Lorsque vous entrainez votre cerveau en essayant d’apprendre une nouvelle langue ou d’adopter une nouvelle habitude, vous serez surpris des petites choses qui peuvent avoir un grand impact sur la santé et le fonctionnement de votre cerveau.
Evidemment on n’a pas tous le temps de concocter des plats avec des produits exotiques alors voici 6 aliments que vous pouvez trouver partout et qui vous aideront à maintenir une bonne santé de votre cerveau :
1. Huile de coco
Il y a tellement d’avantages pour changer votre huile de cuisine habituelle contre de l’huile de coco car elle a une tolérance beaucoup plus grande à la chaleur que l’huile d’olive par exemple. Elle reste stable à de très hautes températures tout en gardant tous ses bienfaits. Cette huile est aussi riche en triglycérides, des nutriments essentiels pour le cerveau et le foie. Utilisez-là dans toutes vos recettes qui demandent de l’huile et juste un petit peu de sel suffit pour masquer son gout tropical.
2. Racine de curcuma
L’une des raisons du déclin cognitif est l’oxydation et l’inflammation des neurones dans le cerveau. Une composante du curcuma, appelée curcumine, bloque les neurotoxines qui sont liées au syndrome neurodégénératif et a aussi des propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes. Vous trouverez le curcuma dans les supermarchés assez facilement. Il a une saveur poivrée et donne une jolie coloration orangée aux plats et est surtout utilisé dans les cuisines indiennes et africaines.
3. Les myrtilles
Les myrtilles sont les fruits les plus riches en antioxydants, ce qui est excellent pour le cerveau. Ils contiennent aussi des flavonoïdes qui améliorent la mémoire. Les myrtilles sont parfaites pour ajouter à vos céréales le matin, à votre yaourt ou à votre jus. Vous pouvez aussi les ajouter dans une salade ou dans un dessert ou tout simplement les manger toutes seules, elles sont si délicieuses.
4. Le brocoli
Le brocoli est riche en lignanes qui améliorent les fonctions du cerveau comme penser, raisonner, se rappeler, imaginer et apprendre de nouveaux mots. Il est aussi très riche en glucosinolates qui augmentent le niveau d’acétylcholine, un neurotransmetteur vital au centre du système nerveux. Ne faites pas bouillir le brocoli jusqu’à ce qu’il embaume la maison. Il est délicieux cuit à la vapeur, rôti au four ou sauté avec des huiles bonnes pour la santé. Même cru, il est délicieux !
5. Le thé vert
On sait déjà que le thé est très riche en antioxydants mais les récentes recherches indiquent qu’un extrait de thé vert améliore les fonctions cognitives, particulièrement la mémoire. Contrairement au thé noir, il est mieux d’infuser le thé vert dans une eau à peine bouillante et pour seulement 1 à 2 minutes. Il en existe dans toutes les saveurs mais assurez-vous de prendre du thé biologique aux arômes naturels. Si vous n’aimez pas le thé chaud, mettez-le au réfrigérateur jusqu’à ce qu’il devienne thé glacé. Vous pouvez y ajouter du miel, de la menthe ou les deux.
6. Le poivre noir
Le poivre noir est l’épice la plus utilisée sur la planète et les récentes recherches ont démontré qu’il a d’énormes bienfaits sur le cerveau. La pipérine, un composant actif dans le poivre noir peut prévenir la désintégration de la dopamine et de la sérotonine qui sont deux neurotransmetteurs indispensables à la santé du cerveau et à la stabilité de l’humeur. La pipérine aide aussi à contrôler le flux du calcium dans le cerveau, ce qui lui donne des propriétés anti-convulsion. Le poivre noir fraichement moulu est bien plus gouteux et offre des bienfaits pour la santé bien plus grands que le poivre déjà moulu que vous achetez dans les commerces. Procurez-vous un moulin à poivre si vous n’en avez pas déjà un et gardez-le sur votre table pour l’utiliser dès que vous en aurez l’occasion.
Recommandations
Il a été démontré qu’une Huile Tropicale inverse les signes de la maladie en activant pendant plus de 8 heures dans le cerveau des cétones reconnus comme jouant un rôle important dans la lutte contre Alzheimer !
Minéral essentiel, le magnésium joue un rôle majeur dans le bon fonctionnement de l’organisme. Ce nutriment est donc primordial et possède de nombreux atouts pour notre santé.
On retrouve le magnésium dans de nombreux aliments et ce minéral agit en symbiose avec d’autres minéraux comme le sodium, le potassium ou encore le calcium.
Magnésium : des effets santé étonnants
Il peut être utilisé pour lutter contre certaines maladies cardiaques et le diabète de type 2. Ce minéral aide également à limiter les effets secondaires liés à ces problèmes de santé.
Il contribue à soulager les symptômes liés aux cycles menstruels chez les femmes, caractérisés par une importante fatigue, des maux de tête, des gonflements au niveau du bas-ventre et parfois une certaine irritabilité.
Essentiel au bon fonctionnement de l’organisme, ilpermet également de retrouver un sommeil profond et réparateur et une certaine énergie. Il limite le stress et l’anxiété.
En aidant à fixer le calcium sur les os, il joue un rôle important dans la lutte contre l’ostéoporose. De plus, comme il augmente la solubilité en calcium, ce minéral semble avoir un effet préventif sur les calculs rénaux.
Il serait aussi un des meilleurs traitements contre les crampes qui surviennent durant la grossesse. Il aurait également le pouvoir de diminuer leur fréquence tout en ne causant aucun effet secondaire (demandez tout de même conseil à votre médecin). La fibromyalgie pourrait aussi être soulagée grâce à celui-ci.
Au niveau physique, il joue aussi un rôle important puisqu’il favoriserait les performances chez les sportifs.
Ses propriétés
Il joue un rôle capital dans la bonne santé des os et des dents. Il intervient également au niveau de la stimulation du système immunitaire et participe à la relaxation et à la contraction musculaire. Ce minéral intervient aussi au niveau du rythme cardiaque en participant à sa régulation.
Il serait aussi bénéfique au niveau de la tension artérielle et il contribuerait au contrôledu taux de sucre dans le sang.
Le magnésium en cure ?
Selon le genre, l’âge et le mode de vie, la posologie varie. Ainsi, pour un homme, les apports journaliers sont de 420 mg et pour une femme, cet apport tombe à 360 mg. Cette posologie s’élève chez les femmes enceintes, allaitantes, chez les personnes âgées et chez celles suivant un régime ou un traitement particulier.
Comme à notre habitude, nous vous conseillons d’adopter une alimentation équilibrée qui vous fournira les apports adéquats en magnésium.
Dans quels aliments ?
En dehors des supplémentations proposées sous forme de compléments alimentaires, il se trouve en bonne concentration dans certains aliments.
On le retrouve donc dans de nombreux aliments comme le chocolat noir, les amandes, les épinards, les haricots, les artichauts, dans les poissons ou encore dans les noix de cajou ou la levure de bière.
Un risque plus faible de diabète de type 2 a été observé chez les individus avec une alimentation riche en antioxydants. Fruits, légumes et thés y contribuent largement, comme le montre une étude d’une équipe Inserm parue dans Diabetologia.
Une alimentation riche en fruits et légumes a déjà été associée à risque plus faible de certains cancers et maladies cardiovasculaires. Une équipe Inserm (Equipe Générations et Santé, Centre de recherche en Epidémiologie et Santé des Populations, Villejuif) montre qu’elle est également associée à une diminution du risque de diabète de type 2.
L’équipe suspectait déjà ce lien puisque des études ont précédemment montré que certains antioxydants comme la vitamine E ou C, les lycopènes ou encore les flavonoïdes étaient associés à une réduction du risque de diabète de type 2. Mais ces travaux portaient toujours sur des nutriments pris isolément et jamais sur la capacité antioxydante totale de l’alimentation. A ce titre les chercheurs ont voulu vérifier si l’alimentation dans son ensemble, selon son pouvoir antioxydant, était associée au risque de diabète. Pour cela, ils ont utilisé les données de la cohorte E3N composée de femmes françaises recrutées à partir de 1990, alors âgées de 40 à 65 ans. Ils ont suivi 64 223 d’entre elles entre 1993 et 2008, toutes indemnes de diabète et de maladies cardiovasculaires au moment de leur inclusion dans l’étude. Pour chacune d’elles, ils disposaient d’un questionnaire alimentaire rempli au début de l’étude qui renseignait sur les habitudes de consommation avec des informations détaillées sur plus de deux cents aliments. A partir de là, ils ont calculé un score de “capacité antioxydante” pour chaque participante grâce à une base de données italienne indiquant le pouvoir antioxydant de très nombreux aliments. Ils ont ensuite analysé les liens entre ces scores et le risque de survenue d’un diabète au cours du suivi.
Leurs résultats montrent que le risque de diabète diminue avec le niveau de consommation d’antioxydants jusqu’à un seuil de 15 mmol/jour, ce qui correspond par exemple à des alimentations riches en chocolat noir, thé, noix, pruneaux, myrtilles, fraises, noisette etc… Au-delà de ce seuil le risque ne diminue plus.
Les femmes qui présentaient les scores antioxydants les plus élevés avaient ainsi un risque de diabète réduit de 27% par rapport à celles qui présentaient les scores les plus faibles. « Ce lien persiste après avoir pris en compte tous les autres principaux facteurs de risque de diabète de type 2 : tabagisme, niveau d’éducation, hypertension, hypercholestérolémie, antécédents familiaux de diabète et surtout l’indice de masse corporel, le plus important de tous », clarifie Francesca Romana Mancini, première auteure de ces travaux. Les aliments les plus contributifs à un score antioxydant élevé étaient les fruits et légumes, le thé et le vin rouge (consommé en quantités modérées). Par contre les auteurs ont exclu de leur analyse le café, un concentré d’antioxydants déjà associé par ailleurs à un moindre risque de diabète de type 2 et qui aurait pu masquer l’effet des antioxydants apportés par le reste de l’alimentation.
« Ces travaux viennent compléter les connaissances actuelles sur des aliments ou nutriments pris isolément, puisqu’ils apportent une vue globale de la relation alimentation – diabète de type 2 », explique Guy Fagherazzi, chercheur en charge du programme de recherche sur le diabète dans l’étude E3N. «Nous venons donc de montrer qu’un apport élevé en antioxydants pourrait contribuer à réduire le risque de diabète ». Reste à comprendre pourquoi. « Nous savons que ces molécules empêchent la formation de radicaux libres délétères pour les cellules et limitent leurs effets néfastes quand ces derniers sont présents mais il y a probablement une action plus spécifique comme un effet sur la sensibilité des cellules à l’insuline. Cela reste à confirmer dans d’autres études », conclut Francesca Romana Mancini.
Recommandation
Je vous invite également à lire cet article vraiment intéressant de Mike Geary, auteur des 101 aliments anti-viellissement, où il parle de ces quatres aliments courants que vous mangez certainement souvent et qui peuvent réellement vous faire vieillir et grossir plus rapidement >> Ces quatre aliments accélèrent le vieillissement. Si vous désirez protéger votre peau, vos organes, vos muscles et le vieillissement de vos articulations, l’article qui suit est vraiment à ne pas rater…
Une nouvelle étude associant des chercheurs de l’Inserm, de l’Inra et de l’Université Paris 13 (Centre de recherche épidémiologie et statistique Sorbonne Paris Cité, équipe EREN) suggère une association entre la consommation d’aliments ultra-transformés et le sur-risque de développer un cancer.
Au total, 104 980 participants de la cohorte française NutriNet-Santé ont été inclus. Au cours du suivi (8 ans), 2 228 cas de cancers ont été diagnostiqués et validés. Une augmentation de 10% de la proportion d’aliments ultra-transformés dans le régime alimentaire s’est révélée être associée à une augmentation de plus de 10% des risques de développer un cancer au global et un cancer du sein en particulier.
Parmi les différentes hypothèses qui pourraient expliquer ces résultats, la moins bonne qualité nutritionnelle globale des aliments ultra-transformés ne serait pas la seule impliquée, suggérant des mécanismes mettant en jeu d’autres composés (additifs, substances formées lors des process industriels, matériaux au contact des aliments, etc.).
Ces résultats doivent donc être considérés comme une première piste d’investigation dans ce domaine et doivent être confirmés dans d’autres populations d’étude. Notamment, le lien de cause à effet reste à démontrer. Cette étude est publiée le 15 février 2018 dans le British Medical Journal.
Durant les dernières décennies, les habitudes alimentaires se sont modifiées dans le sens d’une augmentation de la consommation d’aliments ultra-transformés qui contribuent aujourd’hui à plus de la moitié des apports énergétiques dans de nombreux pays occidentaux. Ils se caractérisent souvent par une qualité nutritionnelle plus faible, mais aussi par la présence d’additifs alimentaires, de composés néoformés et de composés provenant des emballages et autres matériaux de contact.
Des études récentes ont montré des associations entre la consommation d’aliments ultra-transformés et un risque accru de dyslipidémies, de surpoids, d’obésité, et d’hypertension artérielle. Toutefois, aucune étude n’a porté sur le risque de cancer, alors que des expérimentations chez l’animal suggèrent de potentiels effets cancérogènes de plusieurs composants habituellement présents dans les aliments ultra-transformés.
Au total, 104 980 participants de la cohorte française NutriNet-Santé (suivis entre 2009 et 2017) ont été inclus. Les données alimentaires ont été recueillies à l’entrée dans l’étude à l’aide d’enregistrements de 24h répétés, conçus pour évaluer la consommation habituelle des participants pour 3300 aliments différents. Ceux-ci ont été classés en fonction de leur degré de transformation par la classification NOVA (voir encadré ci-dessous).
Au cours du suivi, 2 228 cas de cancers ont été diagnostiqués et validés. Une augmentation de 10% de la proportion d’aliments ultra-transformés dans le régime alimentaire s’est révélée être associée à une augmentation de plus de 10% des risques de développer un cancer au global et un cancer du sein en particulier. Ces résultats étaient significatifs après prise en compte d’un grand nombre de facteurs sociodémographiques et liés au mode de vie, et également en tenant compte de la qualité nutritionnelle de l’alimentation. Ceci suggère que la moins bonne qualité nutritionnelle globale des aliments ultra-transformés ne serait pas le seul facteur impliqué dans cette relation.
Ces résultats doivent être considérés comme une première piste d’investigation dans ce domaine et doivent être confirmés dans d’autres populations d’étude. Notamment, le lien de cause à effet reste à démontrer. De même, d’autres études sont nécessaires afin de mieux comprendre l’impact relatif des différentes dimensions de la transformation des aliments (composition nutritionnelle, additifs alimentaires, matériaux de contact et contaminants néoformés) dans ces relations.
Pour poursuivre ces travaux, l’équipe de recherche lance actuellement un nouveau programme sur les additifs alimentaires, dont l’objectif principal sera d’évaluer les expositions alimentaires usuelles à ces substances et d’étudier leurs effets potentiels sur la santé et la survenue de maladies chroniques. Ceci sera rendu possible grâce à une évaluation précise et répétée de l’exposition alimentaire dans la cohorte NutriNet-Santé (mais également des compléments alimentaires et des médicaments), incluant les marques et noms commerciaux des aliments industriels consommés. Ce dernier point est fondamental pour estimer de manière précise l’exposition aux additifs au niveau individuel étant donné la grande variabilité des compositions entre les marques. Le recrutement de nouveaux volontaires pour participer à l’étude NutriNet-Santé se poursuit. Il suffit pour cela de s’inscrire en ligne (www.etude-nutrinet-sante.fr) et de remplir des questionnaires, qui permettront aux chercheurs de faire progresser les connaissances sur les relations entre nutrition et santé et ainsi d’améliorer la prévention des maladies chroniques par notre alimentation.
Définition et exemples d’aliments ultra-transformés
La classification NOVA permet de catégoriser les aliments selon 4 groupes, en fonction de leur degré de transformation industrielle (aliments peu ou pas transformés, ingrédients culinaires, aliments transformés, aliments ultra-transformés). Cette étude portait sur le groupe des «aliments ultra-transformés», qui comprend par exemple les pains et brioches industriels, les barres chocolatées, les biscuits apéritifs, les sodas et boissons sucrées aromatisées, les nuggets de volaille et de poisson, les soupes instantanées, les plats cuisinés congelés ou prêts à consommer, et tous produits transformés avec ajout de conservateurs autre que le sel (nitrites par exemple), ainsi que les produits alimentaires principalement ou entièrement constitués de sucre, de matières grasses et d’autres substances non utilisées dans les préparations culinaires telles que les huiles hydrogénées et les amidons modifiés. Les procédés industriels comprennent par exemple l’hydrogénation, l’hydrolyse, l’extrusion, et le prétraitement par friture. Des colorants, émulsifiants, texturants, édulcorants et d’autres additifs sont souvent ajoutés à ces produits.
Exemples :
-Les compotes de fruits avec seulement du sucre ajouté sont considérées comme des «aliments transformés», tandis que les desserts aux fruits aromatisés avec du sucre ajouté, mais également des agents texturants et des colorants sont considérés comme des «aliments ultra-transformés».
-Les viandes rouges ou blanches salées sont considérées comme des «aliments transformés» alors que les viandes fumées et/ou avec des nitrites et des conservateurs ajoutés, comme les saucisses et le jambon, sont classées comme «aliments ultra-transformés».
-De même, les conserves de légumes uniquement salées sont considérées comme des «aliments transformés» alors que les légumes industriels cuits ou frits, marinés dans des sauces et/ou avec des arômes ou texturants ajoutés (comme les poêlées industrielles de légumes) sont considérés comme des «aliments ultra-transformés».
Sources :
Source : Monteiro CA, Cannon G, Moubarac JC, Levy RB, Louzada MLC, Jaime PC. The UN Decade of Nutrition, the NOVA food classification and the trouble with ultra-processing. Public Health Nutr 2018;21:5-17. http://dx.doi.org/10.1017/S1368980017000234
Par Cat Ebeling — Coauteur des best-sellers : La Cuisine Brûleuse de Graisses, Le Top 101 des Aliments qui COMBATTENT le Vieillissement et Stoppez votre Diabète
Le diabète est appelé « tueur silencieux » car il ne se produit pas du jour au lendemain. C’est une maladie insidieuse silencieuse qui peut progressivement se glisser en vous si subtilement que vous ne remarquez pas que cela se produit.
Avec la prolifération croissante de sucre et d’édulcorants ajoutés aux aliments, il est particulièrement difficile d’éviter les sucres ajoutés. De nombreux aliments que vous ne considériez jamais comme « sucrés » ont une quantité surprenante de sucre ajouté. Même quelque chose aussi anodin que boire un seul soda ou un jus de fruit par jour peut augmenter le risque de développer le diabète jusqu’à 80 %.
Les dommages causés par le diabète peuvent commencer par des taux de glycémie « prédiabétiques », même si vous n’avez pas été diagnostiqué pour le diabète, vous risquez toujours d’avoir un risque élevé de complications liées au diabète telles que les maladies cardiovasculaires, les maladies des reins ou des nerfs ou les maladies de l’œil. D’autres facteurs de risque pour le développement du diabète de type 2 comprennent :
Être en surpoids – même de 2 à 5 kilos
Manger un régime à haute teneur en glucides – même si vous pensez éviter les sucres ajoutés
Absorber des boissons sucrées, des boissons énergisantes ou d’autres aliments dits « pour la santé »
Avec des sucres ajoutés
Être âgé de plus de 45 ans
Avoir un parent avec du diabète
Origine ethnique afro-américaine, amérindienne, asiatique, hispanique ou insulaires du pacifique
Diabète gestationnel si vous avez déjà été enceinte
Pression artérielle élevée (140/90) ou même hypertension artérielle à la lisière
Cholestérol LDL supérieur à 150, HDL inférieur à 35 et triglycérides élevés de plus de 250
Souvent, le diabète peut ne présenter aucun symptôme notable ou des symptômes que vous ne lieriez jamais à une glycémie élevée. Puisque les symptômes peuvent varier d’une personne à l’autre et de gravité, il peut y avoir une large gamme de symptômes inhabituels qui sont uniques et individuels.
L’une des principales choses à prendre en compte au sujet du diabète et de l’hyperglycémie est qu’il n’y a pas de ligne qui une fois traversée vous confronte à un problème de santé. Pensez au diabète et à l’hyperglycémie comme une gamme, où les concentrations optimales de sucre dans le sang sont constantes entre 70 et 80, avec des niveaux d’HbA1C inférieurs à 5 %. Une fois que ces niveaux commencent à augmenter au-delà, vous êtes entré dans le spectre du risque de diabète et vous avez ouvert la porte aux dégâts causés par une glycémie élevée.
Le taux de glycémie limite et le prédiabète ne sont pas des conditions bénignes. Une fois que vous êtes dans la gamme « prédiabétiques », des dommages se produisent déjà dans votre cœur, vos vaisseaux sanguins et vos organes. En fait, les recherches montrent qu’environ deux tiers des patients admis aux urgences pour une crise cardiaque avaient déjà un « prédiabète ». Le risque de crise cardiaque augmente avec l’augmentation de la glycémie au-delà des niveaux optimaux. Le fait est que le prédiabète peut vous tuer d’une crise cardiaque, d’accidents vasculaires cérébraux et du cancer, avant que vous ne soyez diagnostiqués comme diabétique.
Si vous avez été diagnostiqué avec un syndrome prédiabétique ou métabolique, ne pensez pas qu’il n’y a rien à craindre jusqu’à ce que vous atteigniez le diabète réel.
Le diabète a beaucoup de signes précoces, mais ils sont souvent si subtiles que vous ne les remarquez peut-être pas.
Les niveaux de sucre dans le sang peuvent commencer à se développer graduellement et les symptômes réels peuvent être silencieux ou être si subtiles et graduels que vous ne les remarquez jamais vraiment. Mais cela n’arrive pas tout de suite. « … la plupart des gens ne savent pas qu’ils ont le diabète dans les phases précoces ou même médianes », explique le docteur Aaron Cypess, professeur adjoint de médecine à Harvard Medical School et médecin du Joslin Diabetes Centre.
Cependant, si vous faites attention aux signaux que votre corps envoie, vous serez peut-être capable de vous rendre compte de l’augmentation des niveaux de glycémie et aurez le temps d’inverser les dégâts. Voici quelques-uns des symptômes courants (mais souvent négligés) de l’élévation de la glycémie à surveiller :
1. Uriner fréquemment avec une augmentation de la soif
Bien que la soif et le besoin d’uriner puissent être attribués à de nombreuses choses : l’environnement, l’exercice, la déshydratation, l’alimentation, les médicaments, etc., si cela se produit régulièrement, il est peut-être temps de faire attention. Lorsque le corps ne peut plus abaisser la glycémie, des niveaux plus élevés que la normale de glucose circulent dans le système et votre corps aide à s’en débarrasser en l’éliminant dans l’urine. Le besoin fréquent d’uriner, entraîne bien sûr une augmentation de la soif. Mais ne prenez pas une boisson sucrée ou un jus de fruit, vous ne feriez qu’aggraver la situation !
2. Affamé et ‘en colère’
Lorsque le corps n’est pas capable de réguler efficacement le sucre dans le sang, ses niveaux ont tendance à monter et descendre. Un pic de glycémie tend à être suivi d’une baisse subite, provoquant des tremblements, de la faim et de l’irritabilité. Cela provoque des envies croissantes de glucides ou d’aliments sucrés et beaucoup de gens pensent que la meilleure façon de soulager le manque de sucre, est de manger plus de glucides et d’aliments sucrés. Cela crée un cercle vicieux qui augmente la glycémie au fil du temps. En fait, la meilleure façon de stabiliser la glycémie est de consommer des aliments à faible teneur en glucides et des graisses saines plus riches en protéines. Cela permet de se débarrasser des « fringales » et aide à éviter les variations importantes en glucose.
3. Manque d’énergie
Les hausses et les baisses de glycémie peuvent créer un grave manque d’énergie. Les aliments sucrés et les féculents peuvent offrir une élévation temporaire, mais les variations de glycémie qui en résultent peuvent donner l’impression de traverser des sables mouvants en permanence. Au fil du temps, cela peut également contribuer à l’incapacité du corps à traiter l’énergie des aliments que vous mangez. Une baisse d’énergie peut également diminuer le désir et la capacité de sortir et de faire de l’exercice, ce qui peut entraîner un gain de poids – un autre facteur de risque de diabète et de maladies cardiovasculaires.
4. L’humeur irritable ou dépressive
Les hausses et les baisses de glycémie peuvent vous faire vous sentir non seulement malade, mais peuvent en fait contribuer à la dépression, à l’anxiété et à l’irritabilité. Trop de sucre et d’amidon peuvent mettre à mal le microbiome sensible dans votre intestin qui contribue à une grande partie de la sérotonine, un produit chimique du cerveau qui vous fait sentir heureux et calme. Et généralement, lorsque votre corps est malade, votre cerveau détecte vraiment cela, et vous vous sentez « mal ». Alors faites attention à toute dépression, anxiété ou irritabilité – votre corps peut essayer de vous dire quelque chose d’important.
5. Cicatrisation lente
Encore une fois, c’est l’une des choses qui peuvent se développer lentement, graduellement, au point que vous ne le remarquez pas. Une cicatrisation lente et une tendance à développer une inflammation ou des infections est un important indicateur d’une possible hyperglycémie. Qu’est-ce qui est considéré comme une cicatrisation lente ? La plupart des coupures et des éraflures, si relativement mineures, se cicatrisent en une semaine à dix jours. Si cela prend 2 à 3 semaines ou plus et reste rouge, gonflé et éventuellement infecté, il pourrait être intéressant de vérifier votre glycémie, ainsi que de faire traiter vos blessures.
6. Infections à levures et infections urinaires
Des niveaux de sucre supérieurs à la normale dans le corps peuvent également alimenter des infections à levures comme le Candida, ainsi que par certaines bactéries pathogènes. Les organismes Candida se nourrissent de glucose, ainsi avec ce que vous mangez et buvez, vous risquez d’encourager une infection à Candida. Les Candidas vivent dans les voies digestives d’une personne, et le vagin, mais sont normalement maintenues en équilibre. Hors du contrôle, le Candida est généralement un indicateur que le système immunitaire de votre corps, et éventuellement votre glycémie, sont hors de contrôle. Le glucose dans l’urine nourrit également des bactéries et des levures qui ne survivent pas normalement. Les infections récurrentes des voies urinaires, ainsi que les infections à levures fréquentes ou continues sont une bonne raison de consulter un professionnel de santé.
7. Baisse de la vision
Bien avant que la glycémie ne nuise aux vaisseaux sanguins dans les yeux provoquant une rétinopathie diabétique, la vision peut devenir floue. Dans les premiers stades du diabète ou du prédiabète, des niveaux supérieurs à la normale de glucose peuvent engendrer réellement une accumulation de sang dans l’œil, changer temporairement sa forme et rendre plus difficile la mise au point. Bien que cela puisse être un problème chronique et continu, cela peut produire après ingestion d’un plat à haute teneur en glucides ou une boisson sucrée ou un dessert. Le flou peut être résolu une fois que la glycémie est sous contrôle et stabilisée, mais cela peut prendre 3 à 6 mois.
8. Sensations d’engourdissement ou de picotements dans les mains ou les pieds
Une glycémie élevée peut entraîner des complications bien avant de réaliser que vous avez un diabète. L’une d’entre elles est une légère altération nerveuse, qui peut causer un engourdissement dans vos pieds ou vos mains. Parce que le glucose élevé endommage les petits capillaires périphériques dans les mains et les pieds, les dégâts aux nerfs résultent du manque de circulation sanguine et de l’oxygène. Un sentiment fréquent de « fourmillement et de picotement » dans les mains et les pieds peut signaler des dégâts au niveau des nerfs avant que vous ne vous rendiez compte que votre glycémie était hors de contrôle. Les dégâts nerveux sont extrêmement graves et très importants à gérer, avant de perde la sensation. La perte de sensation peut entraîner une augmentation des blessures, des temps de cicatrisation lents et des infections et peut conduire à des amputations.
9. Gingivite hémorragique
Si vous vous brossez les dents comme d’habitude, mais que vous crachez du sang, vous avez peut-être des problèmes de glycémie. Des niveaux de glycémie plus élevés que la normale peuvent également encourager les bactéries à vivre dans la bouche et les gencives, provoquant des zones enflammées tendues et enflées qui saigneront lors du brossage ou du passage de fil dentaire.
Tous les symptômes ci-dessus peuvent être attribués à d’autres choses, aussi vous ne devez pas paniquer si vous vous sentez plus fatigué, irritable ou assoiffé pendant quelques jours. Même chose pour les autres symptômes. Mais s’ils deviennent constants et sont accompagnés d’autres symptômes possibles du diabète, il est temps de consulter un médecin. Les professionnels de santé effectuent généralement un test sanguin pour vérifier les taux d’A1C (stabilité de la glycémie pendant environ trois mois) et peuvent faire un test à jeun. Vous devriez également demander un test pour les niveaux d’insuline, car l’insuline commence à augmenter et reste supérieure à la normale avant que la glycémie ne monte.
Les changements de régime et de style de vie sont essentiels et peuvent inverser ou prévenir les problèmes de glycémie. Un régime alimentaire élevé en antioxydants, légumes bios, fruits, viande, volaille, poissons élevés naturellement et certains suppléments naturels peuvent contribuer à arrêter le diabète, le prédiabète et les dégâts qu’il peut causer à votre corps. Si vous êtes en difficulté avec le diabète de type 2 ou si vous avez été qualifié de « prédiabétique », vous devez absolument consulter l’article ci-dessous…
Les smartphones et les écrans sont aujourd’hui présents en permanence dans nos vies.
Leur impact négatif sur la capacité de concentration et sur les rapports sociaux entre les individus n’est plus à démontrer.
Mais un effet inquiétant sur le sommeil est de plus en plus dénoncé par de nombreux scientifiques dans le monde entier…
Les smartphones perturbent le sommeil
D’après une étude récente (INSV-MGEN), 9 français sur 10 utilisent les nouvelles technologies le soir…et 36% utilisent même leur tablette, ordinateur ou smartphone dans leur lit !
Pourtant, d’après le Dr. Joëlle Adrien, présidente de l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance (INSV): “Ces usages altèrent la qualité du sommeil”.
Les personnes connectées le soir mettent plus de temps à s’endormir…souffrent plus de troubles du sommeil…et dorment plus le week-end, ce qui indique un manque de sommeil.
Normalement, le sommeil est un moment au cours duquel le cerveau doit se reposer.
Et pourtant, 20% des gens dorment avec leur téléphone sur leur table de nuit…50% sont réveillés par une sonnerie ou une notification….et 79% répondent même aux messages !
L’impact de la lumière bleue
Et ce n’est pas tout: la lumière bleue, émise par les LED des écrans, a une action très forte sur notre rythme journalier.
En fait, la lumière bleue a un effet 5 fois plus puissant que la lumière blanche sur les capteurs présents au niveau de la rétine, ce qui empêche la synthèse de mélatonine et nous garde éveillés tout en déréglant notre horloge biologique.
Au final, si des troubles du sommeil s’installent, des effets dangereux sur la santé peuvent apparaitre et notamment des troubles métaboliques graves comme l’obésité ou le diabète…
Une femme qui suit un régime à de nombreux prétendants. Le monde de la perte de poids est remplie de sociétés et d’experts autoproclamés qui se battent pour obtenir l’attention des femmes, en la désinformant souvent et en réalisant des promesses impossibles à tenir.
C’est tellement prévisible. Ils veulent tout simplement se les mettre dans la poche.
Si vous êtes une femme qui rencontre des difficultés avec sa perte de poids, alors il y a de grandes chances que vous ayez entendu des déclarations peu fiables, vous faisant faire une erreur ou deux. Seule une pincée de désinformation peut rendre la perte de poids aussi difficile qu’un code secret à déchiffrer.
Cela n’a pas besoin d’être aussi compliqué que ça. En apprenant de ces erreurs, vous allez rapidement débloquer votre potentiel, et revenir à vos résultats.
Jetons un œil à quatre erreurs de perte de poids à connaître :
Régimes de Famine
Si 1400 calories c’est bien, alors 1000 doit être bien mieux n’est-ce pas ? Faux. Votre corps a besoin de carburant pour brûler convenablement la graisse. Aussi étrange que cela puisse paraître, si vous réduisez trop vos calories, votre corps va en fait commencer à conserver son stock de graisse.
Pensez aux animaux sauvages en hiver. Lorsqu’ils mangent de moins en moins chaque jour, le corps « s’inquiète » et se prépare à une pénurie de nourriture. Votre corps fait pareil. Trop peu de nourriture, et il va préserver ses stocks d’énergie (la graisse, par exemple) aussi longtemps que possible. Vous pourriez rencontrer un succès initial, mais il stagnera rapidement.
Vous souhaitez utiliser un déficit en calories modéré, tout comme celui qui est détaillé dans le programme de La Diète 2 Semaines. Ce programme permet à votre métabolisme de rester très actif pour une perte de graisse optimisée.
Exagérer l’Entraînement de Cardio
S’l y a une erreur que la plupart des femmes font en commun, ce sont les heures passées sur les machines de cardio. Alors que certains entraînements intelligents de cardio (tels que l’entraînement au sprint) peuvent être bénéfiques à la perte de graisse, il n’y a aucunement besoin de vous enchainer au tapis de course, au vélo ou au vélo elliptique. En fait, faire cela peut être bien plus néfaste que bénéfique.
De manière alternative, ce dont vous avez besoin est d’un programme d’entraînement de perte de poids facile à suivre, qui se concentre sur les exercices clés qui vont vous rendre plus fort.
Jetez un œil au programme de La Diète 2 Semaines si vous avez besoin d’aide dans ce domaine. Ce programme va vous présenter les meilleurs exercices de combustion des calories, qui vont vous raffermir et tonifier votre corps tout en vous aidant à faire fondre la graisse rapidement.
Rendre le Processus Bien Trop Compliqué
Pour finir, la grosse erreur que beaucoup de femmes font, c’est de rendre bien trop difficile leurs programmes. Les programmes de régimes qui contiennent des millions de règles et de lois ne font que porter à la confusion, à la démotivation, et éventuellement à l’abandon.
La simplicité est ce qui est de meilleur. Quelques instructions intelligentes et faciles à suivre sont bien plus efficaces pour fournir des résultats supérieurs.
La perte de graisse n’est pas si compliquée que ça à comprendre. Elle se résume à nourrir votre corps avec les bons choix d’aliments et les bonnes quantités d’énergie. Cela stimule le corps à brûler les cellules adipeuses pour obtenir de l’énergie.
Pour obtenir des résultats sans précédents, essayez de suivre le programme de La Diète 2 Semaines, qui a généré des résultats incroyables chez des milliers de personnes, sans que vous ayez l’impression d’avoir besoin d’un expert en nutrition pour réussir.
Si vous pensez que vous faites l’une de ces erreurs, alors pardonnez-vous, changez d’habitudes, et revenez sur le droit chemin vers un futur plus sain et plus énergétique.
Pour obtenir les meilleurs résultats de tout programme de régime, vous devez connaitre les « Commandements du Régime ». Ces instructions sont essentielles pour obtenir des résultats supérieurs. Ils vont vous emmener à la Terre Promise en bonne santé et plein d’énergie.
Malheureusement, beaucoup de régimeurs oublient l’une ou plusieurs de ces règles, et cela leur coûte leur succès.
1- Vous Devez Manger Plus de Protéines
De tous les aliments que vous pourriez manger au sein d’un régime de perte de graisse, les protéines sont probablement les plus importantes. Les protéines combattent la faim, stabilisent les niveaux de glycémie et empêchent la perte de muscle maigre. En résultat, le métabolisme est augmenté, et la perte de graisse est accélérée.
Ne laissez pas votre apport en protéines diminuer. Ayez pour but d’en consommer à chaque repas ou collation. On peut trouver des protéines dans certains aliments inattendus, tels que la quinoa, le bulgur, l’avocat et les bagels de blé entier.
2 – Vous Devez Manger Régulièrement
Vous pourriez avoir entendu que le métabolisme augmente, plus vous mangez souvent. C’est erroné. En fait, le boost que vous obtenez à partir d’un plat est directement associé à la taille du repas – manger régulièrement aide à tenir la faim à distance.
Nourrissez votre corps régulièrement tout au long de la journée pour éviter de grignoter de la nourriture et réduire votre énergie. Les personnes qui suivent ces instructions sont plus susceptibles de s’accrocher à leur régime ou à leur programme de perte de poids.
3 – Vous Devez Donner la Priorité aux Aliments Frais
Lorsque vous sélectionnez vos aliments, n’oubliez pas que les aliments transformés sont un pêché. Le fait de manger des aliments frais est incontournable. Dans notre monde, les aliments transformés se trouvent à tous les coins de rue, attendant de provoquer un gain de poids et de saboter nos efforts pour obtenir une vie plus saine .
Éliminez les aliments transformés et donnez à votre régime un boost majeur. Concentrez-vous sur les aliments naturels tels que les fruits et les légumes frais, les grains entiers, les huiles et graisses saines, et les protéines maigres. Ce n’est pas le Jardin d’Eden – cueillir une pomme est un bon choix.
Vous pouvez appeler ce commandement la Règle d’Or du régime. Si vous effectuez une seule modification dans votre programme de régime, faites celle-ci.
4 – Vous Devez Mettre en Place des Objectifs à Court Terme
Une règle de régime à laquelle vous devriez vous conformer, est de continuellement mettre en place des objectifs à court terme. Pensez à votre stratégie à l’instant présent, et non pas dans plusieurs mois. Si vos objectifs ne peuvent être atteints que plus loin dans votre voyage, alors il devient plus facile de s’en détourner.
Vous devez également vous assurer de mettre vos objectifs à l’écrit, et de dire à un ami ou à un membre de votre famille ce que vous comptez faire. La responsabilité permettra de doubler votre engagement.
Essayez de penser à des segments de deux semaines. Deux semaines représente en général la période nécessaire pour développer de bonnes habitudes, donc c’est la durée de temps parfaite pour mettre en place des comportements qui passent l’épreuve du temps.
C’est précisément pour cette raison que La Diète 2 Semaines a été créée. Cela va vous aider à rester motivé et cohérent jusqu’à ce que les bonnes décisions se fassent automatiquement.
5 – Vous Devez Éviter les Comparaisons Inutiles
Cessez de vous comparer avec les autres. Réalisez que c’est votre voyage. Votre corps est unique, et vous ne verrez pas les mêmes résultats que les autres, donc ne vous y attendez pas.
À la place, commencez à comparer votre situation d’aujourd’hui avec celle d’hier. Cela va vous donner tout ce que vous avez besoin de savoir. Si vous faites des progrès chaque jour ou que vous vous accrochez rapidement à votre programme de régime, alors vous êtes déjà en plein succès.
Gardez ces commandements de régime à l’esprit. Concentrez-vous sur eux, et ayez confiance dans le fait que vous développez un corps vraiment idéal.