de grosses pierres qui tournent très lentement pour éviter de le faire chauffer et de détruire les principes actifs, jusqu’à obtenir une poudre verte.

C’est cette poudre qu’on fait ensuite infuser pour obtenir du thé.

C’est très intéressant, mais en quoi ça me permet de rajeunir ma peau du visage ?

Attendez, on y vient…

Le masque rajeunissant

Le masque que l’on va préparer va vous permettre de réduire les rougeurs de votre visage et aussi de nourrir votre peau en profondeur. C’est un excellent soin que je vous recommande de faire régulièrement.

Le miel, que l’on va ajouter, a également un effet nourrissant et antiseptique. Il vous aidera à vous débarrasser des boutons. Et la cannelle aide la circulation du sang.

Utilisez ce masque une fois pour semaine pour un effet rajeunissant !

Ingrédients et préparation

Vous avez besoin de:

– Thé matcha (1 c. à soupe)

– Miel liquide (1 c. à café)

Article connexe : Comment Soigner le Rhume Avec Une Infusion Au Gingembre ?

– Cannelle (1 pincée)

– Eau bouillante

– Pinceau

Et pour la préparation:

  1. Mettez le matcha, le miel et la cannelle dans un bol
  2. Recouvrez d’eau bouillante et mélangez jusqu’à obtenir une pâte. Laissez refroidir.
  3. Appliquez sur le visage et le cou  avec un pinceau. Laissez poser 20 minutes puis rincez à l’eau. Hydratez votre peau.

Vous allez immédiatement sentir les effets apaisants et rajeunissants pour la peau de votre visage, c’est une sensation très agréable !

Plus de microbes pour moins d’allergies…

Plus de microbes pour moins d’allergies…

Les Merveilleux Bienfaits du Bicarbonate de Soude

Entre 1968 et 2017, le nombre de patients atteints d’allergies a explosé pour passer de 3.8% à 30%. Les causes sont multiples et si aucune action n’est prise rapidement, la situation peut vite devenir “critique” selon le Syndicat français des allergologues (SYFAL) qui a voulu faire entendre sa voix lors de la 11e journée française de l’allergie le 21 mars dernier. L’OMS de son côté estime que la moitié de la population mondiale souffrira d’allergie d’ici 2050.

La pollution : ennemi numéro 1

 

La pollution de l’air est considérée comme la principale cause d’explosion des allergies. Attention aux idées reçues, car le meilleur moyen de se protéger n’est pas de rester chez soi. “On a tendance à penser que l’air intérieur est moins pollué que l’air extérieur et qu’il faut donc privilégier le domicile, mais l’air intérieur est cinq à dix fois plus pollué” indique Christine Rolland, directrice de l’association Asthme & Allergies au site santemagasine.fr. En cause : les polluants domestiques (tabac, désodorisants, bougies parfumées) et les allergènes qui aggravent la maladie (acariens, poils d’animaux, moisissures, produits d’entretien).

Attention aux idées reçues, car le meilleur moyen de se protéger n’est pas de rester chez soi.

Deuxième idée reçue : il y a plus de personnes allergiques à la campagne qu’en milieu urbain. C’est faux, car la pollution atmosphérique plus présente en ville aggrave l’allergie aux pollens, ce qu’explique Christine Rolland au Parisien. D’où les propositions du SYFAL de diminuer les seuils d’alerte de 80 μg/m3 à 50 μg/m3 concernant la pollution aux particules fines.

Attention à la surprotection

Selon le docteur Sophie Silcret-Grieu, médecin allergologue à Paris, c’est en partie le manque de microbes durant l’enfance qui engendre une augmentation des allergies. L’hypothèse “hygiéniste” estime que dans les pays industrialisés, le système immunitaire est trop protégé des petits problèmes infectieux durant la petite enfance. Par manque de contact avec les microbes, il mettrait en place un mécanisme de défense contre les substances qui ne sont pas dangereuses.

C’est en partie le manque de microbes durant l’enfance qui engendre une augmentation des allergies.

 

 

Demande d’un affichage lisible des allergènes

Le SYFAL souhaite la mise en place d’un “plan Allergies”. L’idée du syndicat serait d’afficher clairement les substances allergènes sur les produits de grande consommation. Ce plan inclurait également la création d’un observatoire des allergies qui listerait les plantes et produits contenant des allergènes, le renforcement des crédits de recherche et l’ajout d’une rubrique dédiée dans le carnet de santé de chaque Français.

Manque de reconnaissance

Le SYFAL estime que les allergies restent “aujourd’hui sous-diagnostiquées en raison de la reconnaissance insuffisante dont elles font l’objet”. Pourtant, elles ont un coût important direct ou indirect : traitements, journées d’arrêt de travail, baisse de la productivité et de la qualité de vie.

Selon un récent sondage IFOP réalisé pour l’association Asthme & Allergies, 34% de Français interrogés se disent allergiques, près d’un français sur deux (47%) pense qu’une allergie n’est pas une vraie maladie et 39% estiment qu’il faut apprendre à vivre avec son allergie, car elle ne se soigne pas.

Voir les sources : Cliquez ici
La liste noire des produits ménagers toxiques à éviter…

La liste noire des produits ménagers toxiques à éviter…

La liste noire des produits ménagers toxiques à éviter…

Le magazine 60 millions de consommateurs, de l’Institut national de la consommation (INC), a consacré un hors-série sur la toxicité des produits ménagers. Le constat est édifiant, les produits ménagers toxiques sont nombreux. Après avoir passé au crible plus d‘une centaine de produits d’entretien, le magazine de défense du consommateur et dressé sa liste noire des composants indésirables et mêmes toxiques.

60millionCe numéro spéciale de 60 millions de consommateurs paru le 12 avril provoque de l’urticaire à sa seule lecture. Ce que l’on y apprend est pour le moins inquiétant.

Le magazine se penche en effet sur les produits ménagers toxiques courants proposés dans le commerce. L’addition est lourde, et même édifiante !

Dans son édito, la rédactrice en chef déléguée, Adeline Trégouët, révèle :

Contrairement aux cosmétiques, les articles des rayons entretien et droguerie sont peu étudiés. La mention de leur composition sur l’emballage n’est pas obligatoire (…) Pourtant, ces produits contiennent en majorité une ou plusieurs substances indésirables, présentant des risques pour la santé humaine et pour l’environnement.

 

Trop de substances dangereuses pour la santé

Le magazine a passé au crible pas moins d’une centaine de produits. Surprise : la quasi totalité d’entre eux contient un ou plusieurs composants toxiques dangereux parmi la vingtaine de substances répertoriées.

Ces marques sont connues de tous : Ajax, Ariel, Canard, Carolin, Cif, Cillit Bang, Destop, Febreze, Harpic, La Croix, Mir, Mr. Propre, Pliz, Saint-Marc, Sanytol…

Toutes contiennent des substances allergisantes, irritantes, corrosives, et/ou risquées pour l’environnement. Plus étonnant, la marque Rainett qui se veut écologique, et dont les produits sont faits à partir d’ingrédients naturels, contient un agent irritant et corrosif : le phénoxyéthanol.

Le magazine rappelle que la législation impose aux fabricants certaines mentions sur leurs étiquettes, aussi bien sur la composition de leur produits que sur leur mode d’emploi, leur dosage ou encore sur les précautions d’usage. Le constat : Ces indications – souvent en pattes de mouche ! – sont loin d’être limpides

 

Vinaigre blanc et bicarbonate de soude : naturels et bons presque partout

Outre un précieux mémo des produits toxiques à détacher, ce hors-série de 60 millions de consommateurs offre un éclairage sur la façon de s’en passer, en misant sur le bicarbonate de soude, le vinaigre blanc et autres produits naturels. A chacun d’entre eux correspond un tableau comparatif de marques selon leur rapport qualité / prix.

Prônant définitivement le « Do it yourself », le magazine recommande d’utiliser des recettes écologique faites maison pour nettoyer chez soi sans s’intoxiquer.

 

Les pires produits à éviter

La rédaction du magazine a donc épluché les étiquettes de centaines de produits, classés dans sept différentes familles. Pour chacune d’entre elles, elle décerne des mauvais points aux articles les plus nocifs :

 

1 – antibactériens et désinfectants

dettol« La peur des microbes est un terreau de choix pour les marques », relève 60 millions de consommateurs. Dégainer un désinfectant n’est pas forcément la marche à suivre. Le magazine rappelle que « la plupart des maladies se transmettent par les mains », et donc : « les laver soigneusement avec de l’eau et un savon ordinaire suffira amplement à éliminer [les] microbes ».

  • Carton rouge au Désinfectant pureté Dettol. Le désinfectant pureté Dettol contient du chlorure de benzalkonium, substance
    pouvant favoriser le développement de bactéries résistantes. Il obtient pour la peine un carton rouge. A noter que 60 millions de consommateurs s’étonne de « l’étrange caution du logo de l’Institut Pasteur«  qui apparaît sur son emballage.

 

 2 – Les produits nettoyants surpuissants

mrpropreLe magazine se penche également sur les « nettoyants surpuissants et corrosifs ». Ceux-ci « sont très agressifs et peuvent abîmer définitivement vos surfaces […] et, plus grave, vos yeux, vos mains et vos poumons ». Nous sommes prévenus :

L’acide chlorhydrique du Canard (WC) peut brûler la peau et son rejet dans les eaux usées est très toxique pour les poissons, coquillages et crustacés.

  • Carton rouge à Mr Propre Fraîcheur du matin avec Febreze. Ce nettoyant multiusage contient « pas moins de quatre parfums, classés allergisants dans la réglementation européenne », note le magazine. Parmi eux, l’HICC, « considéré comme particulièrement problématique. Figurent aussi dans sa composition deux conservateurs, également allergisants » : benzisothiazolinone, glutaral.

 

3 – Les parfums et allergisants

mididouLa promesse d’un intérieur et de linge délicatement parfumés ne doit pas faire oublier que « 600.000 à 2 millions de Français » sont affectés par les allergies aux parfums, rappelle 60 millions de consommateurs, qui s’intéresse aux fragrances des produits ménagers. Outre leur caractère allergisant, ces parfums émettent des « composés organiques volatils (COV), qui vont polluer l’air intérieur». Même des conservateurs contenus dans les produits ménagers sont allergisants !

  • Carton rouge à Minidou concentré Jardin de fraîcheur. « Ne vous laissez pas abuser par le minois innocent du petit piaf blanc de l’étiquette : cet assouplissant est un concentré de substances indésirables », met en garde 60 millions de consommateurs qui pointe pas moins de six conservateurs, « tous allergisants et irritants », six parfums allergisants notoires et des silicones !

 

4 – Les produits gadgets

febrezeLe magazine analyse également la composition de ce qu’il désigne comme les « produits gadgets » dédiés à l’entretien. Autrement dit, tous ces produits non indispensables qui pullulent dans les rayons. Un exemple parmi tant d’autres, « les nettoyants […] pour fruits et légumes lancés par la jeune marque française Vegan Eden » qui entendent remplacer le nettoyage à l’eau du robinet.

  • Carton rouge à Febreze Sleep Serenity Lait chaud et miel. Cette « brume d’oreiller » contient des « composés franchement indésirables », selon 60 millions de consommateurs, qui dresse une inquiétante liste : « didécylméthylammonium chloride (irritant et favorisant la résistance des bactéries), hydroxyde de sodium (irritant), linalool et benzisothiazolinone (allergisants) ». Pas de quoi s’endormir tranquille…

 

5 – Les lingettes nettoyantes

harpicN’en déplaise aux fabricants, dont certains incitent explicitement à les jeter dans la cuvette des toilettes, les lingettes « ne sont ni recyclables ni compostables, et doivent donc être jetées dans la poubelle des déchets ménagers », rappelle le magazine. Pour la plupart d’entre elles, elles sont en outre « imprégnées de substances indésirables », alerte le magazine.

  • Carton rouge à Harpic Lingettes désinfectantes Hygiène marine biodégradables. Là, 60 millions de consommateurs se fâche carrément, car « le fabricant incite explicitement à jeter [ces lingettes] dans les toilettes […] et laisse entendre qu’elles sont biodégradables, ce qui constitue une supercherie intellectuelle ». Par ailleurs, le produit contient du « chlorure de benzalkonium, un antibactérien irritant ».

 

6 – Les bombes aérosols

cillit bangAprès lecture de l’enquête, vous n’utiliserez plus jamais d’aérosol sans frémir, type de produit qui constitue une « triple menace », selon le magazine : « Ce sont des produits très inflammables, leur mode de propulsion décuple l’exposition aux substances indésirables et, en cas de mésusage […], les solvants inhalés peuvent provoquer une mort immédiate ! »

  • Carton rouge à Cillit Bang Mousse active douche et surfaces larges. « Peut éclater sous l’effet de la chaleur. Protéger du rayonnement solaire. Utiliser seulement en plein air… », est-il indiqué dans les mises en garde de ce produit nettoyant de salle de bain. L’aveu d’une « dangerosité certaine », estime « 60 millions de consommateurs » qui pointe de surcroît une « efficacité douteuse ».

 

7 – Les « faux produits verts »

mirL’enquête pointe enfin les « faux produits verts » : « La présentation de certains produits et les mentions sur leur emballage laissent entendre qu’ils sont doux, naturels, respectueux de notre santé et de la planète. Ce n’est hélas pas toujours le cas. »

  • Double carton rouge cette fois-ci : Mir Vaisselle Secrets de nature Calendula ; Method Liquide vaisselle Citron + menthe. En dépit d’indications rassurantes sur son étiquette, le premier contient des conservateurs allergisants. Quant au second, deux conservateurs et deux parfums allergisants entrent dans sa composition. « C’est bien dommage, car la démarche de Method ne manque pas d’intérêt », regrette 60 millions de consommateurs, qui salue une marque se voulant plus respectueuse de l’environnement.

 

Pour en savoir plus et découvrir les incroyables utilisations possibles du Bicarbonate de Soude et découvrir 21 Recettes écologiques pour fabriquer tous ses produits d’entretien, nous vous recommandons cet article sur la page suivante : Les Merveilleux bienfaits du Bicarbonate de Soude

 

Liste noire des composants toxiques :

– Acide chlorhydrique : irritant pour la peau et le système respiratoire, corrosif.
– Acide oxalique : irritant pour les yeux et la peau, corrosif, dégagement de gaz toxiques en cas de mélange.
– Acide sulfamique : irritant, corrosif, toxique pour les organismes aquatiques.
– Alkyl ethoxylates et dérivés : irritant, toxique pour les organismes aquatiques.
– Benzisothiazo-linone : irritant, allergisant, toxique pour les organismes aquatiques.
– Butoxyéthanol : irritant, cancérogène possible.
– Chlorure de benzalkonium : favorise l’apparition de micro-organismes résistants.
– Didécylméthyl-ammonium chloride : irritant, corrosif, favorise l’apparition de micro-organismes résistants.
– EDTA : faible biodégradabilité, risque de persistance de l’environnement.
– Éthanolamine : irritant pour la peau et les voies respiratoires, corrosif.
– Ethoxydiglycol (DEGEE) : irritant pour la peau et les voies respiratoires, corrosif.
– Peroxyde d’hydrogène : irritant, corrosif, dangereux en cas de mélange (acides, ammoniaque), comburant (qui permet la combustion).
– Lyral (ou hydroxyisohexyl 3 cyclohexene carboxaldehyde) : très allergisant.
– Hypochlorite de soude : irritant pour la peau et le système
– Hydroxyde de sodium : irritant, corrosif, menace potentielle pour la faune et la flore.
– Lodopropynylbutyl carbamate : allergisant, irritant, corrosif, très toxique pour les organismes aquatiques.
– Metaperiodate de sodium : irritant, corrosif, toxique pour les organismes aquatiques.
– Méthylchloroisothiazolinone : très allergisant, très toxique pour les organismes aquatiques, avec effets à long terme.
– Méthylisothiazolinone : très allergisant, très toxique pour les organismes aquatiques.
– Phénoxyétahnol : allergisant, irritant, effets reprotoxiques à forte dose chez l’animal.

Le Bicarbonate de Soude, une poudre extraordinaire !

Le Bicarbonate de Soude, une poudre extraordinaire !

Le Bicarbonate de Soude, une poudre extraordinaire !

D’origine naturelle, le Bicarbonate de Soude est utilisé depuis l’Antiquité par les Égyptiens, il est écologique, non-toxique, économique et possède de très nombreux bienfaits !

Le Bicarbonate de soude est en réalité du Bicarbonate de sodium (NaHCO3) il est communément appelé « Bicarbonate de soude » ou simplement « Bicarbonate » et possède de nombreuses autres appellations : Hydrogénocarbonate de sodium, Carbonate acide de sodium, Carbonate acide monosodique, Baking soda (ÉtatsUnis), Sel de Vichy (Belgique), la petite vache (Canada).

Mais attention, il ne faut pas le confondre avec le Carbonate de Sodium (Na2CO3), ou cristaux de soude, qui est plus puissant que le Bicarbonate de soude et qui est utilisé pour le ménage. Le Carbonate de sodium est également non toxique pour l’environnement, mais n’est pas biodégradable. Il est conseillé de le manipuler avec des gants car il peut être un peu irritant. Le Bicarbonate de soude est quant à lui non toxique et biodégradable ce qui en fait un produit simple d’utilisation et sûr. Il peut être utilisé à proximité des enfants sans risque.

Le principal avantage du Bicarbonate de soude est d’éviter l’utilisation de substances chimiques qui entrent dans la composition de produits de consommation courante et que l’on retrouve partout : fruits et légumes, produits cosmétiques, médicaments ou détergents…

Il est stupéfiant de constater tout ce que ce produit pourtant très économique, peut aider à faire. La multiplicité des applications du Bicarbonate est surprenante, il peut remplacer une grande quantité de produits d’entretien, de cosmétique, d’hygiène et de soins cosmétiques vendus dans le commerce à des prix prohibitifs et remplis de perturbateurs endocriniens.

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Voici 10 astuces avec le Bicarbonate auxquelles vous n’auriez jamais pensées :

 

Le Bicarbonate de soude nettoie et aide à la conservation des légumes

En nettoyant vos fruits et légumes avec du Bicarbonate de soude avant de les stocker, vous améliorer nettement leur conservation. Le Bicarbonate va agir en désincrustant les saletés de la peau des fruits et légumes et ainsi diminuer l’apparition rapide des moisissures.

Il soulage les aigreurs d’estomac et les remontées acides 

Si vous avez des aigreurs d’estomac, des remontées acides ou une digestion difficile après le repas ; diluez une cuillère à café rase de Bicarbonate de soude dans un grand vers d’eau, cela vous soulagera.

Il apaise les aphtes et les boutons de fièvre

Pour apaiser un aphte ou un bouton de fièvre, préparez une pâte à l’aide d’un peu d’eau et de Bicarbonate de soude et appliquez-la directement.

Il soulage les affections de l’hiver

Pour un rhume, diluez deux cuillères à soupe de Bicarbonate de soude dans de l’eau portée à ébullition et à l’aide d’une serviette réalisez une inhalation. Pour plus d’efficacité vous pouvez ajouter quelques gouttes d’huile essentielle d’eucalyptus radié bio – à noter que les huiles essentielles sont déconseillées chez les enfants et les femmes enceintes.

Il désinfecte les égratignures

Si votre enfant s’égratigne les mains et les genoux en tombant sur du gravier, appliquez une pâte de Bicarbonate de soude (que vous aurez confectionnée en le mélangeant à un peu d’eau) sur les écorchures. Laissez en place un moment et rincez abondamment.

Le Bicarbonate de soude permet de se relaxer

6 ou 7 cuillères à soupe de Bicarbonate de soude ajoutées à l’eau de votre bain permettent d’adoucir votre peau et les irritations liées aux peaux sèches et d’éviter les courbatures après le sport.

Il aide à nettoyer les résidus des plats et casseroles

En utilisant du Bicarbonate de soude, nettoyer votre vaisselle vous semble beaucoup plus simple ! Versez de l’eau chaude, ajoutez 2 cuillères à soupe de Bicarbonate et laissez agir de 10 à 20min puis frottez avec une éponge comme à votre habitude.

Il multiplie la puissance de votre lave-vaisselle

Avant de mettre en route votre machine, saupoudrez votre vaisselle sale avec 2 cuillères à soupe de Bicarbonate. Combiné à l’eau de rinçage, le Bicarbonate va désincruster les saletés et favoriser l’action de votre produit pour lave-vaisselle habituel.

Il optimise la lessive

Il désincruste les tâches et il élimine les mauvaises odeurs du linge et sous-vêtements. Pour favoriser le nettoyage des tâches de votre linge, ajoutez une cuillère à soupe de Bicarbonate au cycle de prélavage de votre machine.

Le Bicarbonate de soude est l’allié du jardinier

Pour protéger vos tomates des nuisibles et leur donner un goût sucré saupoudrez du Bicarbonate tout autour de vos plants de tomates. Pour nettoyer vos allées en gravier, saupoudrez les de Bicarbonate, cela empêchera les herbes indésirables de pousser.

Pour en savoir plus et découvrir les incroyables utilisations possibles du Bicarbonate de Soude, nous vous recommandons cet article sur la page suivante :

Les Merveilleux bienfaits du Bicarbonate de Soude

 

Enquête sur les produits de consommation toxiques

Enquête sur les produits de consommation toxiques

Enquête sur les produits de consommation toxiques

Les Merveilleux bienfaits du Bicarbonate de soude

4 substances chimiques toxiques dans les produits de consommation courante qu’il faut absolument éviter !

Quel est le point commun entre un plastifiant, un conservateur, un émulsifiant et un désherbant ?

Ces 4 substances chimiques entrent dans la composition de produits de consommation courante : objets en plastique, produits cosmétiques, détergents, matériaux de construction, médicaments, fruits et légumes… Ces produits chimiques ont des effets reprotoxiques, appartiennent à la catégorie des perturbateurs endocriniens et sont cancérigènes !

Diffusé sur France 2 le Jeudi 7 Avril 2016 le grand reportage d’Envoyé Spécial : Perturbateurs endocriniens : ils sont partout ! illustre bien à quel point les perturbateurs endocriniens sont présents dans notre quotidien. Les journalistes d’Envoyé Spécial tirent le constat de « la présence des perturbateurs dans des produits de notre quotidien sans aucune mention de leurs caractères dangereux ». De ce fait, nous sommes exposés à un effet cocktail dont il est impossible de déterminer les effets à long terme. Consultés dans le cadre de cette enquête, des scientifiques exposent de façon empirique le caractère nocif de produits d’usage ordinaire que l’on trouve dans les supermarchés.

 

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Depuis une quarantaine d’années, des études épidémiologiques à travers le monde industrialisé ont révélé une baisse de la fertilité masculine en partie liée à la baisse de la production de spermatozoïdes chez l’homme.

On a également constaté, sur la même période, une augmentation de l’incidence des cancers du testicule et de la prostate, ainsi que l’absence d’un ou des deux testicules dans le scrotum et depuis 1950, on rapporte une diminution des naissances de garçons.

Ces évolutions préoccupantes sont souvent attribuées par la communauté scientifique à certaines substances chimiques, comme les phtalates ou le bisphénol A, qui peuvent soit avoir un effet toxique direct sur les organes de la reproduction, soit perturber le fonctionnement du système hormonal reproductif et affecter l’adulte, le jeune enfant, l’embryon ou le fœtus lors de son développement prénatal.

 

« la question des reprotoxiques et des perturbateurs endocriniens est un sujet grave pour la santé publique » Mme Roselyne Bachelot-Narquin, Ministre de la Santé

 Voici donc la liste des 4 substances chimiques dangereuses présentes dans les produits de consommation courante et qu’il faut absolument éviter :

 

1. Les alkylphenols
Les alkylphénols (AP) sont des substances chimiques non-halogénées fabriquées presque exclusivement pour produire des éthoxylates d’alkylphénol (APE), une famille de surfactants (agents de surface actifs) non-anioniques. Ils sont utilisés comme surfactants, émulsifiants, dispersants et/ou agents mouillants dans une grande variété d’applications commerciales et industrielles.
Sur les 77 000 tonnes utilisées en Europe de l’ouest, la plus grande part (presque 30 %) est incorporée dans des produits de nettoyage industriels ou à destination des collectivités (détergents) ; on les retrouve également comme émulsifiants (11 %), dans la finition des textiles (10 %) et du cuir (7 %), comme ingrédients de pesticides et autres produits agricoles (6 %) et dans les peintures à l’eau (5 %) (*1).
De plus, la littérature indique qu’une proportion substantielle (16 % soit plus de 12 000 tonnes) est utilisée dans plusieurs autres « niches commerciales » (ingrédients de cosmétiques, de shampoings, et autres produits de soin corporel).
2. Les phthalates
Les phthalates forment une famille de substance chimique utilisée depuis environ 50 ans, principalement pour rendre le chlorure de polyvinyle (PVC) souple et flexible. Ils sont les plastifiants le plus communément utilisés dans le monde. Mais leur utilisation dans les différents produits de consommation est multiple : certains sont utilisés pour éviter que le vernis à ongles ne s’écaille, d’autres pour faire tenir les parfums plus longtemps, d’autres encore pour rendre les manches des outils plus solides et résistants ou pour augmenter l’effet des adhésifs, les pigments de peinture, du calfatage et de beaucoup d’autres matériaux. D’après les informations publiées en 2010 dans le cadre d’un mémoire de l’EHESP(*2) consacré aux phtalates, la proportion de ces substances peut représenter jusqu’à 50 % (en poids) de certains produits de la vie quotidienne, tels les sacs plastiques, les emballages alimentaires, les jouets pour le bain…

 

Depuis le début des années 1990, d’importants travaux de recherche ont été menés sur les phtalates, mettant en évidence, pour certains d’entre eux, des propriétés toxiques pour la reproduction ainsi qu’un effet cancérigène sont observés : baisse de la fertilité, atrophie testiculaire, malformations fœtales, mortalité fœtale. Certains phtalates possèdent également un effet perturbateur endocrinien susceptible de développer des anomalies du développement sexuel, notamment rendre les hommes stériles ou causer des malformations génitales chez les enfants. Une étude suédoise(*3) a également montré une connexion entre les phtalates et le diabète sucré de type 2 par leur forte implication dans la résistance à l’insuline.

Ils sont aussi clairement soupçonnés de nourrir l’épidémie d’obésité (*6)

3. Les parabenes
Les parabènes sont des conservateurs utilisés dans 80 % des produits cosmétiques et, de façon plus marginale, dans les médicaments, les lingettes de toilettes et dans certains aliments. Leur forte utilisation tient à leur efficacité antimicrobienne. Les parabènes ont un large spectre d’activité sur les bactéries, les levures, les moisissures et les champignons. Au début des années 2000, des études in vitro sur des modèles cellulaires ont mis en évidence que les parabènes pouvaient «mimer» les propriétés des œstrogènes et émis l’hypothèse d’un risque d’accroissement de tumeurs cancéreuses du sein. Une étude en particulier a permis de détecter des parabènes sur des biopsies de tumeurs mammaires chez l’homme(*4)
4. Les Pesticides
Les pesticides sont des substances utilisées pour prévenir, contrôler ou éliminer des organismes jugés nuisibles (mauvaises herbes, insectes, champignons, végétaux, micro-organismes…). On parle de produits phytosanitaires ou produits phytopharmaceutiques pour désigner les produits utilisés dans le domaine agricole, et l’entretien des espaces verts. Certains produits biocides (produits de traitement du bois, produits de lutte contre les rongeurs, insecticides domestiques…) et les antiparasitaires humains ou vétérinaires (pour débarrasser les animaux de compagnie des parasites : puces, tiques… et sur le corps pour se débarrasser des poux) appartiennent également à la famille des pesticides. La France est le 4ème utilisateur de produits phytopharmaceutiques au niveau mondial et le 1er utilisateur de pesticides en Europe, même si les ventes stagnent depuis 2000. Cela correspondait à 80 000 tonnes en 2008, 64.000 tonnes en 2009 et 62.000 tonnes en 2010 de matières actives commercialisés par an en France (tous usages agricoles confondus).

 

Le professeur Gilles-Eric Séralini estime que « l’on mange à peu près 36 pesticides par jour » !
Le terme résidu de pesticides désigne quant à lui la quantité de substances restant après les traitements reçus pendant leurs cultures ou pour assurer leur conservation. Les travaux disponibles témoignent aujourd’hui d’une présence généralisée des résidus de pesticides dans notre environnement (eau, air, sols, denrées alimentaires…). Des études menées à l’étranger et quelques études françaises montrent que de nombreux pesticides sont présents dans les matrices biologiques humaines (sang, urines, sang du cordon ombilical, lait, graisse sous-cutanée) et attestent de la réalité des expositions de l’ensemble de la population.

 

Les sources d’exposition aux pesticides de la population générale se retrouvent dans tous les compartiments de l’environnement : l’alimentation (fruits et légumes, viandes et poissons, œufs, produits laitiers, miel…), l’eau de consommation, l’air intérieur et extérieur, les sols, les poussières à l’intérieur de la maison, l’utilisation domestique des pesticides, notamment dans les jardins ou sur les animaux domestiques.

 

De nombreuses études ont montré que les pesticides étant responsable de la survenue de cancers, comme des lymphomes non hodgkinien, des tumeurs cérébrales, des cancers de la prostate et de l’ovaire, du poumon et des mélanomes. Chez les enfants, certaines études ont montré une augmentation du risque de leucémies et à un moindre degré des risques de tumeurs cérébrales, en lien avec l’utilisation de pesticides par les parents à la maison ou au jardin, en particulier pendant la grossesse ou la petite enfance(*5)

Comment eviter ces produits toxiques

 

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Comme vous pouvez le constater, on ne peut pas nier que ces substances dangereuses pour notre santé font parties intégrantes de notre environnement quotidien. Bien qu’aujourd’hui il soit irréaliste de vouloir les faire complètement disparaître de nos vies, il existe quelques moyens simples et peu coûteux d’éviter la majorité d’entre eux. Sur la page suivante, vous découvrirez quelques solutions simples et efficaces pour remplacer une grande partie de ces produits toxiques de votre quotidien et de votre environnement familiale. 

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Sources :

(*1) Commission OSPAR (forum des parties contractantes à la Convention pour la protection du milieu marin de l’Atlantique Nord-Est), 2001.

(*2)Extrait du mémoire « Projet PERSAN : les phtalates », École des Hautes études en santé publique, 2010.

(*3)PIVUS – Prospective Investigation of the Vaskulature in Uppsala Seniors, 2012.

(*4)Darbre et al., Concentrations of parabens in human breast tumours, J. Appt. Toxicol. 24 : 5-13, 2004.

(*5)Wigle D-T et al., A Systematic Review and Meta-analysis of Childhood Leukemia and Parental Occ, 2009.

(*6)Concentrations of Urinary Phthalate Metabolites Are Associated with Increased Waist Circumference and Insulin Resistance in Adult U.S. Males 2007

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