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Risque de cancer du sein : méfiez-vous de votre déodorant !

Risque de cancer du sein : méfiez-vous de votre déodorant !

Risque de cancer du sein : méfiez-vous de votre déodorant !

Gels douche, shampoing, déodorants, tampons… une nouvelle étude s’interroge sur le lien entre les sels d’aluminium des déodorants et le cancer du sein. Mais ce n’est pas le seul produit auquel vous devriez vous intéresser dans votre salle de bains. Du dentifrice à l’après-rasage, plusieurs produits de notre quotidien comportent des substances dangereuses.

 

Tous ces produits de salle de bains dont vous devriez lire les étiquettes…

Votre salle de bains ne vous veut pas que du bien. Une étude sur les déodorants, révélée lundi 26 septembre par Le Parisien, s’interroge sur le lien entre cancer du sein et les sels d’aluminium utilisés dans certains produits. Une étude qui, si elle ne permet pas de conclure à la dangerosité des déodorants, rappelle une nouvelle fois qu’il vaut mieux faire attention à la composition de vos produits hygiéniques et cosmétiques qui peuvent être pleins de substances indésirables.

En s’appuyant sur le travail effectué par l’UFC-Que Choisir, qui liste 12 substances à éviter, on vous dresse la liste (non exhaustive) des produits dont vous devriez lire attentivement l’étiquette si vous souhaitez appliquer le principe de précaution.

 

VIDEO. Risque de cancer du sein : méfiez-vous de votre déodorant !

 

Les dentifrices : attention au sodium lauryl sulfate, au propylparaben et au triclosan

Le premier risque de vous irriter la bouche, les deux autres sont des perturbateurs endocriniens. Comme l’explique l’Anses, un perturbateur endocrinien est une substance chimique naturelle ou artificielle qui interfère avec notre système hormonal. Il peut nuire à la fertilité, au métabolisme et au développement d’un individu. Les jeunes enfants et les femmes enceintes y sont particulièrement sensibles.

Selon l’UFC-Que Choisir, au moins 21 dentifrices vendus en grandes surfaces contiennent l’un de ces trois ingrédients indésirables. Les grandes marques comme Signal, Colgate et Oral-B figurent en bonne place dans cette liste. “Même les grandes marques sont à épingler”, assène l’association.

Quelle alternative ? Commencez par lire attentivement les étiquettes avant de faire votre choix, à la recherche des 12 substances listées par l’UFC-Que Choisir. “Il n’y a pas de recette miracle. Il faut prendre ses lunettes et prendre la peine de lire la liste de composition, explique Olivier Audrault, de l’UFC. On a mâché le travail aux consommateurs en sélectionnant les composants les plus problématiques.”

 

Shampooing et colorations capillaires : des allergènes et des perturbateurs endocriniens à l’assaut de vos cheveux

Après les dentifrices, le shampooing est le type de produit le mieux représenté parmi les flacons épinglés par l’UFC-Que Choisir, avec 18 produits. On y trouve une liste impressionnante (et difficile à lire) de produits indésirables : des allergènes comme les p-phénylènediamine, methylchloroisothiazolinone et methylisothiazolinone, des substances irritantes comme le sodium lauryl sulfate ou l’ammonium lauryl sulfate, ainsi que des perturbateurs endocriniens comme le propylparaben ou l’ethylhexyl methoxycinnamate. Méfiance également si vous vous teignez les cheveux. Treize colorations capillaires présentent les mêmes ingrédients indésirables que les shampooings.

Quelle alternative ? En matière de shampooing comme de gel douche, il vaut mieux privilégier “les produits sous forme de savonnette plutôt que de gel douche : moins il y a d’ingrédients, mieux ça vaut”, expliquait à Metronews Philippe Perrin, directeur de l’Institut de formation en santé environnementale. Le site spécialisé Slow Cosmétique propose des modèles de shampooing solide.

 

Les gels douche : gare au methylisothiazolinone et à l’ammonium lauryl sulfate

Sous la douche, vos gels proposent un éventail de produits indésirables. On peut y trouver du methylisothiazolinone et du methylchloroisothiazolinone, deux allergènes. Mais également du sodium lauryl sulfate et de l’ammonium lauryl sulfate, deux irritants, des perturbateurs endocriniens comme le sodium propylparaben. Au total, 14 gels douche contiennent l’un de ces produits. Là encore, de grandes marques comme Le Petit Marseillais figurent dans cette liste. “Les perturbateurs endocriniens sont à bannir chez les tout-petits, les adolescent(e)s et les femmes enceintes”, rappelle l’UFC-Que Choisir.

Quelle alternative ? Là, encore, il faut lire la notice et privilégier les savons solides, qui comportent moins d’ingrédients.

 

Les déodorants : attention aux sels d’aluminium et au cyclopentasiloxane

Vos voisins de métro vous remercieront peut-être, mais pas votre corps. S’asperger les aisselles de déodorant tous les matins est potentiellement risqué, selon une nouvelle étude publiée dans l’International journal of cancer (en anglais) révélée par Le Parisien. L’oncologue suisse André-Pascal Sappino et son compatriote Stefano Mandriota ont étudié l’impact des sels d’aluminium, un composant que l’on retrouve dans la plupart des déodorants, sur le cancer du sein. Résultat : “Le réquisitoire contre les déodorants contenant de l’aluminium, soupçonné d’être cancérogène, s’alourdit”, expliquent les deux hommes.

Menée sur des souris, l’étude “fournit des preuves expérimentales que les sels d’aluminium pourraient être cancérigènes”. Ils recommandent d’appliquer le principe de précaution : “La sagesse voudrait que l’on évite l’emploi de ces antitranspirants”, estiment-ils, en citant l’exemple de l’amiante, dont on a mis cinquante ans à prouver la toxicité. Les sels d’aluminium ne sont pas les seules substances qui posent problème au rayon déodorant. En février, l’UFC-Que Choisir a relevé la présence d’un perturbateur endocrinien, le cyclopentasiloxane, dans 16 produits.

Quelle alternative ? Les déodorants sans sels d’aluminium existent. Vous pouvez également opter pour une solution plus radicale : fabriquer vous-même votre anti-transpirant. De nombreux tutoriels existent. “Tout dépend de la recette”, précise Olivier Andrault, qui met en garde contre l’utilisation de “quelques gouttes de conservateur” ou d’huiles essentielles allergisantes.

 

Maquillage : évitez les BB crèmes, certaines crèmes antirides et certains sticks à lèvres

Un peu plus haut sur l’étagère, les produits cosmétiques ne sont pas en reste. Certaines BB crèmes – pour “blemish balm cream”, un produit qui “ne colore pas mais corrige les imperfections” selon Marie Claire – contiennent des perturbateurs endocriniens comme l’ethylhexyl methoxycinnamate et le cyclopentasiloxane. On retrouve certains de ces ingrédients dans cinq crèmes antirides et six crèmes visage examinées par les équipes de l’UFC-Que Choisir, avec parfois, en sus, du propylparaben, du butylparaben ou du triclosan.

Circonstance aggravante, “les substances à risque sont encore plus préoccupantes dans les produits non rincés”, comme ces crèmes, précise l’UFC-Que Choisir. Parmi les neuf produits épinglés, on trouve des marques comme L’Oréal, Garnier ou Bourjois. Pensez donc à bien vous démaquiller, tout en faisant attention au produit que vous utilisez : trois démaquillants figurent dans la liste rouge de l’association. Méfiez-vous enfin de vos sticks à lèvres (deux produits testés) et des vernis à ongles (trois produits), qui peuvent contenir des perturbateurs endocriniens. Les hommes ne sont pas épargnés : les gels coiffants (allergènes), les après-rasage (perturbateurs endocriniens) et les crèmes nettoyantes (perturbateurs endocriniens et allergènes) figurent dans la liste rouge.

Quelles alternatives ? Vous pouvez vous rabattre vers les produits bio. “Le cahier des charges des produits biologiques est beaucoup plus restrictif, explique Olivier Andrault. Cela peut être un moyen de limiter l’exposition à certaines substances, comme les parabens, des conservateurs comme le BHA et le BHT, ou le phenoxyethanol”. En matière de cosmétique, plusieurs labels, comme Eco et Bio de Cosmebio ou Ecocert, existent. Mais, là encore, pensez à lire l’étiquette : “Pour compenser l’absence de conservateurs, les cosmétiques bio ont tendance à utiliser plus d’huiles essentielles, dont certaines sont allergisantes”, rappelle Olivier Andrault.

 

Pour votre enfant : méfiez-vous des lingettes pour bébés

Les fabricants de produits hygiéniques ne sont pas plus précautionneux avec les produits destinés aux enfants. Onze lingettes pour bébés sont épinglées dans l’étude UFC-Que Choisir. Neuf d’entre elles contiennent du “phenoxyethanol, un conservateur toxique pour le foie et le sang !” On trouve cette substance chimique dans trois papiers toilettes destinés aux enfants. Une fois de plus, les grandes marques, comme Pampers, Nivea ou Bébé Cadum (avec ce baume hydratant) ne font pas mieux que les marques des distributeurs.

Quelle alternative ? Vous pouvez, tout simplement, laver votre enfant à l’eau ou au liniment oléo-calcaire. “Nous ne nous lavons pas à la lingette, alors pourquoi le faire aux tout-petits ?”, s’interroge le pédiatre Philippe Grandsenne dans Le Parisien.

 

Dans les protections périodiques, des résidus “potentiellement toxiques”

En février, le magazine 60 millions de consommateurs avait tiré la sonnette d’alarme. Cinq des onze protections périodiques testées présentaient, en faible quantité, des résidus “potentiellement toxiques”, comme les dioxines, le glyphosate, un ingrédient chimique utilisé dans les désherbants, et d’autres pesticides.

Au vu de ces résultats, l’Institut national de la consommation, qui édite le magazine, avait demandé “la mise en place d’une réglementation spécifique pour les protections féminines, imposant une plus grande transparence et des contrôles plus rigoureux ainsi qu’un étiquetage de la composition”. En mars, la secrétaire d’Etat à la Consommation, Martine Pinville, a annoncé qu’elle allait saisir la Commission européenne à ce sujet.

Quelle alternative ? Louée pour ses vertus écologiques – faible production de déchets –, la coupe menstruelle est également présentée comme une alternative plus saine que les protections classiques. Elle ne contient ni colorant, ni neutralisant d’odeurs, ni parfum ou autre produit chimique.

 

Comment éviter plus globalement tous ces produits toxiques ?

Comme vous pouvez le constater, on ne peut pas nier que ces substances dangereuses pour notre santé font parties intégrantes de notre environnement quotidien. Bien aujourd’hui il soit irréaliste de vouloir les faire complètement disparaître de nos vies, il existe quelques moyens simples et peu coûteux d’éviter la majorité d’entre eux.

Sur la page suivante, vous découvrirez quelques solutions simples et efficaces pour remplacer une grande partie de ces produits toxiques de votre quotidien et de votre environnement familiale. 

Source : franceinfo
13 positions de Yoga qui vont booster votre vie sexuelle…

13 positions de Yoga qui vont booster votre vie sexuelle…

Saviez-vous que le yoga pouvait influer sur votre libido ? Souplesse, endurance, motricité… certains exercices favorisent la qualité de l’acte sexuel, permettent de retrouver du désir et d’intensifier l’orgasme. On s’y met ?

Le yoga est originaire d’Asie, en particulier d’Inde. Sa popularité est montée en flèche dans le monde occidental au cours des 20 dernières années en raison de ses nombreux avantages. Le yoga est une sorte d’exercice spirituel qui relie le corps et l’esprit. Il implique une série de poses difficiles qui détendent l’esprit par la méditation et tonifient les muscles du corps.

Le résultat est un sentiment de rajeunissement et de paix. Apprendre à respirer, à se détendre, muscler son périnée… vous seriez étonnée de toutes les vertus de certaines postures de yoga. Le yoga peut être particulièrement bénéfique pour la santé sexuelle.

Article connexe : Yoga, une arme fabuleuse contre le Cancer…

Voici les 13 meilleures poses de yoga pour rajeunir votre vie sexuelle :

1ère posture : Udhyana Bandha

Placez vos pieds parallèles et de la largeur du bassin, fléchissez légèrement les genoux et appuyez les mains sur les cuisses, gardez votre dos plat et les épaules décontractées, votre tête dans le prolongement de la colonne vertébrale. Expirez par le nez, et rentrez le ventre vers l’intérieur et vers le haut. Restez sans air le maximum de temps possible, tout en maintenant la contraction abdominale. Lorsque vous ressentez l’envie de respirer, inspirez et relâchez le ventre, normalisez votre rythme cardiaque et respiratoire, puis recommencez une nouvelle séquence. Cet exercice s’appelle Tamas Udhyana Bandha.

Une fois que vous êtes à l’aise avec l’exécution de l’exercice de manière statique, passez à l’exécution de l’exercice de façon dynamique: le Rajas Udhyana Bandha. Videz les poumons et tout en conservant les poumons vides, rentrez le ventre vers l’intérieur et vers le haut plusieurs fois. Lorsque vous ressentez l’envie de respirer, relaxez complètement le ventre.

Pratiquez l’Uddhyana Bandha tous les jours, le matin à jeun. Cette pratique détoxifie l’organisme et renforce la ceinture abdominale, en améliorant la digestion et le transit.

2ème posture : Ardha Natarajasana

Joignez vos pieds puis élevez votre jambe droite tendue derrière vous en baissant le tronc. Restez en équilibre en gardant la jambe élevée et le tronc parallèles au sol, votre tête dans le prolongement du dos. Restez en équilibre sur la jambe gauche. Vous pouvez aussi réaliser ce Asana avec la jambe gauche légèrement pliée, c’est une version moins avancée de l’exercice. Cette position améliore l’équilibre, la souplesse et donne au pratiquant un équilibre émotionnel, mental en améliorant la concentration.

Cet exercice fait aussi travailler le plancher pelvien, le dos et l’abdomen.

3ème posture : Exercice pour débloquer le bassin

Ecartez les pieds de la largeur du bassin, posez vos mains de chaque côté du bassin, fléchissez légèrement les genoux. En inspirant, antéversez votre bassin et en expirant, rétroversez votre bassin, plusieurs fois. Cet exercice améliore votre posture et va tonifier, muscler et stimuler les fonctionnements des muscles, des organes et des glandes de la région pelvienne. Il améliorera votre performance durant l’acte sexuel, aussi bien pour les hommes que pour les femmes.

Faites attention à réaliser l’Udhyana Bandha et le Mula Bandha à la fin de chaque expiration.

 

4ème posture : Shirangustasana

bannerdysfonction300x250Avec les pieds écartés d’environ 1 mètre, pivotez le pied droit à droite et fléchissez le genou droit. Attrapez le poignet gauche derrière le dos et ramenez votre front proche du pied droit. Pour les pratiquants débutants, vous pouvez ramener le front sur le genou droit. Le Shirangustásana, améliore la souplesse du bassin et la force des jambes.

Cette position tonifie les organes de la région pelvienne et les glandes sexuelles, entraînant des relations plus intenses au niveau du plaisir.

 

5ème posture : Bhadrasana

Assis avec les plantes de pieds rapprochées, élevez et baissez les genoux vers le sol plusieurs fois. Cet Asana prépare votre corps pour les positions suivantes de la séquence, et vous aide aussi à muscler et assouplir le plancher pelvien, les organes sexuels. Il améliore la souplesse articulée des membres inférieures et des hanches, sans oublier le travail énergétique sur le Muladhara Chakra, le point où se concentre votre énergie vitale.

 

6ème posture : Sarvangaasana

Ceci est une pose de yoga intense qui consiste à soulever le bas du corps entier et l’abdomen vers le haut afin que votre corps tout entier puisse se reposer sur vos épaules et votre tête. C’est une pose d’inversion car les jambes sont au-dessus de la tête et la tête est posée au sol. De préférence, les mains doivent être placées sur la ceinture abdominale. Cette pose augmente le flux sanguin vers la glande thyroïde. Le résultat est une amélioration de la fonction thyroïdienne. Les avantages de cette pose comprennent des niveaux élevés d’énergie en raison d’un métabolisme plus élevé et une respiration plus profonde pour stimuler l’apport d’oxygène.

 

7ème posture : Uttanapadasana

Ceci est une pose simple où vous vous allongez sur le dos et soulevez votre tronc inférieur à un angle droit. Cette pose renforce la fonction gastro-intestinale et est connue pour soulager la constipation. La fonction gastro-intestinale est fondamentale pour la santé car elle est responsable de l’approvisionnement en énergie pour les organes de tout le corps. Cette pose est connue pour être bénéfique à l’amélioration du transit.

 

8ème posture : Kandharasana

Cette pose implique d’être couché du sol et de soulever lentement vos zones abdominales vers le haut de sorte que seules les jambes et la tête restent sur le sol. Cette pose améliore les capacités sexuelles chez les hommes et les femmes. Chez les femmes, elle augmente le fonctionnement des ovaires tandis que dans les hommes, elle booste la production de sperme. Les experts de l’yurveda la recommandent en particulier pour les couples sujets à l’infertilité.

Article connexe : 8 façons dont le Yoga améliore votre Santé…

9ème posture : Paschimotasana

Cette pose est simple et consiste à toucher vos orteils tout en plaçant votre tête entre vos genoux pendant que vous êtes assis sur votre tapis de yoga. Cette pose est bénéfique pour le renforcement de la fonction gastro-intestinale car elle stimule le métabolisme. Chez les hommes, elle peut aussi atténuer avec succès les problèmes concernant l’éjaculation précoce. En outre, elle stimule la production de sperme et rend le sperme plus puissant.

10ème posture : Gomukhasana

Cette pose implique d’être assis avec les jambes croisées, ce qui est la pose de méditation initiale typique. Après quoi, vos deux mains doivent se rejoindre dans votre dos avec un bras passant au-dessus des épaules tandis que l’autre passe sous l’épaule à côté de la taille. Une fois que les deux mains sont en contact, elles doivent être séparées sans lâcher. Cette pose est particulièrement bénéfique pour les patients souffrant d’une hernie. Comme la pose se concentre sur la région abdominale, elle renforce également le système respiratoire, le foie, et les reins. Autre avantage, elle offre un meilleur contrôle de l’éjaculation chez les hommes.

11ème posture : Bhujangasana

Cette pose consiste à être couché sur le ventre et à simplement lever la partie supérieure du tronc, tandis que vos mains sont placées sur le sol. Elle est particulièrement bénéfique pour la douleur au bas du dos car elle renforce les muscles du dos. Les douleurs cervicales sont également soulagées par cette pose. Les autres avantages comprennent l’amélioration de l’éjaculation chez les hommes car elle renforce et augmente l’approvisionnement en sang du cœur.

12ème posture : Dhanurasana

Cette pose très bénéfique implique d’être couché sur le ventre et de tenir de vos jambes avec vos mains juste au-dessus de vos fesses. Cette pose a de nombreux avantages pour le dos, le ventre et le système reproducteur. Elle soulage les maux de dos, augmente le fonctionnement de l’estomac et, tout particulièrement, élimine les problèmes d’éjaculation chez les hommes.

13ème posture : Brahmacharya

Cette pose implique le repos de votre partie supérieure du tronc sur votre partie inférieure du tronc. Elle ressemble à une position assise normale, mis à part que le corps repose sur les jambes qui sont glissées sous les fesses. La position améliore le fonctionnement des testicules et du système digestif, elle est aussi connue pour stimuler la libido et l’appétit sexuel chez les personnes dont l’excitation sexuelle a grandement baissé.

BONUS / 14ème posture :  Garudasana

Ceci est une pose assez difficile. Elle consiste à enrouler une de ses jambes sur l’autre jambe et en équilibre sur seulement sur la jambe déroulée, tandis que les genoux sont pliés légèrement. Les mains doivent aussi être enroulées ensemble. Cette pose a de nombreux avantages en raison de ses capacités de renforcement et du fait qu’elle stimule le sang circulant. Elle bénéficie notamment aux testicules et aux problèmes de la glande prostatique, en combattant l’éjaculation prématurée et en améliorant la fonction de la reproduction et des voies urinaires chez les hommes et les femmes.

La Médecine Traditionnelle Chinoise à l’hôpital…

La Médecine Traditionnelle Chinoise à l’hôpital…

La Médecine Traditionnelle Chinoise à l’hôpital…

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Acupuncture, massages, « pratiques psycho-corporelles » comme le Qi Gong… Il y a encore quelques années, la présence de la médecine traditionnelle chinoise à l’hôpital aurait fait sourire. Voire, suscité l’indignation de certains soignants. Mais depuis quelques années :

 

La mode de « médecines complémentaires» arrive dans les hôpitaux publics

C’est par exemple le cas du projet qui a été implanté dans quatre hôpitaux de la région de Chicago en 2003 par le docteur Patrick Massey, un médecin qui détient aussi une ceinture noire, sixième dan, en Tai Ji Quan (Tai Chi Chuan). Il explique avoir mis en place ce programme d’initiation au Tai Ji Quan, le seul en son genre aux États-Unis, afin d’offrir aux patients une forme accessible d’exercices physiques susceptibles d’améliorer de façon marquée leur qualité de vie.

 

banmtccarreLe docteur Massey rapporte que plusieurs participants font état d’un niveau accru d’énergie, d’un meilleur sommeil, d’une douleur réduite, d’une digestion améliorée, d’une réduction de leur stress, d’un besoin réduit de prendre des médicaments pour contrôler leur pression artérielle et d’une capacité accrue à gérer les effets secondaires de leurs traitements de chimiothérapie ou de radiothérapie.

 

Le docteur Massey affirme que le concept de « mise en forme » implique trop souvent des exercices vigoureux et une sudation abondante tandis qu’il serait possible, dit-il, de tirer des bienfaits pour la santé d’exercices modérés, comme le Tai Ji Quan.

 

En France, après deux ans d’études sur le sujet, l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris a signé en 2011 un accord avec le Ministère de la Santé Chinois, pour développer des échanges bilatéraux en matière de médecine chinoise : acupuncture, hypnose, ostéopathie, massages complètent la prise en charge au sein des établissements. Leur développement fait même partie du plan stratégique 2010-2014.

 

La médecine chinoise attire de plus en plus les Français, patients comme médecins. La Pitié-Salpêtrière a donc ouvert un centre dédié à cette pratique qui est actuellement utilisée en complément de la médecine conventionnelle pour lutter contre les effets secondaires des médicaments anti-cancéreux ou pour la réhabilitation de patients victimes d’un Accident Vasculaire Cérébral (AVC).

 

La Médecine Traditionnelle Chinoise pour tout le monde ?

La médecine chinoise ne s’oppose pas à la médecine occidentale. Elles se complètent efficacement sans empiéter sur leur territoire respectif. La médecine chinoise est issue de traditions ancestrales qui impressionnent par l’acuité de ses théories et surtout par ses résultats.

 

Les médecins occidentaux, à la lueur des expériences menées, ne rechignent plus à faire appel à la Médecine Traditionnelle Chinoise. L’important n’est pas de comparer les deux médecines et de souligner leurs différences mais davantage d’envisager comment il est possible de travailler ensemble. Il n’y a donc pas de restrictions ou de mise en garde particulière, si ce n’est de trouver le bon praticien, formé à la Médecine Traditionnelle Chinoise.

 

Pour en savoir plus et commencer à pratiquer la Médecine Traditionnelle Chinoise en apprenant les gestes qui soignent, depuis chez vous et dès maintenant lisez cet article sur la page suivante => La Médecine Traditionnelle Chinoise : Un point – Un geste – Une plante

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La liste noire des produits ménagers toxiques à éviter…

La liste noire des produits ménagers toxiques à éviter…

La liste noire des produits ménagers toxiques à éviter…

Le magazine 60 millions de consommateurs, de l’Institut national de la consommation (INC), a consacré un hors-série sur la toxicité des produits ménagers. Le constat est édifiant, les produits ménagers toxiques sont nombreux. Après avoir passé au crible plus d‘une centaine de produits d’entretien, le magazine de défense du consommateur et dressé sa liste noire des composants indésirables et mêmes toxiques.

60millionCe numéro spéciale de 60 millions de consommateurs paru le 12 avril provoque de l’urticaire à sa seule lecture. Ce que l’on y apprend est pour le moins inquiétant.

Le magazine se penche en effet sur les produits ménagers toxiques courants proposés dans le commerce. L’addition est lourde, et même édifiante !

Dans son édito, la rédactrice en chef déléguée, Adeline Trégouët, révèle :

Contrairement aux cosmétiques, les articles des rayons entretien et droguerie sont peu étudiés. La mention de leur composition sur l’emballage n’est pas obligatoire (…) Pourtant, ces produits contiennent en majorité une ou plusieurs substances indésirables, présentant des risques pour la santé humaine et pour l’environnement.

 

Trop de substances dangereuses pour la santé

Le magazine a passé au crible pas moins d’une centaine de produits. Surprise : la quasi totalité d’entre eux contient un ou plusieurs composants toxiques dangereux parmi la vingtaine de substances répertoriées.

Ces marques sont connues de tous : Ajax, Ariel, Canard, Carolin, Cif, Cillit Bang, Destop, Febreze, Harpic, La Croix, Mir, Mr. Propre, Pliz, Saint-Marc, Sanytol…

Toutes contiennent des substances allergisantes, irritantes, corrosives, et/ou risquées pour l’environnement. Plus étonnant, la marque Rainett qui se veut écologique, et dont les produits sont faits à partir d’ingrédients naturels, contient un agent irritant et corrosif : le phénoxyéthanol.

Le magazine rappelle que la législation impose aux fabricants certaines mentions sur leurs étiquettes, aussi bien sur la composition de leur produits que sur leur mode d’emploi, leur dosage ou encore sur les précautions d’usage. Le constat : Ces indications – souvent en pattes de mouche ! – sont loin d’être limpides

 

Vinaigre blanc et bicarbonate de soude : naturels et bons presque partout

Outre un précieux mémo des produits toxiques à détacher, ce hors-série de 60 millions de consommateurs offre un éclairage sur la façon de s’en passer, en misant sur le bicarbonate de soude, le vinaigre blanc et autres produits naturels. A chacun d’entre eux correspond un tableau comparatif de marques selon leur rapport qualité / prix.

Prônant définitivement le « Do it yourself », le magazine recommande d’utiliser des recettes écologique faites maison pour nettoyer chez soi sans s’intoxiquer.

 

Les pires produits à éviter

La rédaction du magazine a donc épluché les étiquettes de centaines de produits, classés dans sept différentes familles. Pour chacune d’entre elles, elle décerne des mauvais points aux articles les plus nocifs :

 

1 – antibactériens et désinfectants

dettol« La peur des microbes est un terreau de choix pour les marques », relève 60 millions de consommateurs. Dégainer un désinfectant n’est pas forcément la marche à suivre. Le magazine rappelle que « la plupart des maladies se transmettent par les mains », et donc : « les laver soigneusement avec de l’eau et un savon ordinaire suffira amplement à éliminer [les] microbes ».

  • Carton rouge au Désinfectant pureté Dettol. Le désinfectant pureté Dettol contient du chlorure de benzalkonium, substance
    pouvant favoriser le développement de bactéries résistantes. Il obtient pour la peine un carton rouge. A noter que 60 millions de consommateurs s’étonne de « l’étrange caution du logo de l’Institut Pasteur«  qui apparaît sur son emballage.

 

 2 – Les produits nettoyants surpuissants

mrpropreLe magazine se penche également sur les « nettoyants surpuissants et corrosifs ». Ceux-ci « sont très agressifs et peuvent abîmer définitivement vos surfaces […] et, plus grave, vos yeux, vos mains et vos poumons ». Nous sommes prévenus :

L’acide chlorhydrique du Canard (WC) peut brûler la peau et son rejet dans les eaux usées est très toxique pour les poissons, coquillages et crustacés.

  • Carton rouge à Mr Propre Fraîcheur du matin avec Febreze. Ce nettoyant multiusage contient « pas moins de quatre parfums, classés allergisants dans la réglementation européenne », note le magazine. Parmi eux, l’HICC, « considéré comme particulièrement problématique. Figurent aussi dans sa composition deux conservateurs, également allergisants » : benzisothiazolinone, glutaral.

 

3 – Les parfums et allergisants

mididouLa promesse d’un intérieur et de linge délicatement parfumés ne doit pas faire oublier que « 600.000 à 2 millions de Français » sont affectés par les allergies aux parfums, rappelle 60 millions de consommateurs, qui s’intéresse aux fragrances des produits ménagers. Outre leur caractère allergisant, ces parfums émettent des « composés organiques volatils (COV), qui vont polluer l’air intérieur». Même des conservateurs contenus dans les produits ménagers sont allergisants !

  • Carton rouge à Minidou concentré Jardin de fraîcheur. « Ne vous laissez pas abuser par le minois innocent du petit piaf blanc de l’étiquette : cet assouplissant est un concentré de substances indésirables », met en garde 60 millions de consommateurs qui pointe pas moins de six conservateurs, « tous allergisants et irritants », six parfums allergisants notoires et des silicones !

 

4 – Les produits gadgets

febrezeLe magazine analyse également la composition de ce qu’il désigne comme les « produits gadgets » dédiés à l’entretien. Autrement dit, tous ces produits non indispensables qui pullulent dans les rayons. Un exemple parmi tant d’autres, « les nettoyants […] pour fruits et légumes lancés par la jeune marque française Vegan Eden » qui entendent remplacer le nettoyage à l’eau du robinet.

  • Carton rouge à Febreze Sleep Serenity Lait chaud et miel. Cette « brume d’oreiller » contient des « composés franchement indésirables », selon 60 millions de consommateurs, qui dresse une inquiétante liste : « didécylméthylammonium chloride (irritant et favorisant la résistance des bactéries), hydroxyde de sodium (irritant), linalool et benzisothiazolinone (allergisants) ». Pas de quoi s’endormir tranquille…

 

5 – Les lingettes nettoyantes

harpicN’en déplaise aux fabricants, dont certains incitent explicitement à les jeter dans la cuvette des toilettes, les lingettes « ne sont ni recyclables ni compostables, et doivent donc être jetées dans la poubelle des déchets ménagers », rappelle le magazine. Pour la plupart d’entre elles, elles sont en outre « imprégnées de substances indésirables », alerte le magazine.

  • Carton rouge à Harpic Lingettes désinfectantes Hygiène marine biodégradables. Là, 60 millions de consommateurs se fâche carrément, car « le fabricant incite explicitement à jeter [ces lingettes] dans les toilettes […] et laisse entendre qu’elles sont biodégradables, ce qui constitue une supercherie intellectuelle ». Par ailleurs, le produit contient du « chlorure de benzalkonium, un antibactérien irritant ».

 

6 – Les bombes aérosols

cillit bangAprès lecture de l’enquête, vous n’utiliserez plus jamais d’aérosol sans frémir, type de produit qui constitue une « triple menace », selon le magazine : « Ce sont des produits très inflammables, leur mode de propulsion décuple l’exposition aux substances indésirables et, en cas de mésusage […], les solvants inhalés peuvent provoquer une mort immédiate ! »

  • Carton rouge à Cillit Bang Mousse active douche et surfaces larges. « Peut éclater sous l’effet de la chaleur. Protéger du rayonnement solaire. Utiliser seulement en plein air… », est-il indiqué dans les mises en garde de ce produit nettoyant de salle de bain. L’aveu d’une « dangerosité certaine », estime « 60 millions de consommateurs » qui pointe de surcroît une « efficacité douteuse ».

 

7 – Les « faux produits verts »

mirL’enquête pointe enfin les « faux produits verts » : « La présentation de certains produits et les mentions sur leur emballage laissent entendre qu’ils sont doux, naturels, respectueux de notre santé et de la planète. Ce n’est hélas pas toujours le cas. »

  • Double carton rouge cette fois-ci : Mir Vaisselle Secrets de nature Calendula ; Method Liquide vaisselle Citron + menthe. En dépit d’indications rassurantes sur son étiquette, le premier contient des conservateurs allergisants. Quant au second, deux conservateurs et deux parfums allergisants entrent dans sa composition. « C’est bien dommage, car la démarche de Method ne manque pas d’intérêt », regrette 60 millions de consommateurs, qui salue une marque se voulant plus respectueuse de l’environnement.

 

Pour en savoir plus et découvrir les incroyables utilisations possibles du Bicarbonate de Soude et découvrir 21 Recettes écologiques pour fabriquer tous ses produits d’entretien, nous vous recommandons cet article sur la page suivante : Les Merveilleux bienfaits du Bicarbonate de Soude

 

Liste noire des composants toxiques :

– Acide chlorhydrique : irritant pour la peau et le système respiratoire, corrosif.
– Acide oxalique : irritant pour les yeux et la peau, corrosif, dégagement de gaz toxiques en cas de mélange.
– Acide sulfamique : irritant, corrosif, toxique pour les organismes aquatiques.
– Alkyl ethoxylates et dérivés : irritant, toxique pour les organismes aquatiques.
– Benzisothiazo-linone : irritant, allergisant, toxique pour les organismes aquatiques.
– Butoxyéthanol : irritant, cancérogène possible.
– Chlorure de benzalkonium : favorise l’apparition de micro-organismes résistants.
– Didécylméthyl-ammonium chloride : irritant, corrosif, favorise l’apparition de micro-organismes résistants.
– EDTA : faible biodégradabilité, risque de persistance de l’environnement.
– Éthanolamine : irritant pour la peau et les voies respiratoires, corrosif.
– Ethoxydiglycol (DEGEE) : irritant pour la peau et les voies respiratoires, corrosif.
– Peroxyde d’hydrogène : irritant, corrosif, dangereux en cas de mélange (acides, ammoniaque), comburant (qui permet la combustion).
– Lyral (ou hydroxyisohexyl 3 cyclohexene carboxaldehyde) : très allergisant.
– Hypochlorite de soude : irritant pour la peau et le système
– Hydroxyde de sodium : irritant, corrosif, menace potentielle pour la faune et la flore.
– Lodopropynylbutyl carbamate : allergisant, irritant, corrosif, très toxique pour les organismes aquatiques.
– Metaperiodate de sodium : irritant, corrosif, toxique pour les organismes aquatiques.
– Méthylchloroisothiazolinone : très allergisant, très toxique pour les organismes aquatiques, avec effets à long terme.
– Méthylisothiazolinone : très allergisant, très toxique pour les organismes aquatiques.
– Phénoxyétahnol : allergisant, irritant, effets reprotoxiques à forte dose chez l’animal.

Les Symptômes de la Stérilité…

Les Symptômes de la Stérilité…

Les Merveilleux Bienfaits du Bicarbonate de Soude

Qu’est-ce que la stérilité exactement ?

Les problèmes concernant la conception d’un enfant ou le terme éventuel d’une grossesse se définissent souvent par la stérilité. La stérilité est l’incapacité d’un individu à tomber enceinte, dans le cas des femmes, ou l’incapacité à provoquer la grossesse, dans le cas des hommes. L’incapacité d’un individu à amener une grossesse à terme fait également partie de la stérilité. Comment reconnaît-on la stérilité ? Quels sont les symptômes de la stérilité ?

Je me croyais infertile...Les symptômes de la stérilité ne sont pas évidents. La plupart des gens vivent leur vie sans même savoir qu’ils ont un problème au sein de leurs organes reproducteurs, attribuant les échecs de conception à la providence. En fait, les fausses couches sont le symptôme le plus reconnaissable de la stérilité chez les femmes :

Chez les femmes, les symptômes de la stérilité sont plus facilement reconnaissables par rapport aux hommes. L’endométriose fait que la muqueuse de l’utérus se développe hors de l’utérus.

Article connexe : Comment tomber enceinte naturellement ?

Les infections liées aux bactéries peuvent commencer dans l’utérus et se répandre aux autres organes reproducteurs, conduisant à la stérilité. Les fibromes situés dans l’utérus indiquent souvent la stérilité. Les tumeurs situées dans le col de l’utérus provoquent des sténoses ou un rétrécissement du col, ce qui est un indicateur fréquent de la stérilité.

Ovuler avant le dixième jour et après le vingtième jour d’un cycle mensuel, avoir des dérèglements prémenstruels, avoir des signes de la ménopause, etc. sont des indications d’un défaut de la phase lutéale, faisant d’eux également des symptômes.

Des cycles prémenstruels irréguliers sont l’indication la plus fréquente de problèmes de stérilité chez la femme. Cependant, un cycle prémenstruel irrégulier n’est pas concluant en soi, mais fait définitivement partie des symptômes de la stérilité.

Les problèmes concernant le poids sont souvent des indicateurs montrant que l’on devient stérile. Pour une femme, être trop mince ou anorexique va définitivement entraver la grossesse, car le corps n’obtient pas les besoins nutritifs ou la résistance appropriée nécessaire.

D’un autre côté, l’obésité peut également être un symptôme. L’obésité est accompagnée d’un déséquilibre hormonal qui affecte le système reproducteur et la grossesse. Les symptômes de la stérilité chez les hommes :

Comme les femmes, chez les hommes aussi l’obésité ou l’anorexie sont des symptômes de la stérilité. En dehors de cela, les défauts anatomiques peuvent également être des symptômes de la stérilité. La cryptorchidie ou des dommages au niveau du scrotum et des gonades sont également des symptômes possibles. Porter des vêtements serrés ou exposer ses testicules à la chaleur peut rendre une personne incapable de produire la quantité nécessaire de spermatozoïdes, causant ainsi la stérilité.

Déterminer les symptômes de la stérilité :

mdlg_ban-160x500_02Il existe de nombreuses procédures médicales pour détecter les symptômes qui aident à déterminer si un individu est stérile ou ne l’est pas. Les médecins prescrivent généralement un ou plus des tests médicaux suivants :

• Hystérosalpingographie. Un colorant injecté à l’intérieur du vagin sert à vérifier si les trompes de Fallope ou l’utérus sont bloqués.

• Laparoscopie. Si une maladie ou autres problèmes physiques sont présents dans les ovaires, dans les trompes de Fallope ou dans l’utérus, alors la stérilité est envisagée. Elle peut être détectée via la laparoscopie.

La stérilité est un problème qui peut être guérie si elle est traitée de manière non conventionnelle, en utilisant des méthodes de santé à plusieurs facettes. Effectuer des checkups réguliers de santé, pratiquer de l’exercice et réduire le stress via des techniques particulières, font partie de la solution non conventionnelle permettant de traiter la stérilité. L’approche non conventionnelle est non seulement une manière sûre d’augmenter vos chances de concevoir, mais elle garantit aussi une grossesse saine et sûre.

 

 

Source : Cet article est basé sur l’eBook de « Le Miracle de la Grossesse » écrit par Lisa Olson. Lisa est une auteure, chercheuse, nutritionniste et professionnelle de la santé qui a dédié sa vie à créer la solution ultime de grossesse garantissant le traitement permanent de la cause de la stérilité, vous aidant ainsi à tomber rapidement enceinte et à considérablement améliorer naturellement la qualité de votre vie, sans avoir recours à des médicaments sur ordonnance ou à des opérations chirurgicales.

Apprenez-en plus en visitant son site web : Le Miracle de la Grossesse

Le danger de porter des lunettes et des lentilles…

Le danger de porter des lunettes et des lentilles…

Les Merveilleux Bienfaits du Bicarbonate de Soude

Tout petit déjà vous avez été formaté : « on porte des lunettes quand la vue baisse ». Personne ne discute. Peut-être avez-vous même fait des tests de vue à l’école. Et un matin, des camarades – vous-même peut-être – sont arrivés affublés de lunettes dont ils avaient un peu honte.

On nous disait que c’était normal de porter des lunettes. Pourtant elles nous mettaient mal à l’aise, elles nous complexaient : pas pratique pour le sport ou les jeux, sans compter la peur de se faire gronder si on les cassait…

En réalité les lunettes abiment nos yeux. Même dans des cas extrêmes, il n’est pas seulement inesthétique, mais également nuisible de porter des lunettes.

Voici pourquoi :

Avec des lunettes, vos yeux sont sans cesse aidés et deviennent dans certains cas de moins en moins performants. Elles ne font que corriger un manque d’acuité de vos yeux, mais elles ne leur apprennent pas à mieux voir, vous apportant un confort trompeur.

Aidés par cette béquille, votre vision reste la même ou continue à se dégrader. Les publicités visant à vous vendre des lunettes ou des lentilles n’ont pour objectif que de vous vendre des palliatifs, qui agissent sur un symptôme, mais pas sur une cause.

Porter des lunettes à vie, c’est comme si on vous mettait un plâtre à vie sous prétexte qu’une fois, vous vous êtes cassé la jambe.

C’est ne pas tenir compte des capacités d’auto-guérison du corps en général, et de l’œil en particulier.

Savez-vous ce qui se passerait si on vous mettait un plâtre trop longtemps ? Votre jambe finirait par s’étioler, vos os par se désagréger. Au bout d’un certain temps, c’est sûr, vous ne pourriez plus vous en passer du tout, car votre jambe serait détruite.

C’est exactement ce qui se passe quand on porte des lunettes trop souvent. C’est la raison pour laquelle on doit régulièrement s’en faire faire de plus puissantes.

Votre forme physique varie au fil de la journée, de la semaine ou des saisons. Cela vaut pour vos yeux aussi : vous voyez mieux à certains moments, ou dans certaines circonstances. Des études rigoureuses sur des milliers de personnes appuient cette simple constatation – hélas rarement mise en avant.

Le gros problème des verres correcteurs est qu’ils fournissent une solution fixe à votre vision qui change constamment. Ils enferment la vue dans un carcan, sans aucune considération pour la vie naturelle de vos yeux.

Porter des lunettes empêche donc vos yeux de fonctionner naturellement. Elles bloquent les plus petits mouvements de l’œil quand le regard cherche à se placer à travers les verres.

Le résultat le plus fréquent, c’est qu’il faut régulièrement retourner chez l’ophtalmo pour obtenir une ordonnance pour des verres plus forts.

Les ophtalmologues connaissent les dangers des verres correcteurs (lunettes ou lentilles) et ils sont donc de plus en plus nombreux à orienter leurs patients vers le laser.

 

Les risques insensés du laser

Les opérations au laser consistent à découper une partie de l’œil avec un laser. C’est une opération qui nécessite une extrême précision sans quoi… c’est la catastrophe. Les conséquences peuvent être terribles.

Des patients se retrouvent ainsi avec :

  • des tissus sains à jamais détruits
  • la formation d’un brouillard sur la cornée
  • une infection ou guérison retardée
  • des effets de halo sur la partie de la cornée non traitée
  • la perte ou le dommage du volet cornéen (le tissu protecteur de l’œil)
  • une sécheresse oculaire sévère
  • une erreur de sur- ou sous-correction
  • des cicatrices causant de grands inconforts au patient
  • une possible cécité (être aveugle) nocturne, avec à la clé, la perte du permis de conduire.

L’opération est malgré tout mise en avant par certains chirurgiens pour qui la chirurgie réfractive au laser est une poule aux œufs d’or.

Les patients poussent aussi à la consommation. Ils ignorent en effet les risques et désirent tellement être enfin débarrassés de leurs lunettes.

Mais c’est parce qu’ils ignorent qu’il existe une méthode naturelle qu’il faut absolument essayer avant de prendre le moindre risque de ce type. Il existe en effet des méthodes simples et naturelles pour améliorer progressivement ses capacités visuelles. Ce cheminement vers une vue meilleure passe notamment par des exercices destinés à entraîner vos yeux et avoir un mode de vie plus sain.

=> Pour en savoir plus sur une méthode alternative totalement naturelle pour soigner vos yeux et découvrir :

  • Les exercices qu’il faut absolument pratiquer pour corriger votre vue ;
  • Les aliments qui œuvrent naturellement pour vos yeux ;
  • Les raisons pour lesquelles huit personnes sur dix portent des lunettes alors que nos ancêtres n’en avaient pas besoin ;
  • Etre alerté sur les dangers du cercle vicieux des lunettes : ne pas soigner ne fait qu’empirer les choses.

 

Source :

Lunettes l’énorme imposture

Sante Nature Innovation

 

Les dangers du Glutamate Monosodique

Les dangers du Glutamate Monosodique

Les Merveilleux Bienfaits du Bicarbonate de Soude

Le glutamate monosodique est un additif alimentaire très populaire qui présente divers dangers sur des personnes hypersensibles à cette substance. Vous avez 30% de chances de plus de prendre du poids en consommant cet additif alimentaire, car il interfère avec votre leptine, l’hormone indiquant au cerveau que vous êtes « repus ». Pire encore, cet édulcorant a été relié aux diabètes et à une sévère prise de poids.

Qu’est ce que le glutamate ?

Le glutamate monosodique, que l’on retrouve sous le nom de code – E 621 est un exhausteur de goût. Il a été découvert par Ikeda, un professeur japonais, au début du 20ème siècle. Le glutamate provient à l’origine d’une algue nommé Kombu qui est responsable du goût « umami », souvent nommé comme la 7ème saveur par les japonais après le sucré, le salé, l’amer, l’acide, l’astringent ou âpre et le piquant.

A quoi sert le glutamate ?

Cet un exhausteur de goût que l’on retrouve un peu partout dans les produits de consommation issue de l’industrie comme les chips, les produits transformés, les barquettes de plats préparés, mais aussi les soupes, les bouillons, les sauces et jusqu’aux saucisses. Dans certains pays, il est même utilisé comme condiment, à l’instar de la moutarde ou du poivre.

Il inhibe également le mécanisme de l’appétit, la sensation de satiété. Avez-vous déjà eu la sensation de ne pas pouvoir vous arrêter de grignoter ce type de chips, devant la télé ?

Cette substance qui se présente sous la forme d’une poudre blanche renforce le goût des ingrédients présents dans l’aliment et agit comme un excitant sur les papilles et surtout, sur le cerveau.

Quels est le problème du glutamate ?

Vous avez 30% de chances de plus de prendre du poids en consommant cet additif alimentaire, car il interfère avec votre leptine, l’hormone indiquant au cerveau que vous êtes « repus ». Pire encore, cet édulcorant a été relié aux diabètes et à une sévère prise de poids.

Le glutamate opère comme le ferait n’importe quelle drogue sur le cerveau. Dans son livre Savez-vous vraiment ce que vous mangez ?Laurence Wittner explique : « De l’avis des experts, les exhausteurs d’appétit agiraient sur les neurones, empêchant le bon fonctionnement des mécanismes inhibiteurs de l’appétit. En clair, plus on en mange, plus ils donnent faim, et plus on a envie d’en manger.»

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Des études menées dès les années 50 ont démontré que le glutamate détruisait les neurones dans la couche interne de la rétine des rats.Vers 1969, J. Olney a découvert que ce phénomène n’était pas limité à la rétine, mais concernait tout le cerveau, et il parla alors d’« excitotoxicité ».

Dans son livre Excitotoxins, The Taste that Kills  (Excitotoxines, le goût qui tue), le Docteur Russel Blaylock explique que le « glutamate détruit certains neurones en autorisant l’invasion excessive de calcium dans les cellules. Cette invasion déclenche des taux excessifs de radicaux libres qui tuent les cellules. La perte en cellules nerveuses qui peut être causée par le glutamate [et l’aspartame] en excès est la raison pour laquelle on les appelle « excitotoxines ». Ils excitent ou stimulent la mort des cellules nerveuses ».

 

Article connexe : 7 additifs alimentaires qui font secrètement grossir !

 

Selon différentes études, les risque liés à la consommation excessive de glutamate seraient obésité, hypertension, hyperactivité, diabète, migraines, …

Certains asthmatiques y seraient allergiques. Dans ce cas, le glutamate peut aggraver les urticaires (3 % des cas).  À partir 2,5g on constate des maux de tête attribuables au glutamate (pour 2.3 % des consommateurs), crampes (0.4 %), engourdissements (0.7 %), faiblesse générale (4.0 %) et bouffées de chaleur (1.6 %) selon une étude de 1997.

Le glutamate monosodique est facteur d’obésité, d’hypertension, de diabète, autrement-dit des maux en partie liés à une mauvaise alimentation. Il peut même mener dans certains cas à ce que l’on appelle le « syndrome du restaurant chinois » qui se caractérise par une sensation de malaise :

  • « flush » c’est-à-dire des rougeurs cutanées sur le cou, le visage et la partie supérieure du tronc,
  • les yeux injectés de sang,
  • des céphalées,
  • des sensations de brûlure dans tout le corps,
  • des sensations d’oppression thoracique,
  • des nausées et des vomissements,
  • des démangeaisons…

Comment repérer et éviter le Glutamate ?

Les fabricants alimentaires le cachent derrière au moins 53 noms différents ! Le code E 621 est repérable, de même que la mention « exhausteur de goût : glutamate monosodique », mais il se cache parfois sous des appellations telles qu’« arôme naturel » ou « arôme fumé ».Le glutamate ayant un léger goût de jus de viande. La meilleure façon de l’éviter est et de bannir la consommation d’aliments transformés.

Rendez-vous service, et supprimez le Glutamate monosodique de votre alimentation !  

 

 Référence : 1.Etude menée par D. R. Lucas et J. P. Newhouse

Source : Les additifs alimentairesConsoglobeTout Vert

Enquête sur les produits de consommation toxiques

Enquête sur les produits de consommation toxiques

Enquête sur les produits de consommation toxiques

Les Merveilleux bienfaits du Bicarbonate de soude

4 substances chimiques toxiques dans les produits de consommation courante qu’il faut absolument éviter !

Quel est le point commun entre un plastifiant, un conservateur, un émulsifiant et un désherbant ?

Ces 4 substances chimiques entrent dans la composition de produits de consommation courante : objets en plastique, produits cosmétiques, détergents, matériaux de construction, médicaments, fruits et légumes… Ces produits chimiques ont des effets reprotoxiques, appartiennent à la catégorie des perturbateurs endocriniens et sont cancérigènes !

Diffusé sur France 2 le Jeudi 7 Avril 2016 le grand reportage d’Envoyé Spécial : Perturbateurs endocriniens : ils sont partout ! illustre bien à quel point les perturbateurs endocriniens sont présents dans notre quotidien. Les journalistes d’Envoyé Spécial tirent le constat de « la présence des perturbateurs dans des produits de notre quotidien sans aucune mention de leurs caractères dangereux ». De ce fait, nous sommes exposés à un effet cocktail dont il est impossible de déterminer les effets à long terme. Consultés dans le cadre de cette enquête, des scientifiques exposent de façon empirique le caractère nocif de produits d’usage ordinaire que l’on trouve dans les supermarchés.

 

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Depuis une quarantaine d’années, des études épidémiologiques à travers le monde industrialisé ont révélé une baisse de la fertilité masculine en partie liée à la baisse de la production de spermatozoïdes chez l’homme.

On a également constaté, sur la même période, une augmentation de l’incidence des cancers du testicule et de la prostate, ainsi que l’absence d’un ou des deux testicules dans le scrotum et depuis 1950, on rapporte une diminution des naissances de garçons.

Ces évolutions préoccupantes sont souvent attribuées par la communauté scientifique à certaines substances chimiques, comme les phtalates ou le bisphénol A, qui peuvent soit avoir un effet toxique direct sur les organes de la reproduction, soit perturber le fonctionnement du système hormonal reproductif et affecter l’adulte, le jeune enfant, l’embryon ou le fœtus lors de son développement prénatal.

 

« la question des reprotoxiques et des perturbateurs endocriniens est un sujet grave pour la santé publique » Mme Roselyne Bachelot-Narquin, Ministre de la Santé

 Voici donc la liste des 4 substances chimiques dangereuses présentes dans les produits de consommation courante et qu’il faut absolument éviter :

 

1. Les alkylphenols
Les alkylphénols (AP) sont des substances chimiques non-halogénées fabriquées presque exclusivement pour produire des éthoxylates d’alkylphénol (APE), une famille de surfactants (agents de surface actifs) non-anioniques. Ils sont utilisés comme surfactants, émulsifiants, dispersants et/ou agents mouillants dans une grande variété d’applications commerciales et industrielles.
Sur les 77 000 tonnes utilisées en Europe de l’ouest, la plus grande part (presque 30 %) est incorporée dans des produits de nettoyage industriels ou à destination des collectivités (détergents) ; on les retrouve également comme émulsifiants (11 %), dans la finition des textiles (10 %) et du cuir (7 %), comme ingrédients de pesticides et autres produits agricoles (6 %) et dans les peintures à l’eau (5 %) (*1).
De plus, la littérature indique qu’une proportion substantielle (16 % soit plus de 12 000 tonnes) est utilisée dans plusieurs autres « niches commerciales » (ingrédients de cosmétiques, de shampoings, et autres produits de soin corporel).
2. Les phthalates
Les phthalates forment une famille de substance chimique utilisée depuis environ 50 ans, principalement pour rendre le chlorure de polyvinyle (PVC) souple et flexible. Ils sont les plastifiants le plus communément utilisés dans le monde. Mais leur utilisation dans les différents produits de consommation est multiple : certains sont utilisés pour éviter que le vernis à ongles ne s’écaille, d’autres pour faire tenir les parfums plus longtemps, d’autres encore pour rendre les manches des outils plus solides et résistants ou pour augmenter l’effet des adhésifs, les pigments de peinture, du calfatage et de beaucoup d’autres matériaux. D’après les informations publiées en 2010 dans le cadre d’un mémoire de l’EHESP(*2) consacré aux phtalates, la proportion de ces substances peut représenter jusqu’à 50 % (en poids) de certains produits de la vie quotidienne, tels les sacs plastiques, les emballages alimentaires, les jouets pour le bain…

 

Depuis le début des années 1990, d’importants travaux de recherche ont été menés sur les phtalates, mettant en évidence, pour certains d’entre eux, des propriétés toxiques pour la reproduction ainsi qu’un effet cancérigène sont observés : baisse de la fertilité, atrophie testiculaire, malformations fœtales, mortalité fœtale. Certains phtalates possèdent également un effet perturbateur endocrinien susceptible de développer des anomalies du développement sexuel, notamment rendre les hommes stériles ou causer des malformations génitales chez les enfants. Une étude suédoise(*3) a également montré une connexion entre les phtalates et le diabète sucré de type 2 par leur forte implication dans la résistance à l’insuline.

Ils sont aussi clairement soupçonnés de nourrir l’épidémie d’obésité (*6)

3. Les parabenes
Les parabènes sont des conservateurs utilisés dans 80 % des produits cosmétiques et, de façon plus marginale, dans les médicaments, les lingettes de toilettes et dans certains aliments. Leur forte utilisation tient à leur efficacité antimicrobienne. Les parabènes ont un large spectre d’activité sur les bactéries, les levures, les moisissures et les champignons. Au début des années 2000, des études in vitro sur des modèles cellulaires ont mis en évidence que les parabènes pouvaient «mimer» les propriétés des œstrogènes et émis l’hypothèse d’un risque d’accroissement de tumeurs cancéreuses du sein. Une étude en particulier a permis de détecter des parabènes sur des biopsies de tumeurs mammaires chez l’homme(*4)
4. Les Pesticides
Les pesticides sont des substances utilisées pour prévenir, contrôler ou éliminer des organismes jugés nuisibles (mauvaises herbes, insectes, champignons, végétaux, micro-organismes…). On parle de produits phytosanitaires ou produits phytopharmaceutiques pour désigner les produits utilisés dans le domaine agricole, et l’entretien des espaces verts. Certains produits biocides (produits de traitement du bois, produits de lutte contre les rongeurs, insecticides domestiques…) et les antiparasitaires humains ou vétérinaires (pour débarrasser les animaux de compagnie des parasites : puces, tiques… et sur le corps pour se débarrasser des poux) appartiennent également à la famille des pesticides. La France est le 4ème utilisateur de produits phytopharmaceutiques au niveau mondial et le 1er utilisateur de pesticides en Europe, même si les ventes stagnent depuis 2000. Cela correspondait à 80 000 tonnes en 2008, 64.000 tonnes en 2009 et 62.000 tonnes en 2010 de matières actives commercialisés par an en France (tous usages agricoles confondus).

 

Le professeur Gilles-Eric Séralini estime que « l’on mange à peu près 36 pesticides par jour » !
Le terme résidu de pesticides désigne quant à lui la quantité de substances restant après les traitements reçus pendant leurs cultures ou pour assurer leur conservation. Les travaux disponibles témoignent aujourd’hui d’une présence généralisée des résidus de pesticides dans notre environnement (eau, air, sols, denrées alimentaires…). Des études menées à l’étranger et quelques études françaises montrent que de nombreux pesticides sont présents dans les matrices biologiques humaines (sang, urines, sang du cordon ombilical, lait, graisse sous-cutanée) et attestent de la réalité des expositions de l’ensemble de la population.

 

Les sources d’exposition aux pesticides de la population générale se retrouvent dans tous les compartiments de l’environnement : l’alimentation (fruits et légumes, viandes et poissons, œufs, produits laitiers, miel…), l’eau de consommation, l’air intérieur et extérieur, les sols, les poussières à l’intérieur de la maison, l’utilisation domestique des pesticides, notamment dans les jardins ou sur les animaux domestiques.

 

De nombreuses études ont montré que les pesticides étant responsable de la survenue de cancers, comme des lymphomes non hodgkinien, des tumeurs cérébrales, des cancers de la prostate et de l’ovaire, du poumon et des mélanomes. Chez les enfants, certaines études ont montré une augmentation du risque de leucémies et à un moindre degré des risques de tumeurs cérébrales, en lien avec l’utilisation de pesticides par les parents à la maison ou au jardin, en particulier pendant la grossesse ou la petite enfance(*5)

Comment eviter ces produits toxiques

 

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Comme vous pouvez le constater, on ne peut pas nier que ces substances dangereuses pour notre santé font parties intégrantes de notre environnement quotidien. Bien qu’aujourd’hui il soit irréaliste de vouloir les faire complètement disparaître de nos vies, il existe quelques moyens simples et peu coûteux d’éviter la majorité d’entre eux. Sur la page suivante, vous découvrirez quelques solutions simples et efficaces pour remplacer une grande partie de ces produits toxiques de votre quotidien et de votre environnement familiale. 

Les Merveilleux bienfaits du Bicarbonate de soude
Sources :

(*1) Commission OSPAR (forum des parties contractantes à la Convention pour la protection du milieu marin de l’Atlantique Nord-Est), 2001.

(*2)Extrait du mémoire « Projet PERSAN : les phtalates », École des Hautes études en santé publique, 2010.

(*3)PIVUS – Prospective Investigation of the Vaskulature in Uppsala Seniors, 2012.

(*4)Darbre et al., Concentrations of parabens in human breast tumours, J. Appt. Toxicol. 24 : 5-13, 2004.

(*5)Wigle D-T et al., A Systematic Review and Meta-analysis of Childhood Leukemia and Parental Occ, 2009.

(*6)Concentrations of Urinary Phthalate Metabolites Are Associated with Increased Waist Circumference and Insulin Resistance in Adult U.S. Males 2007

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