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Les Merveilleux Bienfaits du Bicarbonate de Soude

Le glutamate monosodique est un additif alimentaire très populaire qui présente divers dangers sur des personnes hypersensibles à cette substance. Vous avez 30% de chances de plus de prendre du poids en consommant cet additif alimentaire, car il interfère avec votre leptine, l’hormone indiquant au cerveau que vous êtes « repus ». Pire encore, cet édulcorant a été relié aux diabètes et à une sévère prise de poids.

Qu’est ce que le glutamate ?

Le glutamate monosodique, que l’on retrouve sous le nom de code – E 621 est un exhausteur de goût. Il a été découvert par Ikeda, un professeur japonais, au début du 20ème siècle. Le glutamate provient à l’origine d’une algue nommé Kombu qui est responsable du goût « umami », souvent nommé comme la 7ème saveur par les japonais après le sucré, le salé, l’amer, l’acide, l’astringent ou âpre et le piquant.

A quoi sert le glutamate ?

Cet un exhausteur de goût que l’on retrouve un peu partout dans les produits de consommation issue de l’industrie comme les chips, les produits transformés, les barquettes de plats préparés, mais aussi les soupes, les bouillons, les sauces et jusqu’aux saucisses. Dans certains pays, il est même utilisé comme condiment, à l’instar de la moutarde ou du poivre.

Il inhibe également le mécanisme de l’appétit, la sensation de satiété. Avez-vous déjà eu la sensation de ne pas pouvoir vous arrêter de grignoter ce type de chips, devant la télé ?

Cette substance qui se présente sous la forme d’une poudre blanche renforce le goût des ingrédients présents dans l’aliment et agit comme un excitant sur les papilles et surtout, sur le cerveau.

Quels est le problème du glutamate ?

Vous avez 30% de chances de plus de prendre du poids en consommant cet additif alimentaire, car il interfère avec votre leptine, l’hormone indiquant au cerveau que vous êtes « repus ». Pire encore, cet édulcorant a été relié aux diabètes et à une sévère prise de poids.

Le glutamate opère comme le ferait n’importe quelle drogue sur le cerveau. Dans son livre Savez-vous vraiment ce que vous mangez ?Laurence Wittner explique : « De l’avis des experts, les exhausteurs d’appétit agiraient sur les neurones, empêchant le bon fonctionnement des mécanismes inhibiteurs de l’appétit. En clair, plus on en mange, plus ils donnent faim, et plus on a envie d’en manger.»

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Des études menées dès les années 50 ont démontré que le glutamate détruisait les neurones dans la couche interne de la rétine des rats.Vers 1969, J. Olney a découvert que ce phénomène n’était pas limité à la rétine, mais concernait tout le cerveau, et il parla alors d’« excitotoxicité ».

Dans son livre Excitotoxins, The Taste that Kills  (Excitotoxines, le goût qui tue), le Docteur Russel Blaylock explique que le « glutamate détruit certains neurones en autorisant l’invasion excessive de calcium dans les cellules. Cette invasion déclenche des taux excessifs de radicaux libres qui tuent les cellules. La perte en cellules nerveuses qui peut être causée par le glutamate [et l’aspartame] en excès est la raison pour laquelle on les appelle « excitotoxines ». Ils excitent ou stimulent la mort des cellules nerveuses ».

 

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Selon différentes études, les risque liés à la consommation excessive de glutamate seraient obésité, hypertension, hyperactivité, diabète, migraines, …

Certains asthmatiques y seraient allergiques. Dans ce cas, le glutamate peut aggraver les urticaires (3 % des cas).  À partir 2,5g on constate des maux de tête attribuables au glutamate (pour 2.3 % des consommateurs), crampes (0.4 %), engourdissements (0.7 %), faiblesse générale (4.0 %) et bouffées de chaleur (1.6 %) selon une étude de 1997.

Le glutamate monosodique est facteur d’obésité, d’hypertension, de diabète, autrement-dit des maux en partie liés à une mauvaise alimentation. Il peut même mener dans certains cas à ce que l’on appelle le « syndrome du restaurant chinois » qui se caractérise par une sensation de malaise :

  • « flush » c’est-à-dire des rougeurs cutanées sur le cou, le visage et la partie supérieure du tronc,
  • les yeux injectés de sang,
  • des céphalées,
  • des sensations de brûlure dans tout le corps,
  • des sensations d’oppression thoracique,
  • des nausées et des vomissements,
  • des démangeaisons…

Comment repérer et éviter le Glutamate ?

Les fabricants alimentaires le cachent derrière au moins 53 noms différents ! Le code E 621 est repérable, de même que la mention « exhausteur de goût : glutamate monosodique », mais il se cache parfois sous des appellations telles qu’« arôme naturel » ou « arôme fumé ».Le glutamate ayant un léger goût de jus de viande. La meilleure façon de l’éviter est et de bannir la consommation d’aliments transformés.

Rendez-vous service, et supprimez le Glutamate monosodique de votre alimentation !  

 

 Référence : 1.Etude menée par D. R. Lucas et J. P. Newhouse

Source : Les additifs alimentairesConsoglobeTout Vert

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