La science a maintenant découvert que presque tout ce qui a à voir avec la perte de poids, autant pour les femmes que les hommes, est contrôlé par une seule hormone principale. Cette hormone qui contrôle à 100 % l’habileté de votre corps à brûler la graisse est la leptine.
Comment augmenter votre taux de leptine ?
1. Limitez votre consommation de fructose.
2. Dites non aux hydrates de carbone simples.
La raison est que les glucides simples (le sucre raffiné et généralement blanc) créent des pics d’insuline, ce qui en retour provoque une résistance à l’insuline et perturbe la production de votre leptine. Ainsi, le pain blanc, le riz blanc et toutes ces pâtisseries industrielles délicieuses qui vous séduisent doivent à présent figurer sur votre liste rouge.
Si votre alimentation comporte des glucides, assurez-vous qu’elles soient de bonne qualité : des flocons d’avoine complets, du quinoa et un peu de pâtes complètes. Plus c’est brun, meilleur est le produit – ce qui signifie qu’on ne leur a pas retiré les nutriments essentiels ni la coloration naturelle lors du processus de fabrication.
3. Ne restreignez pas trop sévèrement vos calories.
4. Octroyez-vous un jour de compensation, si vous suivez un régime sans glucides.
5. Ne faites pas des régimes yo-yo.
6. Prenez un petit-déjeuner riche en protéines.
7. Optez pour le poisson.
8. Mangez beaucoup de légumes verts, de fruits et des légumineuses
9. Supprimez les édulcorants et les grignotages.
10. Optez pour des aliments riches en zinc.
Bonus 11. Détendez-vous et dormez bien.
Bonus 12. N’ayez pas d’activité physique trop intensive. Mais assurez-vous tout de même de vous bouger un peu.
John Barban, un expert canadien en fitnesss a fait une découverte étonnante pour la perte de poids au féminin. Il a découvert une façon facile de déclencher l’hormone appellée “Leptine” dans le corps de la femme. Une fois qu’elle est déclenchée, elle augmente de façon spectaculaire votre métabolisme, en faisant fondre le gras rapidement. Pour en savoir plus, découvrez sa méthode => Le Facteur Vénus
Une étude récente conclut que jeûner pendant trois jours peut régénérer l’ensemble du système immunitaire, même chez les personnes âgées ou malades. La découverte des scientifiques de l’Université de Californie du Sud est qualifiée de remarquable.
Bien que le jeûne soit critiqué par les nutritionnistes, la recherche démontre qu’un corps affamé déclenche un signal envoyé aux cellules souches pour lancer la production de globules blancs en grand nombre, lesquelles combattent les infections.
Les scientifiques de l’Université de Californie du Sud (USC) affirment que la découverte pourrait être particulièrement bénéfique pour ceux dont le système immunitaire est endommagé, tels que les patients cancéreux sous chimiothérapie. Il pourrait aussi aider les personnes âgées dont le système immunitaire devient moins efficace.
Valter Longo, Professeur en gérontologie et sciences biologiques à l’université californienne explique :
“Il [le jeûne] donne le feu-vert aux cellules souches pour qu’elles s’activent et commencent à proliférer jusqu’à reconstruire l’ensemble du système immunitaire. Et l’autre bonne nouvelle est que le corps se débarrasse des parties vieilles, endommagées et inefficaces, au cours du jeûne. Si vous partez d’un système immunitaire fortement endommagé par la chimiothérapie ou le vieillissement, les cycles de jeûne peuvent littéralement générer un nouveau système immunitaire. “
En fait, jeûner 3 jours contraint le corps à consommer ses réserves de glucose et de graisses. Ce faisant, une quantité importante de globules blancs est éliminée :
“Quand vous vous privez de nourriture, le corps essaye d’économiser l’énergie dépensée. Pour cela il recycle un grand nombre de cellules du système immunitaire qui ne sont pas indispensables, notamment celles qui sont abimées.”
Ainsi, pendant le jeûne, le nombre de globules blancs baisse fortement et augmente rapidement quand la personne s’alimente à nouveau.
Le jeûne a d’autres effets bénéfiques
Durant les tests, les bénévoles ont été invités à jeûner régulièrement entre deux et quatre jours sur une période de six mois.
Les scientifiques ont alors découvert que le jeûne prolongé réduit également l’enzyme PKA. Cette enzyme est impliquée dans le vieillissement, elle augmente le risque de cancer et favorise la croissance tumorale.
Le jeûne diminue les effets secondaires de la chimiothérapie
Jeûner pendant 72 heures protège également les patients atteints de cancer contre l’impact toxique de la chimiothérapie. Tanya Dorff, professeur adjoint de médecine clinique à l’USC affirme que :
“Les résultats de cette étude suggèrent que le jeûne peut atténuer certains des effets nocifs de la chimiothérapie.”
Se référant à la période de jeûne de 72 heures, Chris Mason, professeur de médecine régénérative à l’University College de Londres, a déclaré :
“Cela pourrait être potentiellement utile parce que [3 jours] ce n’est pas assez long pour que celà soit très nuisible à une personne atteinte de cancer. Mais je pense que le moyen le plus judicieux de progresser serait de synthétiser cet effet avec des médicaments. Je ne suis pas sûr que le jeûne soit la meilleure idée. Les gens sont mieux à manger régulièrement.”
Le Professeur Longo de conclure :
“Il n’y a aucune preuve que le jeûne soit dangereux alors qu’il y a des preuves solides qu’il soit bénéfique.”
Il existe dans notre corps une hormone qui a une mission capitale dans l’équilibre du poids corporelle et la gestion de l’énergie que nous consommons : c’est ce que qu’on appelle l’hormone de la leptine. Cette hormone est sécrétée par les cellules en général dans un but bien précis : équilibrer le poids de votre corps et de votre quantité d’énergie. Pour garantir le bien-être de l’organisme et sa capacité à résister au surpoids, cette hormone doit fonctionner comme il faut.
La leptine est l’hormone qui vous indique que vous êtes rassasié(e). Des taux de leptines trop bas vous font manger sans cesse tout en restant affamé(e). En procédant à de petits changements alimentaires et du mode de vie, il est possible d’augmenter ces niveaux dans votre organisme (si vous êtes en bonne santé).
Des niveaux élevés de leptine accélèrent votre métabolisme et signalent à votre corps de brûler la graisse, et de faibles niveaux de leptine ralentissent votre métabolisme et signalent à votre corps de stocker la graisse. Ce sont les bases. Les personnes victimes d’une obésité avancée ont tendance à sécréter cette hormone en très grande quantité, ce qui banalise son rôle et minimise son champ d’action.
Il y a certaines personnes qui commencent à développer une résistance à la leptine pour se retrouver dans un champ d’anarchie où le dérèglement devient une loi, favorisant l’accumulation de la graisse sans aucun contre-pouvoir !
Cette leptine est tout simplement le bouton d’alarme qui sonne à chaque fois que le corps retrouve de la graisse en abondance et fait signe au cerveau de réagir en arrêtant de manger ou en accélérant le métabolisme. Imaginez que le corps ne tient plus compte de son rôle !?
Dans le processus de perte de votre poids, il ne faut jamais négliger l’apport et le rôle joué par des hormones comme la leptine qui est le garde-fou du dérèglement du poids et avec lequel on doit se comporter intelligemment.
Par ailleurs, n’oubliez pas que la mode de suivre les régimes sans calories ne poussera cette hormone qu’à demander au cerveau d’accentuer la sensation de faim et vous pousser à manger encore plus !
Alors, soyez vigilent et faites preuve d’intelligence dans votre rapport à une hormone aussi vital pour votre organisme.
Pour stimuler sa leptine, il s’agira avant tout de privilégier les entraînements à jeun. En procédant de la sorte, les avantages sont multiples : vous allez pousser votre corps à stimuler plus de leptine mais aussi plus d’insuline, d’adipopectine et autres hormones qui vont permettre à votre corps de maximiser les effets de votre production naturelle de testostérone.
Il existe des aliments qui permettent à votre corps d’augmenter sa production naturelle de leptine mais aussi de vous rentre plus sensible à ses effets.
Parmi ceux là, et je vais vous passer toutes les racines et autres graines certes très efficaces mais difficilement trouvable en France. Pour faire simple, carottes, graines de lin, baies, poissons, gélules d’omega 3 et autres thés sont très facilement trouvables en supermarché et créeront un terreau favorable à l’action de la leptine.
Pour autant, il y a peu de certitudes quant à l’existence d’aliments qui stimuleraient réellement votre taux de leptine… Toutefois, il existe une technique de nutrition qui elle a fait ses preuves.
Lors d’un régime, du fait du choc que votre corps subit (il reçoit moins de nourriture), votre taux de leptine va diminuer quasi proportionnellement à la durée de votre diète (rappelez vous : le taux de leptine fluctue en fonction de la fluctuation de vos apports caloriques)…
C’est pour cela que la perte de gras devient de plus en plus difficile sur le moyen terme : le corps crée une sorte de résistance à la leptine et tend à vouloir conserver sa graisse pour se protéger du régime qui est vécu comme une agression… Il ne comprend pas que vous vous privez volontairement !
Sur le long terme, le corps produit plus ou moins de leptine en fonction de votre taux de gras : plus vous avez de gras, plus il produira de la leptine et vice versa, dans la mesure ou cette hormone est produite par les cellules graisseuses.
Il est important, toutes les semaines environ, d’observer un repas ou deux (consécutivement) qui vont briser votre diète,en mangeant ce que vous voulez. Par ce que vous voulez, j’entends pizza, glaces et autres nourritures caloriques. Ce surplus brutal de calories va envoyer à votre corps un signal fort : celui qu’il ne risque pas de mourir de faim et va, de fait redevenir plus sensible à la leptine.
Alors pour résumer :
La leptine varie en fonction de vos apports caloriques ;
Elle donne a votre corps un sentiment de satiété ;
Elle stimule le métabolisme des graisses ;
L’entraînement à jeun lui est favorable ;
Carotte, thé, poisson, oméga 3 et graine de lin font parties des aliments qui maximisent ses effets ;
Observer une journée de « triche » lors d’un régime pour relancer votre production hormonale de leptine.
John Barban, un expert canadien en fitnesss a fait une découverte étonnante pour la perte de poids au féminin. Il a découvert une façon facile de déclencher l’hormone appellée “Leptine” dans le corps de la femme. Une fois qu’elle est déclenchée, elle augmente de façon spectaculaire votre métabolisme, en faisant fondre le gras rapidement. Pour en savoir plus, découvrez sa méthode => Le Facteur Vénus
Les Egyptiens connaissaient les vertus du miel et de la propolis pour les morts (embaumement) et pour les vivants : soigner des plaies et des infections diverses, utiliser le venin pour soulager la fatigue musculaire des soldats après la bataille, etc. Hippocrate faisait de l’apithérapie quand il recommandait le miel dans diverses préparations. Avicenne, lui révolutionna l’apithérapie en donnant à celle-ci des bases modernes pour longtemps. Il connaissait notamment les formidables vertus de la cire noire (la propolis).
Produits de la ruche et applications…
Les applications de l’apithérapie sont nombreuses, on utilise les différents produits de la ruche pour soigner toutes sortes de maux.
Le Miel
Le miel a probablement été le premier sucre que l’homme a connu. C’est aussi la première solution que l’Homme a peut être utilisé pour cicatriser ses plaies. Il est produit à partir du nectar des fleurs, il sert de réserve dans les ruches pour les mois d’hiver. Mais le miel n’est pas le seul produit de la ruche qu’on connait, gelée royale, mais aussi pollen, venin et la fameuse propolis sont toutes des substances dont les vertus sont de plus en plus avérées.
L’Apipuncture
L’apipuncture, consiste à se faire piquer volontairement par les abeilles sur certains points d’acupuncture. C’est une pratique qui permet de soigner grâce au venin d’abeilles injecté directement par le dard de celles-ci, sans aucune transformation ni aucun intermédiaire. C’est la précision du point choisi pour l’apipuncture qui compte selon les spécialistes. Les personnes concernées doiventobligatoirement faire un test d’allergie au venin d’abeilles (chez un médecin spécialiste) avant de se faire piquer volontairement pour se soigner.
Le Pollen
Le pollen est aussi de plus en plus utilisé pour des cures de quelques jours à quelques semaines. Selon Claudette Raynal, spécialiste en médecine chinoise, l’effet ‘joie’ procuré par le pollen serait dû à sa richesse en vitamines B et acides aminés nécessaires au système nerveux, produisant ainsi un effet antistress légèrement euphorisant ! Vous pouvez trouver du pollen frais congelé en magasins bio, il est meilleur que le pollen sec.
La Gelée Royale
Les vertus de la gelée royale ne sont plus à présenter, elle améliore le métabolisme général, et elle renforce la défense immunitaire. Période de stress, fatigue occasionnelle pendant les changements de saisons par exemple, maladie chronique ou convalescence après une intervention chirurgicale, la gelée royale est toujours conseillée.
La gelée royale est une sécrétion de glandes situées près de la tête de l’abeille. C’est une substance de couleur blanc nacré, d’une consistance gélatineuse. Son goût est assez acide mais sucré en même temps. Seules les ouvrières âgées de 6 à 10 jours peuvent en produire.
Dans la ruche, la gelée royale sert de nourriture aux larves. Celles qui sont destinées à être des ouvrières sont nourries de gelée royale trois jours seulement, et celles qui vont devenir reines seront toujours nourries de gelée. Il faut savoir qu’une reine peut pondre jusqu’à 2000 œufs par jour. Voilà peut être une piste pour comprendre l’extra ordinaire valeur nutritive de la gelée royale. Une nourriture de rois !
La propolis, elle, est reconnue comme étant un antibiotique naturel, en plus de ses propriétés cicatrisante et anesthésiante.
Et des cliniques spécialisées dans le traitement de la sclérose en plaques (SEP) à l’aide de l’apithérapie existent un peu partout dans le monde (Asie, Russie, Chine, etc). C’est dire à quel point les produits de la ruche peuvent être une véritable médecine et pharmacopée à part entière. C’est le cas en chine par exemple. En France les mentalités évoluent peu à peu vers les médecines douces en général et vers plus d’apithérapie en particulier, c’est une question de temps.
Vous pouvez commencer par utiliser du miel dans votre alimentation au quotidien : une petite cuillère le matin sous la langue, en tartines, dans un pain d’épices fait maison, ou pour sucrer votre thé ou votre infusion du soir. Sans oublier l’efficacité du miel dans un masque pour le visage !
Les problèmes concernant la conception d’un enfant ou le terme éventuel d’une grossesse se définissent souvent par la stérilité. La stérilité est l’incapacité d’un individu à tomber enceinte, dans le cas des femmes, ou l’incapacité à provoquer la grossesse, dans le cas des hommes. L’incapacité d’un individu à amener une grossesse à terme fait également partie de la stérilité. Comment reconnaît-on la stérilité ? Quels sont les symptômes de la stérilité ?
Les symptômes de la stérilité ne sont pas évidents. La plupart des gens vivent leur vie sans même savoir qu’ils ont un problème au sein de leurs organes reproducteurs, attribuant les échecs de conception à la providence. En fait, les fausses couches sont le symptôme le plus reconnaissable de la stérilité chez les femmes :
Chez les femmes, les symptômes de la stérilité sont plus facilement reconnaissables par rapport aux hommes. L’endométriose fait que la muqueuse de l’utérus se développe hors de l’utérus.
Les infections liées aux bactéries peuvent commencer dans l’utérus et se répandre aux autres organes reproducteurs, conduisant à la stérilité. Les fibromes situés dans l’utérus indiquent souvent la stérilité. Les tumeurs situées dans le col de l’utérus provoquent des sténoses ou un rétrécissement du col, ce qui est un indicateur fréquent de la stérilité.
Ovuler avant le dixième jour et après le vingtième jour d’un cycle mensuel, avoir des dérèglements prémenstruels, avoir des signes de la ménopause, etc. sont des indications d’un défaut de la phase lutéale, faisant d’eux également des symptômes.
Des cycles prémenstruels irréguliers sont l’indication la plus fréquente de problèmes de stérilité chez la femme. Cependant, un cycle prémenstruel irrégulier n’est pas concluant en soi, mais fait définitivement partie des symptômes de la stérilité.
Les problèmes concernant le poids sont souvent des indicateurs montrant que l’on devient stérile. Pour une femme, être trop mince ou anorexique va définitivement entraver la grossesse, car le corps n’obtient pas les besoins nutritifs ou la résistance appropriée nécessaire.
D’un autre côté, l’obésité peut également être un symptôme. L’obésité est accompagnée d’un déséquilibre hormonal qui affecte le système reproducteur et la grossesse. Les symptômes de la stérilité chez les hommes :
Comme les femmes, chez les hommes aussi l’obésité ou l’anorexie sont des symptômes de la stérilité. En dehors de cela, les défauts anatomiques peuvent également être des symptômes de la stérilité. La cryptorchidie ou des dommages au niveau du scrotum et des gonades sont également des symptômes possibles. Porter des vêtements serrés ou exposer ses testicules à la chaleur peut rendre une personne incapable de produire la quantité nécessaire de spermatozoïdes, causant ainsi la stérilité.
Déterminer les symptômes de la stérilité :
Il existe de nombreuses procédures médicales pour détecter les symptômes qui aident à déterminer si un individu est stérile ou ne l’est pas. Les médecins prescrivent généralement un ou plus des tests médicaux suivants :
• Hystérosalpingographie. Un colorant injecté à l’intérieur du vagin sert à vérifier si les trompes de Fallope ou l’utérus sont bloqués.
• Laparoscopie. Si une maladie ou autres problèmes physiques sont présents dans les ovaires, dans les trompes de Fallope ou dans l’utérus, alors la stérilité est envisagée. Elle peut être détectée via la laparoscopie.
La stérilité est un problème qui peut être guérie si elle est traitée de manière non conventionnelle, en utilisant des méthodes de santé à plusieurs facettes. Effectuer des checkups réguliers de santé, pratiquer de l’exercice et réduire le stress via des techniques particulières, font partie de la solution non conventionnelle permettant de traiter la stérilité. L’approche non conventionnelle est non seulement une manière sûre d’augmenter vos chances de concevoir, mais elle garantit aussi une grossesse saine et sûre.
Source : Cet article est basé sur l’eBook de « Le Miracle de la Grossesse » écrit par Lisa Olson. Lisa est une auteure, chercheuse, nutritionniste et professionnelle de la santé qui a dédié sa vie à créer la solution ultime de grossesse garantissant le traitement permanent de la cause de la stérilité, vous aidant ainsi à tomber rapidement enceinte et à considérablement améliorer naturellement la qualité de votre vie, sans avoir recours à des médicaments sur ordonnance ou à des opérations chirurgicales.
En plus des acides laurique et caprique, l’huile de coco contient plusieurs autres acides qui boostent votre organisme. Parmi eux, l’acide myristique, essentiel à la régulation cellulaire, l’acide palmitique, importante source d’énergie ou encore l’acide caprylique, réputé pour ses propriétés antifongiques.
Grâce à cela, l’huile de coco n’est pas uniquement relaxante comme dans le cadre d’un massage. Elle tient véritablement du soin et voici 2 façons originales de l’utiliser :
En dentifrice. En Slow Cosmétique, on l’utilise parfois fondue au bain-marie et mélangée à un peu de bicarbonate de soude. Comptez 1 cuillerée à soupe d’huile pour 1 cuillerée à café de poudre de bicarbonate alimentaire. L’huile de coco, par ses propriétés antimicrobiennes, est en effet efficace contre les bactéries et les caries et son effet est accentué par le caractère abrasif du bicarbonate de soude. Une fois refroidi, ce mélange donne une sorte de baume qui remplacera votre dentifrice classique. Le plus : pas de saletés chimiques dans votre bouche comme c’est le cas avec les dentifrices du commerce. Son petit inconvénient : il ne mousse pas et ne convient pas à tout le monde.
En « oil pulling ». Vous avez l’impression qu’un dentifrice qui ne mousse pas, c’est un dentifrice qui ne marche pas, essayez autre chose : le « tirage d’huile ». Pour cela, prenez dans votre bouche une cuillère à soupe d’huile de coco et faites-la circuler entre vos dents pendant 15 à 20 minutes. Une partie des bactéries ne parviendra plus à s’accrocher à votre email et va se dissoudre dans l’huile avant même de pouvoir faire des carnages sur votre beau sourire.
Réduction du taux de cholestérol, prévention des cancers, lutte contre le vieillissement prématuré, les antioxydants ont de nombreuses vertus qui ne sont pas bien connues. Et pourtant, ils sont très bénéfiques pour prévenir l’apparition de multiples pathologies. Alors pour rester en bonne santé…
Voici 5 raisons de consommer des aliments antioxydants :
1. Réduire le taux de cholestérol et le risque de maladies cardio-vasculaires
Les antioxydants empêchent l’oxydation des graisses qui peuvent être néfastes pour les vaisseaux sanguins. Les caroténoïdes (pigments végétaux aux propriétés antioxydantes) permettraient de diminuer le taux du mauvais cholestérol (LDH) dans le sang et donc de réduire le risque de maladies cardio-vasculaires.
2. Contrôler son poids
Une alimentation riche en antioxydants pourrait protéger du syndrome métabolique selon une étude iranienne. En effet, ils pourraient limiter la présence de facteurs qui augmentent les risque de diabète de type 2, de maladies cardiaques et d’accident vasculaire cérébral comme un taux élevé de triglycérides, un embonpoint abdominale, un faible de taux de bon cholestérol (LDC) et une glycémie importante (taux de sucre dans le sang). Les antioxydants diminueraient également la masse graisseuse abdominale.
3. Prévenir les cancers
D’après des centaines d’études (dont SUVIMAX et EPIC), les antioxydants auraient un rôle protecteur contre l’apparition et le développement de cancers notamment sur les cancers du tube digestif (oesophage, estomac, colon).
Les antioxydantes (en particulier les caroténoïdes) protègent nos yeux et notre vision. Ils réduiraient les risques DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge) et l’apparition de cataracte.
5. Retarder les effets du vieillissement
La peau est la première victime des oxydants. Produits notamment en excès par l’exposition au soleil, à la pollution et à la cigarette, les radicaux libres s’attaquent aux membranes cellulaires et contribuent au vieillissement de l’épiderme. Les antioxydants nous protègent contre les effets néfastes de l’oxydation et prévient l’apparition de rides. Manger des aliments riches en antioxydants permet de garder une peau jeune et en bonne santé plus longtemps.
Je vous invite également à lire cet article vraiment intéressant de Mike Geary, auteur des 101 aliments anti-viellissement, où il parle de ces quatres aliments courants que vous mangez certainement souvent et qui peuvent réellement vous faire vieillir et grossir plus rapidement >> Ces quatre aliments accélèrent le vieillissement. Si vous désirez protéger votre peau, vos organes, vos muscles et le vieillissement de vos articulations, l’article qui suit est vraiment à ne pas rater…
Une étude prouve que la sensibilité au gluten est bien réelle.
Le gluten est une protéine présente dans certaines céréales comme le blé, l’orge, et le seigle que nous ne pouvons pas digérée puisque notre organisme n’étant pas doté des enzymes qui le permettent. Elle est extrêmement utilisée dans les produits industriels pour donner de l’élasticité, de la malléabilité et de la souplesse aux aliments. Les personnes qui évitent les produits en contenant affirment s’en porter mieux. Mais pour le corps médical, seule l’intolérance au gluten est incontestable et s’appelle la maladie de cœliaque. Pourtant, une étude vient de confirmer l’existence d’une sensibilité au gluten. En cause, une barrière intestinale trop perméable.
Le gluten, cause d’une inflammation chronique
Due à une intolérance au gluten, la maladie de cœliaque est une maladie auto-immune qui touche 1 personne sur 300 et dans laquelle le système immunitaire s’attaque à la muqueuse intestinale et l’abîme. Souvent caractérisée par des symptômes digestifs et parfois une anémie, elle contraint les malades à bannir le gluten de leur alimentation. Peu prises au sérieux, des personnes non intolérantes peuvent aussi souffrir de symptômes proches de ceux de la maladie, après l’ingestion de blé ou de céréales contenant du gluten.
Une récente étude des chercheurs du Columbia University Medical Center (CCEM) et de l’université de Bologne publiée dans la revue Gut prouve qu’on peut souffrir d’une sensibilité au gluten. Sur un échantillon de 80 malades de coeliaque, 40 personnes sensibles au gluten et 40 témoins sains, l’étude montre que les individus ayant une sensibilité au gluten avaient des marqueurs témoins des dommages infligés aux cellules intestinales et des marqueurs qui indiquaient la réaction inflammatoire du système immunitaire.
“Notre étude montre que les symptômes rapportés par les personnes atteintes ne sont pas imaginés, comme certains l’ont suggéré. Elle démontre qu’il existe une base biologique pour ces symptômes dans un nombre important de ces patients”, Peter H. Green, professeur de médecine au CCEM.
Conscient que les consommateurs évitaient la consommation de gluten, les fabricants de produits alimentaires industriels se sont empressés de proposer des produits sans gluten. Pour autant, le gluten est remplacé par des glucides et de l’amidon, pas meilleur pour la santé. Le mieux est d’utiliser des farines alternatives comme le sarrasin ou le riz.
Consommer des produits sans gluten – l’option santé – est la clé d’une bonne santé et de la longévité.
Et la bonne nouvelle, c’est que vous pouvez encore profiter de vos aliments préférés – y compris le pain et la pizza – sans qu’ils soient nocifs pour votre santé.